Textes

C'est fou ce qu'on peut être gentil, raconter des futilités et s'échapper du regard quand tout va mal.
C'est fou ce qu'on a put l'embellir pendant ces derniers jours, il n'a jamais été aussi beau, courageux, plein de vie, il n'a jamais eu autant de gens pour lui.
C'est pas comme si il m'enlevait une partie de moi, puisque c'est lui qui faisait ce que je suis,
c'est pas non plus comme si c'était un peu de ma vie qui s'envolais, puisque c'était lui ma vie.
C'est vide à l'intérieur de moi maintenant.
Ce qui n'est rien face au fait que j'aurais voulus te voir une dernière fois.
Tu comptais sur moi, je compte sur toi pour me dire ce que je dois faire maintenant.
Puis je n'arrive pas à réaliser et je ne veux pas.
Je ne veux pas car ça veut dire que je ne pourrais jamais te dire à quel point tu compte pour moi, a quel point tes sauts d'humeurs, ton mauvais caractères, ta beauté intérieur, ta façon de dire ce que tu pense, puis celle d'aimer les gens, ta présence,... me manques tellement.
Je ne veux pas non plus car je ne te retrouverais plus face a moi, te confier me faire rire et pleurer.
Je ne veux pas parce que je n'arrive pas a parler de toi au passé.
Je ne veux pas parce que je t'aime et que la vie est un gouffre sans toi.

Rien n’est finit

Les gens vous dirons que je suis réservée, timide et par ce fait inintéressante.
Les gens vous diront aussi que je suis distante, absente et peut être même assez froide, ils diront que je suis calme, assez gentille mais pas bavarde, puis que je suis un peu trop idéaliste, rêveuse et irréaliste et égoïste.
Aussi ils affirmeront que je suis effacée, très compliquée, lunatique et instable.
Ils ajouteront sûrement à tout ça que je ne suis pas très sociable, que je suis susceptible et probablement chiante.
Ils déclareront que je suis quelqu'un d'un peu fade peut être aussi inexistante et indifférente.
Ils diront simplement que je suis monotone.

Mais au fond on t'il raison ?

Tu est une personne qui a du courage car tu a passé des moment très difficile mais tu a de la volonté en toi pour continuer de vivre même si c'est pas facile je le sais et sache que des personnes qui tienne a toi feront beaucoup pour toi une chimio c'est pas simple mais rien est insurmontable pour une personne qui crois en la vie même un soupçon ce n'est pas rien voila et n'hésite pas si tu ressent le besoin.

Ne pas savoir définir le mot "jamais" quand je pense à toi.
Me dire que ne jamais te revoir ne se décrit pas.
Se dire que "la personne" que tu rencontres une fois dans ta vie en dehors du grand amour, tu ne la verras plus si rien ne se passe après son départ et que même s'il se passe quelque chose l'attente pour le voir est trop longue et douloureuse.
la personne qui fait de toi ce que tu es, ton piler, ta raison de te lever le matin, de te battre chaque jour.
La personne qui te donne le sourire, celle qui te le retire aussi quand il est loin.
La personne à laquelle tu n'ose pas dire toute ces choses, celle a qui tu n'arrive pas à dire qu'il est tout pour toi.
La personne qui t'aide à avancer.
La personne qui te pousse jusqu'au bout de tes projets, celle qui ne doute jamais de toi.
Ta vie tout simplement, s'en va, et ne reviens pas.
J'ai tellement besoin de toi.
J'ai l'impression que le seul qui comprendrait c'est toi.

"Tu es la plus belle peinture qu'ait jamais faite la vie."

Comment tu peux me laisser seul avec tout ces gens.
Tu sais bien que j'ai horreur de la foule, je sais même plus ce que je fais, ça irait mieux si t'étais là.
Tu trouverais un moyen d'empêcher tout ces gens de parler de toi au passé.

Je n'ai pas encore épuisé tous les mots à son sujet, mais parler de lui ne le ramènera pas, pas comme ça.
Tu vois c'est la grande tragédie de ma vie, comme un élément perturbateur sans dénouement final.
J'en ai que trop raté ma vie avec tout ça, c'est comme si je perdais ma trace au fur et à mesure que j'avance.
J'ai crée une putain de distance entre moi et le monde, je ne ressent strictement rien.
Dans le fond je suis consciente que je plante tout, que je me détache de tout le monde, que je refuse toute aide, en réalité j'ai pas spécialement envie d'abandonné l'idée qu'il puisse revenir, je sais pertinemment que j'ai faux sur toute la ligne, je devrais avancé et me détaché de ce vide.

Il y a des jours comme sa ou j'aimerai ne plus être là, dans se monde ou l'on a pas besoin de moi .
Il y a des jours comme sa ou je préfèrerai être morte, personne ne me remarque tout le monde sen moque .
Il y a des jours comme sa ou je voudrai passé le temps arrivé en été, ou il fait beau et ou on est tous rassemblés .
Il y a des jours comme sa ou j'aurait aimer ne pas être né, que la nature n'est pas loupé des choses .
Il y a des jours comme sa, ou ma meilleur place n'est pas la...
Une fois ces jours passés, je reprends espoir et je repars comme si de rien n'était

Hier soir j'ai rêver de toi...
hier soir je t'es imaginer
je voyais ton visage sur mon ventre
tu me souriais
tu m'as fait peur
j'ai sursauté dans mon lit
j'était triste après
je pouvais plus dormir
je me suis demandé
"quand c'est son anniversaire?
Quel age t'aurais eu si tu n’étais pas mort?
C’est dur tu sais???"
je sais plus quoi faire
toujours aussi perdu
toujours aussi peur
je croyais que c'était fini
que t'était vraiment parti
mais nan t'es toujours la
dans ma petite tète
laisse moi s’il te plais
je suis bien m1tnant
c'est égoïste mais laisse moi
j'ai plus besoin de toi
Laisse moi vivre ma vie

Prise en compte de ma vie
Prise en compte de ma maladie
Prise en compte de cette vie
Je suis mal
J'ai mal
J'ai peur des conséquences qu'elle peut prendre
De son ampleur
J'ai peur de l'heure qui tourne sans m'attendre
La roue de la vie continu
Elle m'a choisi
Pour souffrir ici
Et je suis perdu, largué, dépassé...

baddants.
jolis.
mais baddants.
mais si vrai.

Comment gagner le combat
quand l'ennemi principal est son corps ?

Il faut un temps pour apprendre
Il faut un temps pour comprendre
Il faut un temps pour agir

Qu’est ce que sa veux dire sa?
Placebo sa serrai pas un groupe de musique?
Je ne connaissais pas se mot avant de le vivre !
Un cachet un seul petit truc blanc que j'avale tout les soirs pour planer une drogue assez innocente mais qui apparemment m'évite d'être hospitalisé chez les fous.
Pourquoi ?
Car là haut sa ne va plus !
J'ai dépassé le stade du « je me soigne sans posé de question » maintenant la tête lâche.
Et oui il fallait bien s’y attendre !
Un jour les fusibles débloque et on appelle sa angoisse, stress, pleur, dépression …
Quelques mots simples si souvent employés pour décrire les "jeunes".
Mais sa va bien plus loin que sa,
Se médicaments si petit si normal me procure un bien être, une facilité pour dormir, pour ne pas faire de cauchemar, pour apaisé ma souffrance.
Mais si je ne le prend pas, là tout est fini la crise revient !
Je me sens partir, évanoui allongé sur mon lit, je m'enfonce !
Sombre rêve je pars, je m'en vais au revoir les gens, ma vie est fini
J'en rigole car c'est du grand n'importe quoi
Une pure paranoïa
Je ne connais pas le vrai du faux,
Mais tout se que je sais,
c'est qu'aux yeux des médecins je suis folle ou simplement dépressive.
Un cachet ou un bonbon?
Se médicament ne fait rien finalement
Sa aurai été un Mentos
Le prendre tout les soirs a 9h ok c’est pas compliqué,
mais le jour où il est 9h30 et que tu remarques que tu ne la pas avalé, c'est fini !
Arrêté ou monté la dose pour devenir "légumes" ?
Trop facile vous pourrez dire,
Trop facile de se laissez allez, de se laissez gavé de médicaments

Puisque j'ai promis, il faut tenir.
Et puis à quoi bon reculer ?
Cette phrase qui résonne sans arrêt dans ma tête.
J'oublie même ce qui se passe à côté.
Je perds les mots, oublie le nom des choses.
Je ne sais plus.
Je suis perdue.
Comme si je faisais le chemin inverse.
Et je me réfugie le soir dans ma chambre, pleurant tout doucement pour que personne d'autre ne m'entende.
Au fond, c'est peut être mieux pour LUI.
Une nuit ou presque, on quitte le monde et on s'endort à jamais, habitant d'un corps qu'on reconnait à peine.
Mais son visage reste dans ma tête et lui, il reste dans mon coeur.



Attends moi quelque part.

Il y a des événements dont nous ne guérissons pas.
On les porte en soi pour toujours et on en souffre à jamais.
On croit que le temps passe.
On croît qu'on a surpassé l'épreuve, oubliée.
Pourtant, le mal est fait et au plus profond de soi la douleur est intacte.
Le coeur, déséquilibré, ne bat plus pareil.
On est perdu.
Une part de soi s'est enfuie.
On est fragilisée à jamais, en manque pour toujours.
En soi, désormais, quelque chose n'attend plus que la fin.

Comme dit par MP, j'aime beaucoup tes textes. Et plus particulièrement, le dernier. Ca sonne juste, j'ai envie d'en lire plus maintenant

Ce matin vous vous réveillez .
Tout redevient lucide, vous reprenez conscience qu'une des personnes à qui vous tenez le plus ne reviendra jamais.
Aujourd'hui encore vous devez réapprendre à vivre sans elle.
Une personne vous adresse la parole mais vous ne l'écouter que vaguement, votre esprit se réhabitue.
Puis vous faites une activité .
Vous avez déjà fait tellement de chose avec cette personne que même celles que vous n'avez pas encore faites avec celle-ci vous paraît insurmontables .
Vous êtes prit d'une angoisse .
Une boule vous monte du ventre jusqu'au cœur en passant par votre sternum, vous manquez d'air, vous manquez de cran .
Vous vous sentez à chaque secondes de plus en plus impuissant.
Vous recevez un message .
Une personne voudrait vous voir, vous avez-vous aussi envie de la voir, vous vous apprêtez à lui répondre, quand aussitôt une autre angoisse vous montes .
Vous n'arrivez plus à vous décider, finalement vous ne verrez pas cette personne.
Vous perdez à nouveau un autre ami.
Un peu plus tard vous vous dites que vous pourriez perdre une autre personne très proche de vous .
Vous avez envie de lui parler de lui dire tout ce que vous avez à lui dire avant qu'il ne soit trop tard, vous manquez de courage .
Quand vient le soir, vous vous rendez compte qu'encore une fois votre journée n'a pas été rempli .
Vous attendez qu'une personne frappe à votre porte pour vous voir ! Qu'elle vous fasse un effet de surprise, pour que cette angoisse n'ai pas le temps de monter .
Vous attendez cette personne, vous veillez tard .
La nuit commence à tomber.
Cette personne ne viendra jamais.
Le ciel est totalement sombre, vous décidez d'aller vous coucher .
A ce moment vous réalisez que la personne qui vous manque n'est pas revenu aujourd'hui .
Vous ne voulez pas fermer les yeux .
Vous savez qu'elle va revenir mais qu'elle ne le ferrât que si vous dormez !
Vous avez envie de la voir de lui parler .
Vous luttez contre vous-même, contre votre sommeil .
Vous vous endormez avec l'espoir de vous réveillez le lendemain avec cette personne auprès de vous .
Vous êtes complètement endormi .
Le matin vous vous réveillez, tout devient lucide, vous reprenez conscience qu'une des personne à qui vous tenez le plus ne reviendra jamais...

C'est ainsi que chaque jours vous vous coupez du monde .