Textes, dessins... Et surement plein d'autres trucs^^

j'adore celle de la marelle elle est vraiment super belle.

Pareil, moi c'est les couleurs que j'aime !

1h de balade, 30 seconde de photos, 20 minutes de gimp.

Bah rien à dire de plus que d'habitude, je reste fan de tes photos !

La deuxième est vraiment sympa, le contexte et tout

Une terrasse toute propre au milieu d'une mer aux couleurs bizarres... J'adore.

J'aime bien la dernière...

Et sinon, les trois autres, plus haut, c'est où?

Lausanne, Landerneau, Paris

Je suis inspiré ce soir

C'est des dents ou du pop-corn ?

Merci Rain, j'osais pas poser la question...

Edit : vu le nom de l'image dans les propriétés, ce sont des dents...

Elles sont à qui ?

Probablement à un chien adepte du cuir.

Les dents d'une collègue.

Miam.

non, miam, c'était avant.

Quand on mélange un bouquin de Philip K. Dick sur la troisième guerre mondiale et des vacances a la montagne, ça donne ça:





Ces deux " Photomanipulation" ne sont pas terminée. Je suis pas satisfait du résultat...

Le premier ça me fait bizarre... L'impression que l'ombre de la fumée de l'explosion est à l'inverse de celle de la montagne...

Mais sinon les couleur, l'angle, le thème est superbe !

Je suis fan de tes photo! T'as beaucoup de talent

Yumi a écrit:

Le premier ça me fait bizarre... L'impression que l'ombre de la fumée de l'explosion est à l'inverse de celle de la montagne...

Sgrunt! Fais chier, j'avais pas pensé a ça...
Pour la prochaine, ça m'emmerde de tout recommencer^^

J'aime bien les deux, avec une préférence pour la seconde.
La première, c'est con et ça va peut être pas te plaire, mais elle m'a fait penser à une pub pour un truc pour l'haleine fraiche... Fait gaffe de pas te la faire piquer... sinon , clairement, comme d'hab, j'avoue être toujours autant accroc à tes photos et autres montages ( je cherche mais j'avoue ne pas encore avoir trouver l'image qui ne me plait pas du tout).

Vu que je me gave de nouvelles dickienne, que j'ai plus envie de retoucher des photos, que je peux pas composer avec un ordi pourrit, que j'ai pas envie de dessiner, qu'il fais trop froid pour faire des photos extérieur et que des intérieur sont impossible a cause de la présence de mon colloc. J'ai écris ce petit texte.
Wesh, RAF dès fôt d'aurtohgraffe! Vu?
Le texte qui suis n'est probablement pas la version définitive. En faite, c'est déjà la quatrième depuis hier soir. Si des chose vous paraisse totalement incohérente, c'est juste que vous avez simultanément deux versions différente sous les yeux, je n'ai pas envie de faire de relecture pour le moment.


La salle était assez sombre, une vague lueur extérieure semblait froidement éclairer une rangée de caissons en son centre. Des rangées de machines étranges et d’ordinateurs occupaient les murs
Dans la pénombre, rien ne bougeait. Pas un bruit de l’extérieur.
La pièce semblait hors du temps, comme gelée. D’ailleurs, des glaçons pendaient sous les caissons.
Sous les fissures du plafond, des stalactites pendaient, laissant s’échapper leur goutte avec une régularité déconcertante. Au sol, des ridicules petit tas de calcaire tentait probablement depuis des années de s’élever sans y réussir.
Une petite lumière de l’un des ordinateurs s’alluma, clignota, puis, quelques machines s’extirpèrent de leur sommeil avec peine, faisant grincer les ventilateurs, certaines, bloquée par le temps retournèrent vite a leur sommeil. Mais l’une d’elles, épargnée par la pierre et la glace, grinça et finit par débloquer ses articulations.
Tout autour de la machine, des cylindres de métal devinrent incandescent. Réchauffant l’atmosphère.
Au bout de quelques instant, la glace présente dans la salle se mit à fondre, certaines machines, libérée, se mirent à fonctionner à leur tour, d’autres cylindres de métal devinrent incandescent.
Peut à peut la chaleur dans la pièce réveilla d’autres mécanismes. Quelques caissons vibrèrent et s’ouvrir en brisant ce qui restait de glace pour les retenir. Laissant leur contenu se réchauffer à l’aire libre.
Au bout de quelques minutes, un homme sortis de son caisson. Il se dirigea vers une armoire contre le mur et s’habilla. Puis, il enclencha un ordinateur qui semblait en moins mauvais état que les autres.
Il fis défiler les documents de l’ordinateur.
Au 5ème jour d’expérience. Un sujet sur six avaient été rappelé. Il était décédé. Au 19ème jour, un second avait été rappelé. Il présentait une anomalie cérébrale et avait du être rappelé afin de ne pas corrompre les résultats d’expérience. Les archives s’arrêtaient au 79ème jour, le sujet n°38 présentait à ce moment là divers lésions physiques dû a une panne du système de refroidissement de son caisson.
L’homme défila ensuite les dossiers personnels des sujets. Il s’arrêta au troisième. Sujet n°37. Homme, bonne condition physique et psychologique. Aucune lésion lors du refroidissement. Sera rappelé lors de sa 75ème année(délai légal) d’expérience avec les autres sujets.
Au vu de l’absence de personnel, l’expérience avait du être abandonnée et sombré dans l’oubli. Il se tourna vers les caissons restant. Trois caissons contenant trois humain, un enfant, une femme et un homme. Le sujet n°38 était l’enfant. Ce dernier remuait. L’homme s’approcha et saisit l’enfant par les épaules. Celles ci s’enfoncèrent dans le torse. Un spasme agita l’enfant et sa tête se fracassa contre la paroi du caisson.
« Irrécupérable, l’expérience est un échec. » murmura l’homme avant de s’approcher du caisson du sujet n°40. L’homme a l’intérieur était devenu totalement noir. Des cloques de pus gonflaient et éclataient en accord avec les chocs envoyé à son cœur par les appareils médicaux.
« Mauvais » dis l’homme en débranchant les appareils.
Il s’approcha alors du dernier caisson. La femme semblait encore endormie. Sa poitrine se soulevait doucement. Elle respirait. Sous ses paupières closes, ses yeux bougeaient.
L’homme sourit, satisfait de constater que la dernière expérience était peut être réussie. Que deux sujets avaient survécu !
Il n’osa toutefois pas la toucher. Il alla vers la porte de la salle, une lourde porte de béton renforcée d’acier. Le ‘’laboratoire’’ avait été aménagé dans un ancien abri anti-atomique. Il fit pivoter les verrous et poussa la porte. La salle qu’il découvrit alors ne ressemblait en rien a celle qu’il avait connue en arrivant, il y a bien des années de cela. La grande salle blanche aux bureaux bien rangés, aux instruments bien propre et aux ronronnements des machines était usée. Les murs étaient devenus gris, le sol était couvert d’une boue grise qui lui collait les pieds. Quant au machines, celles de métal étaient si rouillée qu’elles semblaient avoir doublé de volume. Les instruments avaient disparu, probablement enfouit sous la boue. Et sur les bureaux, il n’y avait plus que de la poussière, parfois trempée par les infiltrations du plafond. Quelques papiers pourrissaient encore sous la poussière. L’homme voulu en prendre un mais il ne réussit pas a en garder un seul intact. Il monta alors un escalier et arriva vers ce qui avait dû être une porte. Deux planches tenaient grâce à deux clous encore intacts. Il poussa le cadre de la porte branlante et elle s’écrasa. Il traversa encore deux salles dans le même état avant de trouver un accès vers l’extérieur.
Dehors, le paysage était désolé. Il ne restait que quelques bâtiment du vaste complexe scientifique qui avait jadis accueillit la pointe de l’avancée humaine. Souriant, l’homme se dit qu’il était la preuve que tout cela n’avait pas servit à rien.
Il se mit à explorer les autres bâtiments. Ils étaient tous vides, en ruine et dévasté. Il c’était passé quelque chose de terrible sur terre. Il devait trouver quelqu’un s’il voulait survivre. Dans le poste de garde, il trouva une vielle radio qui semblait en état de fonctionner.

La femme sortit du bâtiment. Elle semblait perdue. Dans l’un des baraquements, elle entendit crépiter quelque chose. Elle entra dans le bâtiment en ruine et arriva bien vite derrière un homme affairé sur une vielle radio. Soudain, emplissant tout l’atmosphère disponible, la radio hurla : « Ceci est un message d’urgence de votre gouvernement. Il vous est demandé de vous rendre aux points de ralliement le plus proche. Votre évacuation sera effectuée par l’armée. Toute personne refusant de se rendre aux points de ralliement sera exécutée. Ceci est un message d’urgence d… » L’homme coupa la radio. Il remarqua la femme qui semblait se décomposer. Il la regarda et lui hurla de rejoindre le point de ralliement sur-le-champ. Il se précipitèrent à l’extérieur et quittèrent le complexe. Ils suivirent ce qui était autrefois une route, elle menait à une ville. Et l’homme pensait que le point de ralliement se trouvait en ville.

Il marchèrent quelques pas en silence. Timidement la femme murmura « De quand date ce message ?
- C’est un message automatique, prévu pour être répété à l’infini sur les ondes.
- Dans ce cas, il peut dater de plusieurs années !
- Les consignes sont claires, se rendre au point de ralliement.
- Mais s’il n’existe plus ?
- Il faut rallier le point de rappellent ou nous serons exécutés. »
Il continuèrent de marcher. Le paysage était désolé. Une brume épaisse c’était levée et couvrait le sol. Pas un bruit ne les rappelait à la vie.
Au bout d’un long moment ils commencèrent à distinguer des immeubles. Grand et imposant, ils étaient pourtant comme le reste. Inanimé.
Ils marchèrent dans les rues encombrées de carcasses de voitures calcinées. De l’eau gouttait des fenêtres des immeubles et de petits ruisseaux de boue sortaient sans précipitation par les portes ouvertes. Ils arrivèrent à une petite place ou se trouvaient des carcasses de camions.
Sur le sol, a demi enfouit dans la boue, gisaient des centaines d’ossements pourrit. L’un des immeubles entourant la place était partiellement détruit. Dans ses ruines gisait encore la carcasse d’un hélicoptère de l’armée.
« Voracement des fuyards. Il vaut doux vendre au coin de rappariement.
- Mais c’est le point de ralliement. Ces gens n’ont jamais été évacués.
- Ber draite.
- Ça ne sert à rien. Nous allons nous perdre. Rentrons au complexe. Nous serons plus en sécurité.
- Doux allons coin de ciment»
A contre cœur, l’homme suivit la femme. Peut-être le complexe, en tant que principale base scientifique du pays, disposait de son propre point de ralliement. Cette place avait été sans doute utilisée pour exécuter les traîtres qui n’avaient pas suivit les instructions du gouvernement.
Mais ils devaient faire vite. Les ordres avaient été très clairs. Il fallait qu’ils trouvent un point de ralliement.

Ils retrouvèrent sans peine le vaste complexe. Puis ils retournèrent dans la salle d’expérience.
Les sujets avaient coulé du fond de leur caisson et une vaste mare noirâtre obscurcissait le sol. La pièce était chaude. L’homme et la femme s’assirent sur les chaises de bureau et se reposèrent un moment.
« Fit nous nous soustractions au rappel de reliement. Nous serons expérimentés. Les ogres sont fiers. Su réfute les orques. Tu pressas exemptée»
L’homme se leva et hurla le visage convulsé de fureur. Il saisit un ordinateur et le jeta contre un mur. Puis, il fut pris de spasmes et tomba à terre. Il rampa en direction de la femme les mains tendues et le visage dément.
La femme saisit une chaise et l’abattit sur l’homme.

Le sujet n°37 a montré des signes de déséquilibre psychologique après son réveil. Il semblait incapable d’intégrer une nouvelle réalité. Le sujet n°42 a dû exécuter le sujet n°37 car ce dernier devenait hystérique. L’expérience est un échec.
La femme enregistra les données et éteignit l’ordinateur.
Elle sortis du bâtiment. L’aire était devenue irrespirable à cause des cadavres. Son attention fut attirée par un bruit. La radio.
« Ceci est un message préenregistré de votre gouvernement. L’évacuation de la population c’est soldée par un échec. Nous recommandons aux citoyens de descendre dans les caves et d’attendre la fin des hostilités. En raison du haut développement des lieux, la population devra se rendre au complexe scientifique de Cryavenir à la fin des hostilités. Un centre d’accueil permanent sera mis en place afin de répondre au besoin des citoyens. »

Les lieux n’avaient accueillit personne depuis l’évacuation.

Les grandes lignes sont bien, mais répétition au début et haché sur la fin.
Travaillé ça peut donner quelque chose de vachement bien, mais faut travailler dessus quoi.