Je tenais à exprimer cette pensée. Parce qu'elle a été longtemps un sujet d'analyse avant que je la classe dans l'innée.
Je veux parler d'une force qui m'a toujours sauvé, que ce soit dans la maladie quand je perdais tout contrôle de moi même, dans l'abus d'alcool alors que mon esprit vacillé ou encore quand j'ai du porter d'autre personne alors que mon état ne le permettait pas, comme lors du trauma crânien de ma mère.
Je l'ai appelé "Capacité de régénération mental avancée" et bien que je ne la comprenne encore très mal, elle a toujours été là.
C'est une chose qui me permet de toujours me relevé, de toujours reprendre le contrôle, d'outre passer mes limites mental. J'ai du mal à l’appeler vulgairement "volonté" tant elle me semble inébranlable.
Quand j'ai failli planté mes amis, c'est elle qui a réussi à dévier le coup sur mon bras.
Quand je frôlé le coma éthylique dans un coin, c'est elle qui m'a permis de périodiquement me relevé et d'aller demander de l'aide à mes amis avant de finalement retrouver mon état de déchet.
Quand mon cerveau passais son temps à explosé, c'est elle qui m'a permis d'inlassablement recoller les morceaux pour me régénérer encore et encore.
Quand ma mère est tombé de deux étages sur la tête, c'est elle qui m'a permis d'outre-passer mon état instable et de tenir pour l'épauler pendant une année.
Quand j'ai voulu plusieurs fois mourir, c'est elle qui a insisté pour que je continu le combat, peut importe la souffrance.
Quand j'ai décidé de vivres seul, c'est elle qui me permet de rester fort face au monde.
Quand j'ai arrêté mon traitement, un cocktail d’anxiolytique, d'antidépresseur, de thymorégulateur et des d'anti-psychotique,il y a des années, c'est elle qui m'a permit de le caché à mon psychiatre et à le dépasser. Quand je lui ai avoué, il m'a applaudit pour la force dont j'ai fait preuve malgré le fait que j'ai risqué un effet yoyo terrible.
Je l'assimile parfois à un composant de mon armure ou à une forte volonté.
Mais en vérité, j'ai encore du mal à cerné cette flamme qui brûle en moi et qui me permet toute ses choses.
J'ai du mal à comprendre cette part fondamental de moi même qui me force encore et toujours, inlassablement à me relever, à reprendre le contrôle, à lutter, à me battre.
J'ai une fois vue mon psychiatre qui après à une consultation finalement banal,cette même flamme m'a permis de reprendre les cours et faire changer le cours de ma vie. Je vais fixer le décors : 10 ans après ma déscolarisation, une peur viscérale de toute institutions s'y rattachant et une rancune terrible contre ses mêmes institutions. A la suite d'une consultation particulièrement mouvementé, j'ai voulu prouvé à moi-même et au doc que j'en étais capable.
Je suis allé à la mission local, proche de l'évanouissement tant ma peur été forte.
J'ai passé les entretient en me déchirants les lèvres de terreur.
J'ai finalement déposé mon dossier en suffocant à l'organisme qui proposait des équivalent BAC (daeu) afin d'aller à l'université.
J'ai gagné ma carte d'étudiant et à ce moment, j'ai repris rendez-vous chez mon doc.
Il m'a regardé en souriant tout en me demandant quelle serait mon excuse cette fois ci pour manquer deux mois de rendez-vous.
J'ai posé ma carte d'étudiant sur la table.
Il l'a prit, très surprit,m'a glissé une vanne "mais c'est une vrais !".
Et m'a dit : Mr. A, vous me surprendrez toujours. En prenant en compte votre pathologie et vos faiblesses, si vous m'en aviez parler avant, honnêtement, j'aurais accordé moins de 20% de réussite à votre projet. Et pourtant, dit-il en me montrant la carte, vous avez fait mentir les statistiques. Continuez, Mr. A, vous possédez une force qui est rare.
Je suis maintenant en fac, j'ai repilé mon année par manque d'expérience mais la même force me pousse à l'acharnement et à redoubler pour continuer.
J'ai encore beaucoup de mal à la comprendre et à la disséquer.
Mais elle est là et m'épaule constamment.
Je ne la remercierai jamais assez.
Elle tient en une phrase que j'ai matérialisé : Que l'on me brise les jambes, que l'on m'arrache la peau, que l'on réduise mon corps en poudre, que l'on atomise mon esprit, tant que cette petite flamme de conscience brillera, je me régénérerai, je me relèverai et je continuerai à me battre, peut-importe la souffrance et le prix à payer, je me battrai.
J'aimerai la comprendre pour la partager facilement, cette flamme dévorante qui brûle en moi.
Mais je ne la remercierai jamais assez.