Un étudiant qui a questions de l'Amérique

Salut. Je suis un de américain de les E-U. J'avais d'habitude de me couper. Maintenant j'ai récupéré. Je voudrais savoir comment les français pense des les auto-offenseurs. J'ai un peu questions comme:

Combien de français utilisé auto-mutilation pour soulager le stress mental. Est-ce que il un grand problèm en France ou simplement un étape de les collégiens?

Qu'est-ce que on utilise en France pour les gens qui ont un vrai problèm avec auto-mutilation.

Est le pense de le citoyen moyen de le auto-mutilation est un signe de suicide ou intentions suicidaires?

Dans les E-U auto-mutilation a été récenment reconnu comme un problèm serieux. Pour toujours je peux rappeler les auto-offesneurs ont été un groupe de les ados "emo" ou gothique. Il était difficile trouver aide pour quelque chose comme ça.

un note final, pardon mon français si-vous-plait j'apprends.
Merci

...Je reste perplexe face à un tel message.
Mais je vais répondre.
En France, ce n'est pas un problème de collégiens, il est vrai qu'une partie assez importante de jeunes adolescentes se coupent mais ça ne se résume pas qu'à ça.
Maintenant, est ce que c'est un gros problème national, difficile à dire, vu que nous n'avons pas vraiment de chiffres exacts (à ma connaissance en tout cas.)
Qu'est ce qu'on fait pour les auto-mutilateurs? Rien, enfin, à part un suivi psy qui est conseillé ou un internement quand ça va trop loin, j'ai pas vu d'autres choses de spécial.
J'ai pas compris cette phrase. Est le pense de le citoyen moyen de le auto-mutilation est un signe de suicide ou intentions suicidaires? Enfin, pas totalement. Je pense que le citoyen moyen nous prend pour des personnes "à risque" de suicide. Ce qui n'est pas forcément faux (sans faire de généralités, on est assez nombreux à y avoir penser il me semble.).

Et c'est pareil chez nous, certains font facilement le rapprochement emo-gothic = automutilation.

Je suis aussi restée perplexe comme Pingoo mais je pense la même chose que ce qui est dit dans sa réponse. Je précise aussi que c'est très compliquée de donner un "pourcentage" de personnes qui s'AM, car c'est quelque chose d'intime, de secret, qui se fait caché, donc difficile de trouver des statistques véridiques...

Combien ? Comme ça a été expliqué on peut pas savoir exactement, tout le monde ne va pas le crier sur les toits.

Je pense qu'en général la majorité des français associent automutilation au suicide. Perso quand j'en ai parlé à l'infirmière la première chose qu'elle voulait que je lui promette c'est de ne pas me suicider durant le week-end.

D'après ce que j'ai pu voir, il me semble surtout que la France fait moins que d'autres pays, je vois rien d'autre que ce qu'à dit Pingoo, mais aussi qu'est-ce qu'on pourrait faire d'autre ?

Le rapprochement automutilation=ado et =emo/gothique empêchent beaucoup de cas d'être pris au sérieux je pense.

Ouais bon dans les States, on considère tout et n"importe quoi comme très sérieux aussi.
Le self-cutting c'est juste un symptôme. Vouloir mener une campagne contre ça c'est un peu comme vouloir lutter contre les nez bouchés au lieu de s'en prendre à la grippe.

Merci pour vos réponses. Comme j'ai dit je ne suis pas bon à français et je probablement utilisé mauvais texte. Ici dans l'E-U le numéro a estimé comme 3 pour cent de le population. Je juste veux savoir si c'est la même dans france.

On pourrait te trouver un pourcentage, mais il ne serait pas très juste.

Moi je reste perplexe, c'est le français dans ses messages...
Bien sûr, il n'est pas "bon", mais, pour un étranger... Chapeau l'artiste.
J'aimerais pouvoir parler anglais comme il parle français...

Sinon, pour revenir au sujet, je crois que mes prédécesseurs ont tout dit. Les statistiques sont impossible à trouver.

A titre d'exemple, 0,75% de la population américaine souffre d'automutilation, soit environ 2 010 000 personnes. Difficile de trouver des chiffres fiables pour la France ou l'Europe. En tout cas, selon toute probabilité, nous connaissons au moins une personne qui a pratiqué l'automutilation. 11,2% des jeunes femmes confient s'être infligé des douleurs physiques volontaires, contre 3,2% des jeunes hommes. C'est donc une expression plus féminine d'un mal être.

Source :
http://www.tasante.com/article/lire/2394/

Et j'ai juste tapé statistique automutilation sur google hein.
Après, on peut en avoir, mais on ne peut être certain de ses chiffres.
Ah, et il a surement utilisé google traduction si ça peut te rassurer thibault.

Oh non, c'est pas google traduction. Ca serait vachement plus incompréhensible uniquement traduit avec google ^^.

Sinon, pour avoir fréquenté un forum anglophone sur l'automutilation, je peux pas mal comprendre le questionnement, parce que vraiment l'impression que les choses sont perçues pas mal différemment de l'autre coté de l'océan au sujet de l'AM, et des problèmes psy de manière générale.