Merci pour les commentaires, ça fait plaisir de sentir qu'on est parfois capable de quelque chose
J'enchaîne donc avec le 2e, assez vieux lui aussi :
Toi qui hantes mes nuits
De ce visage si joli
Et qui toujours me souris
Je te regarde…
Je te regarde mais sans te voir
Car tes yeux sont des miroirs
Face à mon triste désespoir
Et mon regard se perd au loin
Loin de ton air si serein
Lorsque je pense aux lendemains
Toi tu respires le bonheur
Tu t’épanouis comme une fleur
Alors que je vis dans la peur
Peur de ce monde qui m’entoure
De ces hommes sans amour
Qui attendent sur mon parcours
N’attendent plus que mon passage
Pour entamer le carnage
Qui plait tant à ces sauvages
Face à ces monstres sans pitié
Qui osent parler d’humanité
Moi je ne peux que regarder
Toi qui hantes mes nuits
De ce visage si joli
Et qui toujours me souris
Je te regarde…