Besoin de parler

Ben.. sincèrement, ca te fera probablement une baffe le premier jour où tu le recroiseras. Ce jour là, évite de rester seule à cogiter après ça...

Et euh.. bah les autres jours, l'habitude de le revoir sera reprise, et ça ira..

Ca va jamais vraiment de le revoir tous le temps. En général a chaque fois je me remets a trembler comme une feuille ou je m'énerve toute seule (parfois jusqu'a la violence, failli lui jeter une table) Je sais que ça ne résou rien mais je n'arrive pas a me controler en sa présence. Les 1 mois et 2 semaines passées loin de lui étaient comme une libération et voila qu'on me demande de retourner en prison ...

Sincèrement.. Je peux comprendre cette sensation.

Ca n'est pas du tout dans les mêmes circonstances, mais il y a une personne que je ne peux jamais recroiser sans trembler de rage et avoir envie de lui coller mon poing dans la figure (en gros, une ancienne très bonne amie, qui me doit plein de fric, a coupé completement les ponts sous des prétextes completement fantaisistes et m'a, cerise sur le gâteau, fait une réputation de salope qui essayait de me taper son mec et de grosse allumeuse auprès de pas mal de personnes qu'on connaissait en commun. Et qui a en prime été prétendre que je la menaçais, que je la harcelais, blablabla, parce que je cherchais à avoir des explications...). La voir me fout toujours mal. Pas par peur, mais par colère qui ne peut pas s'exprimer, vu que mademoiselle refuse totalement le dialogue. Ca fait qqch comme 4 ans, je devrais avoir tourné la page, mais niet, je suis toujours une cocote minute quand je vois cette pétasse.

Sincèrement, ce qui m'a aidé, c'est des petits trucs très très con..
Le nombre de lettres d'insultes que je lui ai écrit (et pas envoyé, histoire de ne pas avoir une plainte pour injure à la gueule, hein..)
Le nombre de fois où j'ai transformé sa photo sur mon ordi pour l'enlaidir (remarque, la plupart du temps le résultat était plus joli que l'original.. Hum)...
Le nombre de fois où j'ai visualisé des tortures subtiles à lui faire subir...

C'est pas excessivement futé, mais excessivement défoulant ^^

Oui je vois le genre, j'ai souvent rêvé que je le poignardais a coup de couteau et que la dernière chose qu'il voyait c'étais mon sourir de vengence (non je ne suis pas une tueuse psychopathe lol) mais ça ne m'empèche pas de me sentir toujours tellement mal. Et puis je suis toujours a son contact par un moyen ou un autre. Son petit frère, se parents, des potes en commun, toujours son nom revient, je m'emballe dès que quelqu'un prononce "thomas" (même si on parle pas de lui) et j'arrive pas a m'en défaire ça me bouffe la vie

Ahhh mais quel CON!!! Pardons pour l'expression. Hum.

Non mais il a quoi dans la tête? Pour dire des trucs et faire des trucs comme ça...?! Un petit poit ou bien?

Non mais j'en reviens pas. Je comprends que tu sois mal...mais faut pas te laisser décourager par ce gars. Tu peux te montrer forte...!!!

Je suis désolée de revenir une fois de plus déballer ma vie, surtout que ces derniers temps je n'ai pas pu venir beaucoup vous voir et répondre a vos posts a vous mais la j'ai trop besoin d'aide, besoin de réponses besoin de parler
Je vais le revoir se soir. Il y a un bal dans mon village se soir, une soirée que j'adore et a laquelle je m'amuse trop. Ce bal clot tous les ans les vacances d'été et je n'aimerai le loupe pour rien au monde. Mais j'ai appris par sa mère qu'il sera la se soir, avec sa s****e de p****n de copine et ça m'angoisse trop. Trop envi d'AM pour me calmer, trop besoin de me défoule d'évacuer. Ca fait 2 mois que je l'ai pas vu et je sais pas comment je vais réagir je veux pas le revoir, je veux pas m'effondrer une fois de plus en public, je veux pas boire et me faire engueuler par mes parents juste parce qu'il est la. J'ai peur de malgré moi emmené ma "trousse" et de me couper la bas. Je sais pas quoi faire
Je suis désolée de venir vous embêter une fois de plus

pourquoi pas la maniere direct, tu le vois tu lui fou une gifle ou un bon pechon et tu racontes tout en détail de ce qui s'est passé histoire de lui rememoré tous et de lui foutre la honte ?

Je suis incapable d'en parler, mes parents ne savent absolument pas la vérité et je compte bien leur cacher jusqu'a ma mort. Ensuite je suis incapable de me trouvé a moins de 5m e lui sans taper une crise d'angoisse fénomènale (désolée j'ai un trou je sais plus comment ça s'écrit ) et je le supporte pas. Et puis je n'arrive pas a en parler. Mis a part un peu par écrit.
Si seulement c'était aussi simple que de te l'entendre dire...

Liloue a écrit:

Je suis incapable d'en parler, mes parents ne savent absolument pas la vérité et je compte bien leur cacher jusqu'a ma mort. Ensuite je suis incapable de me trouvé a moins de 5m e lui sans taper une crise d'angoisse fénomènale (désolée j'ai un trou je sais plus comment ça s'écrit ) et je le supporte pas. Et puis je n'arrive pas a en parler. Mis a part un peu par écrit.
Si seulement c'était aussi simple que de te l'entendre dire...

je pense pas que tu pourras le cacher indéfiniment, soit tu continues à le cacher et te faire de plus en plus mal, soit tu liberes tout d'un coup, c'est sur que c'est pas facile, faut juste trouver le clic qui declanchera tout

Pour te resituer le contexte, nos parents sont potes depuis 7 ans, a midi ils étaient chez moi, son petit frère et le miens sont inséparables, on habite dans le même village, nos parents ont la même bande de potes. J'ai dit a mes parents (qui commencaient a trop se douter de la vérité a cause des crise que je tapait dès qu'il était la et tout) que c'était juste une embrouille qu'il m'avait insulté. Au moins ça a mis fin a la discussion. Ca fait 2 Ans et je veux pas le revivre je veux pas en reparler et surtout je veux pas que mes parents le sachent, absolument pas

Ca me rend dingue, j'en ai trop marre de lui bordel il est trop con. Désolée des insultes mais là ça les vaux.
Je connais sa version de l'histoire (version qu'il a raconté a ses parents et a une amie de ses parents comme des miens) comme quoi je serai jalouse qu'il soit avec sa copine et pas avec moi (ce qui est faux je les ai mis ensemble pour qu'il me foute la paix) et que c'est pour ça que je vais raconter partout qu'il m'a violé (encore faux, je n'ai jamais parlé de viol) pour les faire casser et pouvoir être avec lui. Non mais putain c'est pas vrai. C'est pas possible d'être aussi nombriliste et égocentrique, surtout que ya pas de quoi, il tient plus de gorille et du goret que de 'homme sexy et désirable. Ca me rend dingue

Bah...

Sincèrement... Toi tu sais ce qui s'est passé.
Je ne pense pas que tes parents prennent pour argent contant ce qu'il dit, non ?

Et sincèrement, qu'est ce que tu en as à carrer de l'opinion que SES parents ont de toi ?

Les gens intelligents vont prendre le temps de te demander ta version des faits.
Ou alors s'en fouttront grave, parce qu'ils se diront qu'ils n'ont pas à intervenir dans un truc qui ne les concerne pas. Et pas à juger.

Si des gens sont assez crétins pour te juger là dessus... Sérieusement, c'est des cons. Et l'avis des cons... Pour ce que ca a comme valeur.... Autant ne pas s'en soucier.

Je suis d'accord sur le principe mais j'en ai marre de passer pour une salope. D'habitude je m'en contretamponne des histoires, des ragots ou autre préjugés sur moi mais cette histoire m'attein tellement que je ne peux pas l'ignorer, j'y arrive pas. Et de plus je suis incapable de donner ma version ce qui signifie que je ne peux pas dire c'est faux voila ce qui c'est passé. Je dis que c'est faux mais je ne peux jamais dire pourquoi alors voila.
Si l'opinion de ses parents a lui a autant d'importance c'est parce que c'est des gens que j'appréciait énormément et qui m'appréciaient aussi, j'ai passé un an ou j'étais la bas toute la journée et j'aimais beaucoup sa famille. Je les trouve stupide de se mèler de tout ça.
Pour mes parents ils n'ont aucune version de l'histoire, ils n'ont pas (enfin j'espère) sa version a lui et n'auront jamais la mienne. Pour eux c'est une histoire de gosse mais sans sexe et tout ce qui s'en suit. C'est du moins ce que je leur ai dit. Mais pas su qu'ils m'aient cru...