Vos séries préférées

Ouaich DA c'est ITV, et ils ont un iplayer. Sinon, j'avoue que l'intrigue je m'en fous un peu ^^ Ce que j'aime surtout, c'est l'ambiance et les thèmes abordés (et l'accent local ^^), tandis que connaître la suite ne m'intéresse pas tant que ça. La seule chose que je reproche à la série, c'est de faire une famille trop libérale, j'ai l'impression qu'ils ont été incapables d'aller au bout des choses.

Le mini-épisode de Sherlock est sorti.


Anderson a allumé son cerveau (et perdu son boulot à essayer de rétablir la vérité sur Sherlock - j'espère que celui-ci reconnaîtra les efforts et ne sera plus méchant avec lui), Sherlock est nerveux devant une caméra, et Lestrade fait un comique facetable.

Retour de la série dans 8 jours !

Sherlock s'est achevé dimanche soir, apparemment la chaîne essaye de pousser à sortir la prochaine saison plus vite que dans deux ans, mais vu le planning des acteurs je doute qu'ils arrivent à finir une saison avant en tout cas mi-2015 donc un an et demi au mieux. A moins qu'ils commencent une tradition "New Year special", et qu'ils ne sortent qu'un épisode.

Sans trop spoiler, cette fois l'attente sera moins violente, le cliffhanger est tolérable : pas de situation dramatique comme les deux derniers "season finales". Mais un chouette twist !

Les deux premiers épisodes sont bien plus comiques que d'habitude, le côté dramatique est vraiment atténué mais revient dans le troisième épisode. Le nouveau vilain est complètement dérangé, mais pas de la même manière que Moriarty.

Et le jeu d'acteur bon sang. John (Martin Freeman) a la vedette dans le premier épisode, Sherlock (Benedict Cumberbatch) dans les deux suivants mais pas de la même manière : rôle omniprésent dans le deuxième, et rôle absolument dramatique dans le dernier. Je pense que l'épisode à placer en candidat pour les nominations est clairement ce troisième épisode.

Sinon quelques éléments de cette saison : Mary Morstan, beaucoup de Mind Palace, plus de Mycroft, on rencontre les parents de Sherlock (et on apprend son nom complet), Sherlock passe une bonne partie de l'épisode 2 ivre, et une bonne partie du 3 stone, et Molly a un plus grand rôle.

J'ai commencé True Detective de HBO, puisque j'en entends parler un peu partout. La série a commencé mi-janvier et la première saison de 8 épisodes va se terminer dans une semaines et quelques heures. Cette nuit on en sera au 7ème épisode.

J'en suis à la moitié des épisodes diffusés, soit 3/6 mais j'aime bien jusque là. Il paraît que le quatrième épisode spécifiquement a confirmé le très bon accueil critique. Je verrai ça.

C'est une série d'anthologie, c'est-à-dire que chaque saison aura sa propre histoire et son propre casting. Comme American Horror Story, dans les plus connues actuelles du genre.

Pour l'histoire de la première saison : Louisiane, 2012, deux policiers sont interrogés après un meurtre similaire à un sur lequel ils avaient enquêté (et qu'ils avaient officiellement bouclé) en 1995. On a donc une timeline sur les événements de 1995 racontés par les policiers en 2012, 2012 et entre-deux.

En parlant d'American Horror Story j'ai terminé de visionner les 3 saisons hier.
Ca casse pas 3 pattes à 1 canard.
J'avais commencé par la 2ème,Asylum et j'avais été agréablement surpris.
Dans une seule histoire caser des aliens,1 criminel de guerre nazi,des mutants tuberculeux,un tueur en série,une nonne sadique et une autre possédée ça donne un certain gout de gros n'importe quoi au truc.Une saison popcorn bien décomplexée qui ne se prenait pas au sérieux,à quelques séquences émotions (assez pathétiques et soporifiques)près.
Du coup j'ai enchainé sur les 2 autres qui malheureusement ne sont pas du meme calibre.
L'optique est la meme,ça reste de la compilation à haute densité de clichés du fantastique mais la sauce ne prend pas.Ce qui fait ressortir la faiblesse(l'absence?)des scénarios respectifs ainsi que le rythme très bancal.Là ou Asylum masquait les memes carences sous un loufoque quasi-constant aisé par le cadre réussi de l'asile et la galerie de personnages perchés,les 2 autres s'abiment dans une succession de scénettes sans enjeux réhaussées par des séquences trash/débiles disséminées ici et là.Trouvé ça poussif.
En revanche l'idée sympa de la série est de garder le cast d'une saison sur l'autre,c'est amusant de retrouver les memes tetes dans des roles qui n'ont strictement rien à voir.

Pour l'instant je regarde Treme, sur la Nouvelle-Orléans, HBO, excellente, et Miranda, BBC. Si vous ne connaissez pas, un demi épisode en VO : En gros, c'est la vie d'une nana pas mal complexée et au physique peu avantageux qui se retrouve toujours dans des solutions pas possibles ^^ Le format est vraiment chouette, et l'actrice est formidable

Comme je me fais chier, je découvre avec bonheur une série que je n'avais pas repérée l'an dernier qui vaut le coup d'être testée au moins : Orphan Black



Série un peu dure à définir parce qu'elle navigue pas mal entre les genres. On peut dire que le côté fantastique et thriller dominent un peu... à base de serial killing de clones dont on ne sait pas trop qui est l'originale, ni à quoi répond ce clonage.

Je ne suis qu'à mi-chemin de la première saison (la seconde démarre dans pas si long, youpi), mais c'est rythmé et pas mal foutu, l'intérêt reste intact pour le moment. J'avais peur que le thème des doubles s'épuise vite, mais en fait ça tient la route quand c'est bien traité... et puis ça encourage la paranoïa et les théories de complot assez rapidement, donc je suppose que je fais immanquablement partie du public-cible.

Ouaip, et la série a un point bonus pour utiliser le personnage féminin comme personnage principal balèze dans une série d'action, et pas la cruche de service qui se fourre dans les ennuis en attendant le sauvetage du/des leading male(s). C'est encore un problème avec les séries d'action.
L'actrice est vraiment talentueuse, question gérer les accents des différents personnages et tout. Ça fait un bail que je l'ai regardée (enfin, moins d'un an, mais pas mal de séries entre temps), ça reprend avec Game of Thrones en avril si je me souviens bien ? (Je sais surtout pour le mois en cours vu que je suis les séries via un calendrier mensuel, je navigue pas trop sur le mois suivant.)
Vu que c'est une série qui suit une histoire (et non une histoire/enquête par épisode avec ou sans une trame de fond), j'ai un peu peur de voir comment ça va tenir sur la durée, c'est un peu ma seule crainte. Il y a de quoi tenir une deuxième saison vu la fin de la première, mais j'espère que s'il y a une résolution en saison deux ils se tiendront à ça.

Reprise le 20 avril, date qui me permettra de ne pas oublier l'anniversaire de ma petite sœur, et accessoirement date de naissance d'Adolf Hitler (un parallèle comme ça, c'est priceless).

Poumon d'acier a écrit:

Reprise le 20 avril, date qui me permettra de ne pas oublier l'anniversaire de ma petite sœur, et accessoirement date de naissance d'Adolf Hitler (un parallèle comme ça, c'est priceless).

Hitler est mort le 30 avril, en fait.

Pravda Morgendorffer a écrit:

Poumon d'acier a écrit:

Reprise le 20 avril, date qui me permettra de ne pas oublier l'anniversaire de ma petite sœur, et accessoirement date de naissance d'Adolf Hitler (un parallèle comme ça, c'est priceless).

Hitler est mort le 30 avril, en fait.

Oui mais il est effectivement né le 20 avril.

Orphan Black *love*
J'ai trop hâte de la reprise de la saison 2 c'est atroce. J'ai vu la saison 1 lors de la diffusion, puis une nouvelle fois en décembre, et c'est horrible de devoir attendre comme çaaaaa.

Bref, je corrobore ce que dit Poumon d'acier, cette série est vraiment très très cool ! Et j'espère vraiment qu'elle va continuer à l'être en saison 2 (il y a pas de raisons, mais j'suis une méfiante de base).

Les nombres de Fibonacci

*sort*

Commencé en parallèle "The Shield" et "The Wire".

Après une saison du 1er je pense que je vais m'en tenir là,c'est efficace et le cast est plutot sympa mais je ne suis pas sur d'apprécier beaucoup le propos.Me parait etre juste un poil à gauche de Sarah Palin quoi.Je n'arrive pas à savoir si c'est délibéré ou si c'est moi qui plaque dessus un message qui n'y est pas,toujours est-il que ça me pourrit le visionnage donc ça m'étonnerait que j'insiste.

En revanche "The Wire" m'accroche bien malgré un départ laborieux.Sous ses faux airs d'énième série sur les flics ça m'a l'air plus ambitieux,avec une focale sur le social plutot élaboré,pas que je connaisse grand chose au sujet mais en comparaison d'autres séries qui traitent de la criminalité ça tape dans le haut du panier.Idem pour le souci du détail,je trouve que la série prend le temps de mettre les choses en place,tant le(s) cadre(s) que ses personnages(au passage j'apprécie de retrouver des tetes connues aperçues plus ou moins longuement dans "Oz").
Me fait penser aux "Rougon-Macquart" avec une ville explorée facette par facette au lieu d'une lignée.
J'aurais pas cru que les pénibles travaux forcés de 1ère L me viendraient à l'esprit en regardant une série.

Si la première saison de Bates Motel laissait plutôt sceptique (utilité d'une telle intrigue pour dresser un portrait de Charlie et la cho Norman Bates ?), la seconde saison démarre plutôt pas mal. Personnages plus creusés et de façon un peu moins artificielle, et bon potentiel de partage en couilles des conflits larvés chez les Bates et les sidekick. Ça commence à sortir de l'ennui poli de "j'ai rien d'autre à télécharger les mardis".

Histoire de rééquilibrer la balance de l'univers, puisque le fait n'a pas été établi ici : Marvel's agents of S.H.I.E.L.D., c'est pour le moment affreusement naze. Avec l'attente d'un truc au moins au niveau de Firefly, la rétame est plutôt sévère pour Joss Whedon.

Fargo est une bonne surprise. J'avais prévu d'attendre que la mini-série limitée (10 épisodes, pas de suite prévue) aie terminé sa diffusion avant de regarder, mais "ah well". Donc cette semaine on en est au 4ème épisode.


La série reprend l'univers du film du même nom, à peu près 20 ans plus tard, avec une histoire et des personnages originaux (i.e. pas un remake). Un clin d’œil aux événements du film, à ce stade de la série, mais une connaissance du film n'est pas nécessaire pour suivre la série. (Là encore, à ce stade en tout cas.)

Pour le synopsis, Lorne Malvo est plus ou moins un emmerdeur professionnel (et un psychopathe) qui sème le chaos partout où il passe, ici des petites villes du Minnesota en 2006.

Citation :

Some might call him a drifter, others a gun for hire, others still a spirit or trickster or devil. Lorne Malvo moves from place to place turning people’s lives upside down. Sometimes he does it for money, sometimes for fun. He has killed many people, but he is not a serial killer. He has stolen sums large and small, but he is not a thief.

The truth is, he is fascinated by the search to find the weakness in everybody that he can exploit, to see what it takes to turn a civilized person into an animal.

La série est une bonne source pour créer des théories sur le net. C'est vraiment le type de série où on a l'impression que chaque dialogue, chaque objet dans le décor, est potentiellement significatif. C'est précisément pour cet aspect que j'ai eu un coup de cœur, ça la rend passionnante à regarder. Le ton comédie noire est chouette aussi.

Commencé la mini-série (enfin, le feuilleton) "John Adams", sur... John Adams et l'indépendance des États-Unis. J'ai vu le premier épisode et ma foi c'est pas mal foutu, ça a l'air assez réaliste.
Envie qui m'a été donnée en regardant Young Mr. Lincoln (1939) de John Ford. Et pour compléter mon envolée américaine, je lis un bouquin sur leur révolution, ses causes et ses effets.

Penny Dreadful est plutôt sympathique. Le principe semble être de reprendre et mélanger des personnages et références de la culture anglophone du 19ème dans une histoire à peu près cohérente. L'histoire démarre donc à Londres en 1891 et on rencontre assez vite des personnages issus de Frankenstein et Dracula, ce qui situe la série dans le domaine supernaturel. Repérer les références, explicites (Jack the Ripper) ou implicites (Sherlock Holmes), est plutôt sympa.

Attention, la série n'est pas arachnophobes friendly. Il y a de ces bestioles même dans le générique. (C'est la remarque de quelqu'un qui a mis du sparadrap sur sa bouteille de spray anti-araignées. Pour de vrai.)

La deuxième saison d'In the Flesh s'est terminée hier, et la série vaut vraiment le coup d’œil. L'intrigue pourrait être une énième "zombie apocalypse" mais elle arrive à se distinguer. Je dirais que c'est un mélange original de thèmes pas très originaux.

D'abord les détails techniques : série britannique de 3 épisodes (1h) pour la première saison, et 6 épisodes pour la deuxième. Rien de violent à rattraper, donc.

Maintenant le synopsis. Les débuts de cette apocalypse sont classiques, des milliers de personnes reviennent à la vie sous forme de zombies enragés, appelés "rabid rotters". Ils sont traqués par des milices et généralement (re)tués mais certains deviennent sujets de laboratoire, ce qui va finalement permettre aux scientifiques de réussir à restaurer leur conscience "pré-décès". Ces "zombies sous médocs" (leur nom politiquement correct est "personnes atteintes de PDS" pour Partially Deceased Syndrome, ils reçoivent des lentilles de contacts, des aides cosmétiques et des injections quotidiennes pour gérer/cacher leur condition) retournent à la vie civile après une période de réinsertion, et c'est à peu près là que la série commence. Ces revenants font face à des problèmes personnels (de leur vie d'avant, de la vie quotidienne, et du fait que certains ont des souvenirs de leur période "enragée") ainsi qu'à une discrimination par des mouvements haineux. C'est pas une situation noir/blanc, il existe encore des "rabid rotters" en liberté (c'est-à-dire non traités), donc la méfiance des gens à leur égard n'est pas purement la peur de la différence, il y a, à mon avis, une crainte légitime par rapport au trauma collectif d'avoir été attaqué par des zombies enragés, par rapport au fait que cette situation n'est même pas encore complètement résolue et qu'au final ces dociles zombies ne sont qu'à une prise médicamenteuse d'être des bêtes sans scrupules.

La série traite d'autres formes de discriminations qui, elles, ne sont pas aussi complexes, ainsi que certains sujets sensibles. L'histoire suit particulièrement Kieren, un jeune revenant qui s'était suicidé après la mort de son copain, Rick. Il est particulièrement tourmenté par la conséquence de son suicide sur son entourage (4 ans entre sa mort et son retour, ça s'efface pas aussi facilement que ça) et par les souvenirs qu'il a de sa période en tant que "rabid rotter".
Le copain (Rick) avait été forcé de s'enrôler en Afghanistan par son homophobe de père lorsqu'il a été mis au courant de leur relation. Le fait que le père soit également le chef du groupe haineux pro-humain n'est pas spécialement une surprise.

Halt and catch fire, qui a débuté le 1er juin (3 épisodes actuellement pour une saison qui donnera dix épisodes). Une version nerd et années 80 de Mad Men, un peu. Au lieu du milieu publicitaire, la série tourne autour de la thématique de la révolution du PC avec point de vue sur Cardiff Electric, petite entreprise texane qui va se retrouver opposée à la géante IBM.

Il y a clairement un côté geek, le titre est le meilleur exemple probablement, mais pas besoin de s'y connaître en ingénierie informatique/électronique/blah pour suivre. L'intrigue est un mélange entre vie/motivation des personnages, passages techniques et monde des affaires (à côté des ingénieurs, les salesmen et leur légendaire mégalomanie, manipulations etc). L'ensemble est bien joué, et on a notamment Lee Pace (Pushing Daisies, par exemple) dans un des rôles principaux (le rôle principal ?).

La coupe du monde de football 2014. L'intrigue est assez faible et le sujet quasi inexistant, mais le nombre d'acteurs et la fréquence des épisodes rattrapent largement ces défauts de surface.

Une version du script leakée dit que l'équipe d'Allemagne sera victorieuse, une autre sur fond géopolitique le Brésil. On est d'accord, ce sont des plagiats de Highlander et de 24 heures chrono en puissance, mais les scénaristes sont en train d'écrire les détails des épisodes en flux tendu.

La réa est impeccable, le casting tentaculaire, il y a beaucoup de merchandising et des flash mobs thématiques sont organisées par des clubs de fan. Un peu too much.

Néanmoins, cette comédie familiale ciblée sur un public masculin 15-45 ans est efficace car reposant sur des ressorts narratifs éprouvés et remontant avant même le temps de la première bobine cinématographique.

À suivre, donc!

Pour ma part, Game of Thrones reste l'une des meilleurs séries de ces 10 derniers années. J'ai jamais passé par autant d'émotions dans une série ou dans un film que dans celle là. Dans cette série, il y a pas de méchants ou de gentil, le personnage principal de la série c'est l'histoire en elle même. Résultat on se retrouve attaché aux salopards du début de la série et on pleure la mort des héros. Série riche en rebondissement à chaque saison.

Après pour les classiques Oz, Alias, 24 heures chrono, Lost The Big Bang Theory

Évoquons Peter Falk... Colombo, évidemment!
Martin Landau? On a deux choix : Cosmos 1999 ou Mission impossible (Non, PAS le Cuirassé Potemkine!!!!!)
Si je vous dis Patrick MacNee? Fastoche, Chapeau Melon et bottes de cuir!
Elizabeth Montgomery? Un peu plus dur, mais c'est dans Ma sorcière bien-aimée...
Telly Savalas? Kojak, bien sûr!
William Shatner? Star Trek ou on nous prend pour des cons.

Et bien, tout ce beau linge, avec Buster Keaton le roi du comique pince sans rire, les deux fines gâchettes que sont Charles Bronson et Lee Van Cleef et aussi Robert Redford, beau comme un dieu ont joué au moins un rôle dans une suite à épisodes non reliés entre eux.

La Quatrième Dimension.

À redécouvrir?

Pour mieux apprécier le jeu d'acteur de Shatner, je conseille T. J. Hooker   

Une amie m'a prêté Bates Motel, un genre de préquel de Psychose et du livre qui l'a inspiré. Ben mine de rien, j'étais pas convaincue mais le jeu des acteurs m'a plutôt plu. J'attends la S3...