Nouvelle

Voila j'ai commencer à écrire une nouvelle composée de 7 souvenirs, c'est assez triste je vous l'accorde mais j'aim jouer avec ces sentiments la! Les souvenirs sont accompagnés de musique ( d'ou les liens ) et je m'excuse tout dabord pour les tonnes de fautes qui s'y trouve mais moi et le français sa n'a jamais fait bon ménage!! lol
Bon bin voila alors j'vous met tout sa !! Bravo pour ceux qui auront le courage de tout lire en une fois!! lol J'voulais juste avoir quelques avis en fait^^

Synopsis : musique : Death Cab for cutie – summer skin : https://www.youtube.com/watch?v=Jr2xv8vxEho


Les démons du passé, font désormais partie intégrante du présent.
Ce qui fût le grand damne de l’histoire, est maintenant oublié, faisant parti intégrante de notre monde
On vit, on meurt mais sans en connaître la raison, sans connaître la douleur qui hante mon cœur de père depuis le jour funeste ou cela est arrivé.
Jamais je n’ai réussi à la blâmer pour ce qu’elle a fait.
Un père ne peu haïr sa fille, malgré son tort.
Son seul tort qui n’en était un que pour les autres.
Cette douleur n’est pas le fruit de la trahison comme on c’est toujours acharné a le croire.
J’ai mal, car aujourd’hui je ne peu plus dire j’avais une fille, qui s’appelait Skia.
J’ai mal car aujourd’hui ce nom ne signifie plus rien alors qu’il signifie tout
J’ai mal car aujourd’hui je ne peu plus dire autre chose, que celle provoquant une infime compréhension : « Je suis Le père de la mort »
Depuis des millions d’années, à chaque orage, j’ai mal, à chaque nuit, son souvenir me hante.
Car aujourd’hui, Je suis le père de la nuit...

Dans la nuit éternelle,
Se tient l’ange du sommeil,
Elle qui détient le péché immortel,
Sans bruit et sans réveil.

La pluie révèle ses barreaux,
Son monde est un fléau,
Peu lui importe les lois,
Son cœur seul fait foi.

Peu il importe son tort, il se tient près d’elle,
Leurs mains unis défiant le ciel,
Peu lui importe la damnation,
Puisque leurs cœurs battent à l’unisson.

De cet amour interdit,
Naquit la mort et la vie.
A jamais unis par leur pire ennemie,
Dans leur tombeau maudit.

Souvenir 1 : Musique : Théatre of tragedy – A Rose For The Death. VOIR LE CLIP : https://www.youtube.com/watch?v=YLCKGHiZ4Ws


Une nuit d’hiver. L’orage produisait des vents qui fouettaient de toute leur intensité les rideaux de la chambre.

Comme toutes les nuits.

Le même cauchemar qui sans cesse me réveillais.
Le même souvenir cruel qui sans cesse, à chaque nuits, venait me hanter.
J’avais perdu l’être le plus cher à mon cœur, elle qui m‘avait soutenue, redonné espoir, elle qui m’aimait, elle que j’aimais, elle que j’ai tuée...

Comme toutes les nuits

Je me réveillais, attelant, sentant encore son regard suppliant se posant sur moi, sentant sa douleur se propagé comme le froid glacial d’une mer gelée.
Elle était mienne, elle l’était, elle ne l’est plus.
Mais comme tout les soirs, elle n’était plus la seule a me hanter...
Se soir la je me suis levé, m’attardant dans sa chambre.
Le souvenir de ma femme laissa place a celui de ma fille adoptive...
Son lit, ses draps encore couverts de son parfum, étaient maintenant abandonné face aux forces grandissantes du vent qui s’engouffrait en rafale dans la pièce.
Les torrents de pluie sur la terrasse s’engouffraient près des piliers séparant celle-ci de la chambre.

Comme toutes les nuits

Elle n’était plus qu’un souvenir, qui ne se ravivait qu’au matin avec son retour, ses cheveux noirs ruisselant d’eau, barrant son visage ,tombant en cascade sur ses frêles épaule de 16 ans...

Comme toute les nuits.

Mon regard se posa sur la Montagne dévastée qui servait de repère aux gens de nos convictions.
De mauvaises convictions selon les autres, toujours selon les autres...

Comme toute les nuits.

Son ombre m’apparut, frôlant la ligne d’horizon.
Comme une ligne de risque qu’elle ne pouvait franchir, comme une ligne sans retour en arrière possible...
Sa respiration semblait calme, si calme...
Elle détourna son regard et rencontra le mien.
Jamais je n’ai réussi à comprendre comment pouvait se lier autant de peur de douleur, de haine et d’amour en un seul regard, aussi profond et pénétrant qu’un des nombreux éclairs aveuglants de cet orage, qui éclairaient sont visage.
Aucun hommes, ni bête ne pouvais résisté a ce regard bleu azur, aucuns de ceux qui l’affrontait, n’était encore la pour en témoigner.
Ces lèvres rouges s’entrouvrirent.
Elles se ressemblaient tellement, cela aurait pu me couper le souffle si j’avais su que cette ressemblance n’était pas le fruit du hasard comme mon maître me l’avait toujours dit.
Mais en ce temps je n’étais qu’ignorance.
Elle détourna son visage du mien.
Franchit la ligne.
Sauta dans le vide dans une grâce troublante.
Immortelle phénicienne qui retombe toujours sur ses pieds.
Immortel souvenir qui revient toujours quand l’aube se lève.
Immortel souvenir qui me hante toujours quand la nuit se lève.
Immortel Phénix qui lui seul parvient à la guidée.
Immortelle beauté.
Immortelle ombre incapable d’écouter.
Les éternelles fois où on lui a demandé,
De ne pas m’aimer.

Comme toutes les nuits, je l’ai laissée sombrée.

Souvenir 2 : Counting crows – colorblind : https://www.youtube.com/watch?v=y0s7ycdUcHk Regardez le clip!! ( il sert pour la suite! )


Et l’aube parvient encore a se levée

L’eau perlait sur son visage, un arc en ciel se formant dans les gouttes éclairés par les fin rayon du soleil.
Il était temps d’aller la voir...

Flash back

Un soir d’été, le soleil couchant éclairant un vaste vallée, comme un paradis sur Terre pour la première fois accessible.
Mais ce soir ne savait pas encore qu’il serait le plus funeste de tout ceux vécus dans ce temps.
Un regard marron se posait sur ce paradis, troublé par les larmes sur la fertilité qui ne faisait que la narguer et lui rappeler son désespoir.
Ce regard portait la vie en lui, une vie semblable à la fuite pour tout ceux qui la connaîtront.
Et la nuit commence lentement à tomber.

Ce regard devient fuyant, envers qui, envers quoi, me direz vous ?
Seulement envers elle.
Elle et ce qu’elle a pu ressentir, ce qu’elle ressent encore, malgré elle, parce que c’est elle, parce que c’est lui et parce que c’est eux.
Peut –elle voir l’orage qui finira par tombé ?
Peut elle savoir ce que son amour va engendré ?
Elle le savait, elle l’avait vu, mais elle n’a rien fait.
Faut t’il reprocher a cette femme d’avoir agis en mère ?
Faut t’il lui reprocher d’avoir été la mère du péché ?
Faut t’il lui reprocher d’avoir transmit dans son sang la maladie d’aimer ?

Et la nuit vient de tomber

Deux vies viennent d’être séparé,
De cette nuit personne ne peut témoigner.
Car en cette nuit,
Un homme a perdue sa vie.
Une femme a perdue la vie.
Une fille a perdue sa mère.
Un père a perdue sa fille.

Car en cette nuit, tous ont perdu leurs vies.
Entièrement, ou seulement en partit.

Fin du flash back

Sa main se pose sur sa tombe, et la caresse lentement.
Une larme tombe, puis une deuxième, puis une troisième.
Cette main tremble.
Mais toujours pas un mot.
Que peut on faire comprendre avec des mots ?
Ces larmes deviennent rouges.
Ce ne sont plus des larmes qui coule par centaines.
Ce sont des gouttes rouges.
Des gouttes de sang.

Qui finissent par s’estomper.

Qui sait ce qu’elle a pu ressentir a cet instant présent.
Sa vie n’est que mensonge, elle-même est un mensonge.
Parce que c’était lui, parce que c’était elle parce que c’était eux.
Et parce que maintenant ce n’est plus rien.

Et l’aube parvient encore à se lever.

Flash after

Des souvenirs, des torts ,de la vie d’une mère, ne reste qu’une forêt,une tombe blanche et une inscription gravée sur la pierre.

« Ici repose le phénix de ses bois »

De la vie d’une jeune phénicienne de 16 ans, ne reste qu’un tombeau gris avec une inscription gravée sur la pierre.

« Ici repose le sang de la terre »

De la vie et des souvenirs d’un jeune phénicier de 16 ans, ne reste qu’un tombeau gris avec une inscription gravé sur la pierre.

« Ici repose le créateur de la terre »

De l’amour qui avait fini par unir ces phéniciers ne reste qu’une rose rouge posé sur leur tombeau, sous ces deux inscriptions.

De l’opinion des autres, ne reste absolument rien.

Alors pourquoi est elle si importante ?

Fin du flash

Souvenir 3 : Musique : Lifehouse – everything : https://www.youtube.com/watch?v=fjDojEOiMcE


Et la lumière les a consumés.

Une main se pose sur la sienne.
L’azur devient roi, elle devient reine.
Parce que c’est lui et parce que c’est elle, et parce que c’est eux.
Une rose noir devient blanche.
Une rose blanche devient noire.
Une rose rouge se forme.
Parce que c’est lui, parce que c’est elle et parce que c’est eux.
Parce que c’est son regard, parce c’est le sien, et parce que c’est le leur.
Parce que c’est son cœur, parce que c’est le sien et parce que c’est le leur.
Parce que c’est eux, parce que c’est son âme, parce que c’est la sienne, parce que c’est eux, parce que c’est lui, parce que c’est elle.
Parce que.
Être.
Posséder.
Aimer.
Revivre.
Pour la première fois, se sentir être, se sentir maître, sentir la force de l’amour dans chaque fibre du corps, sentir la vie nous posséder, se sentir pour la première fois, revivre.
L’amour à ses raisons que la raison ignore, et l’amour ignore la raison, il est la alors à quoi bon lutter ?
Au delà de l’affront, au delà de l’opposition, au delà de l’opinion, au delà de tout, tel est l’amour.

Et la lumière les a consumés.

Il est la lumière, elle est l’ombre, et ils sont main dans la main.
Il est son ennemi, elle est son ennemi, ils sont ennemis.
Cela ne leur a pas importés.

Et la lumière les a consumés.

L’opinion si elle avait su, aurait a cet instant arrêter tout mouvement.
Mais l’opinion ignorait.
Alors ils s’aimaient.
Alors rien ne les arrêtait.
Alors leurs lèvres se touchaient, se caressaient.
Alors leurs langues s’entremêlaient ;
Alors leur cœur se rapprochait
Leurs âmes se liaient.

Et leur monde s’est lié.

Souvenir 4 : Musique : Theatre of tragedy – Storm ( https://www.youtube.com/watch?v=tJ95J-k16bw&mode=related&search= )


Mais la réalité est tout autre.

Quand l’ignorance n’est qu’une illusion ;
Même l’amour ne peut être seul.
Parce que l’opinion sait.
Et que l’ignorance, fait parti de l’amour.
Et parce qu’ils ne sont qu’ignorance.

Parce que c’est eux, et parce qu’ils ne sont pas seuls.
Parce que même si aujourd’hui rien n’en témoigne.
Ils ne possédaient pas le droit de s’aimer.

Mais la réalité est tout autre.

Peu leur importaient le droit, la raison, l’opinion.
Peu m’importe le droit, la raison et l’opinion.
Parce qu’elle s’appelait Skia.
Parce qu’elle est ma fille
Parce que je suis son père.
E parce qu’aujourd’hui je le sais.
Et parce que par-dessus tout, un père ne désire que le bonheur pour sa fille.

Peu Nous importe la réalité.

Parce que l’ombre nous délivre de son emprise.
Nous nous laissons guidés par la folie.
Elle qui se trouve être notre pire ennemie,
Devient la lumière de notre vie.

Peu nous importe la réalité

Parce que pour la première fois dans notre vie,
La vie ne nous parait plus insensée.
Parce que pour la première fois dans l’éternité,
La douleur nous oublie.

Et quand la réalité se heurte à elle.
Son ombre se dédouble.
Comme tout les soirs, elle se tient près de la ligne, prête à sauter dans le vide qui se tient devant elle.
Mais ce soir la, une ombre se tenait près d’elle et sa main s’unis a la sienne, personne ne pouvait dire, quel ombre était lumière et quel ombre était ténèbre.

Se soir la, quand ces yeux ont rencontrés les miens, ce n’était plus la tristesse et la douleur que je voyais plus que les ténèbres. Se soir la j’ai vu dans ces yeux une flamme qui plus qu’une brindille dans la forêt de ses yeux donnait un sens a sa vie, une flamme qui brûlait les ténèbres, mettait a vif ses sens, redonnait a son cœur cette sensation de pouvoir qu’elle avait perdue depuis trop longtemps. Cette flamme qui brûle tout les maux sur son passage et exploite les fautes, cette flamme qui redonne envie de vivre la vie sans attendre une quelconque libération quand viens l’heure de la mort. Cette flamme qui bien au dessus des mots garde toujours son sens quand on la sent brûler au cœur de son âme, cette flamme qui m’a appris que bien au dessus de l’ivresse qu’elle produisait, se trouvais un sentiment incapable d’être ressentit autrement, cet flamme que l’on nomme l’amour.

Se soir la j’ai vu la même flamme brûler dans leur yeux, cette même flamme qui incendié leur corps et leurs âmes, cette passion indescriptible et incontrôlable, qui plus que tout autres sentiments les dévores. Se soir, j’ai réalisé que la trahison n’était rien par rapport a ce que cette flamme leur apportait.

Parce qu’ils sont ennemis, le droit leur est refuser, mais grand dieu, si l’opinion avait vu cette flamme brûler au cœur de son être, alors elle n’aurait pas décider d’agir se soir, elle n’aurait pas interdit a ces deux âmes de vivre, elle ne les auraient pas condamnés a mourir

Qu est ce que vivre sans l’autre, sans flamme, c’est périr.
Qu est ce qu’enfreindre les lois de l’existence, c’est périr.
Alors entourer par l’opinion.
Sans pouvoir poser de conditions.
Sans pouvoir répondre à ce dilemme à l’issue fatale
Sans pouvoir lâcher leur mains bousculées par le vent en rafales.
Sans même se poser de questions.
Sans avoir le choix de quitter la funeste ligne d’horizon.
Sans regarder en arrière
Faisant face à leur perdition
Ils on passé la ligne sans une seule prière.

Que faire face à une inévitable condamnation
Si ce n’est tout tenter.
Pour que celle-ci.
Nous oublis
Se condamner
Pour gagner ne serait que qu’une heure a espérer.
Main dans la main, en continuant de respirer.

Parce que cela devait arriver ?
Parce que rien ne devait l’empêcher ?
Pour satisfaire la morale d’une opinion faite elle-même de péchés ?
Pour montrer que tout désir de vivre doit être opprimé ?

Ou simplement, parce qu’au jour ou la réalité se heurte à eux,
Ils n’étaient pas près à opprimer leur raison de vire et à l’affronter.

Parce qu’au jour où la réalité se heurte à eux, ils ne deviennent que 2 oiseaux enfermés dans 2 cages séparés.
Parce qu’au jour ou la réalité se heurte à eux, la seule choses qui les retiens sur cette terre, parait une trahison synonyme de condamnation. Parce que la seule phrase qui les retenaient en ce monde, leur était interdite a prononcer.
« La courbe de ses yeux fait le tour de mon cœur »

Souvenir 5 : Snow Patrol – Open Your Eyes : https://www.youtube.com/watch?v=sGRcOIKnT6U


La courbe de ses yeux fait le tour de son cœur.

Sa main effleure ses larmes.
Il n’y a pas de justice.
Il n’y a plus que les armes.
Alors que ce n’était pas un vice.

Parce que la fuite était la seule solution.
Malgré qu’elle ne soit pas synonyme d’absolution.
Parce qu’ils s’aimeront même au delà de la terre.
Malgré que leur vie soit éphémère.

La courbe de ses yeux fait le tour de son cœur.

Rien ne peut l’empêcher de pleurer.
Son cœur va éclater.
Parce que l’injustice a frappé.
Son monde c’est écroulé.

Rien n’était insensé.
Tout c’est brisé.
Son âme se meurt.
Plus d’âme sœur.

La courbe de ses yeux fait le tour de son cœur.

Son cœur s’arrête.
Allongée immobile.
Son cœur s’arrête.
Allongé immobile.

Séparés par des barreaux.
Un seul couteau.
Leurs larmes s’enfoncent dans la terre.
Leurs sangs se propagent dans la Terre.

La courbe de ses yeux fait le tour de son cœur.

Plus jamais ils n’ouvriront leurs yeux.
Leurs corps se glace.
Ils voulaient juste laisser une trace.
Leurs visages sont couverts de bleus.


Ils se sont aimés.
Les mares de sang se sont liées.
Ils se sont tués.
Leurs deux mains se sont liées.

La courbe se ses yeux fait le tour de son cœur.

A travers les barreaux.
Au-delà des frontières physiques.
Unis jusqu’aux derniers de leurs maux.
Parce qu’eux, n’on pas suivis la même musique.

Ils on choisis la liberté de se condamnés
La seule chose que personne n’a réussie à leur enlever.
Ils ont préférés êtres des suicidés.
Plutôt que d’être des exécutés

La courbe de ses yeux fait le tour de son cœur

Pas une minutes de plus sans elle.
Pas une minutes de plus sans lui.
Si fatigués
Ils n’ont même pas du sentir les coups.
Ils n’ont même pas du sentir leur corps se vider de leur sang.

La courbe de ses yeux fait le tout de son cœur.

Des souvenirs, des torts ,de la vie d’une mère, ne reste qu’une forêt,une tombe blanche et une inscription gravée sur la pierre.

« Ici repose le phénix de ses bois »

Le monde fut créé par les larmes.
La courbe de ses yeux fait le tour de mon cœur.


De la vie d’une jeune phénicienne de 16 ans, ne reste qu’un tombeau gris avec une inscription gravée sur la pierre.

« Ici repose le sang de la terre »

La terre, fut engendré par le sang.
La courbe de ses yeux fait le tour de mon cœur.

De la vie et des souvenirs d’un jeune phénicier de 16 ans, ne reste qu’un tombeau gris avec une inscription gravé sur la pierre.

« Ici repose le créateur de la terre »

La vie, fut crée par la perte de la lumière.
La courbe de ses yeux fait le tour de mon cœur.

De l’amour qui avait fini par unir ces phéniciers ne reste qu’une rose rouge posé sur leur tombeau, sous ces deux inscriptions.

La mort, fut engendrée par la perte des ténèbres.
La courbe de ses yeux fait le tour de son cœur.

De l’opinion des autres, ne reste absolument rien.

La courbe de ses yeux, fait le tour du néant.

Souvenir 6 : Musique : Evanescence – Missing https://www.youtube.com/watch?v=06d33K1ei6I

Des larmes s’accrochent encore à mon âme et me condamne.

Dans la nuit éternelle,

Une nuit d’hiver, la pluie martelant le sol, elle n’est plus qu’un souvenir.
Sa voix douce récitant toujours le même poème, comme si toute sa vie en avait dépendu.

Se tient l’ange du sommeil,

Ma vie n’est plus qu’une goutte d’eau qui se meurt entre toutes les autres, entre cette orage qui pour toujours me la rappelle.
Elle, lui.
Une larme coule, tombe, se mélange a l’eau. Une larme de rien, qui n’est plus rien, le néant.
Et comme un ange, sa vision m’apparaît, son regard, ses cheveux ruisselant d’eau.
Disparue, la vision du néant.

Elle qui détient le péché immortel,

Parce que c’était lui, parce que c’était elle et parce que c’était eux, et parce que leur disparition, ne fait qu’augmenter la ligne d’horizon.

Sans bruit et sans réveil.

Mais a quoi bon ? Cette ligne si bien tracé, ce n’est pas elle qui pourra les ramenés .Parce que cette pluie peut être torrentielle, ce n’est pas elle qui va les ramenés, parce que tout bruit n’est plus que silence, qui pourra encore être apaisé par sa voix ? Nous avons tous failli, leurs voix ne sont plus, et l’apaisement se meurt, bienvenue au silence.

La pluie révèle ses barreaux,

La pluie c’est mélangé à leurs sangs, ils ne faisaient plus qu’un.
Avec elle, lui, eux,
Elle révèle son sang, celui qu’elle n’aurait pas du avoir, ce vice, la différence, enfermée par sa propre chair, ses barreaux liquides qui jamais ne se sont estompés.

Son monde est un fléau,

Qu est ce que vivre sans l’autre, sans flamme ? C’est périr.
Qu est ce qu’enfreindre les lois de l’existence? C’est périr.
Son monde se résumait en un mot : son prénom
Son prénom se résumait en un mot : amour.
Son amour se résumait un mot : fléau.

Peu lui importe les lois,

Parce que c’est lui.

Son cœur seul fait foi.

Parce que c’est eux.

Peu il importe son tord, il se tient près d’elle,

Parce que c’est elle.

Leurs mains unis défiant le ciel,

Parce qu’à travers la pluie, le sang les barreaux, l’enfermement, deux corps gisant immobiles, sans vie, a terre avait leur main unis, jusqu’au bout, a la vu du ciel, à qui ils étaient soumis depuis leur naissances, deux mains glacés unis, face au ciel, tenant en leur cœur le couteaux responsable de leur perte selon l’opinion, de leur libération selon eux.

Peu lui importe la damnation,

Parce que c’est elle, et parce que c’est eux.

Puisque leurs cœurs battent à l’unisson.

L’amour n’a pas de frontière, l’amour n’a pas de vie, ni de mort, la ou le physique n’est plus, soumis au variations de l’ombre qui l’a engloutit, l’amour lui, continue d’être.

De cet amour interdit,

Son prénom se résumait en un mot : amour.
Son amour se résumait un mot : Trahison.

Naquit la mort et la vie.

Parce que l’opinion n’influence pas la décision finale du destin.
Parce que c’était elle, lui ,eux ,et parce qu’il ont disparus dignement face à l’oppression ,en vainquant l’injustice, parce que le destin leur a crée leur monde, dans lequel il est devenu ,le début, et elle la fin.

A jamais unis par leur pire ennemie,

Ivresse, voit ce que tu as fait, et soit en fière, parce que tu ‘a pas crée la mort, mais la liberté.

Dans leur tombeau maudit.

Maudis par l’opinion, deux corps dans la même tombe, le physique maudit jusqu’à la fin des temps.
Bénis par le destin, deux esprits unis dans l’éternelle, les sentiments, les esprits bénis jusqu’à la fin des temps.
Ne chercher pas de raisons, il n’y a pas de pourquoi, ni de raisons, il n’y à que le jugement.


Des larmes s’accrochent encore à mon âme et me condamne.
Pourquoi doit t’il toujours y avoir un jugement ?

Souvenir 7 :

Et si demain on vous disait, vous allez mourir...
Comment réagiriez vous, auriez vous peur ?
Voudriez vous tout faire pour continuer a vivre ?
Ou éclateriez vous en pleur ?

Et si vous aviez le choix de mourir ou de vivre ?
Et si l’on vous disait, oublier ceux que vous aimez
Que feriez vous, iriez vous jusqu’a mourir ?
Rien que pour avoir le souvenir de ceux que vous chérissiez ?

Et si vous n’aviez pas le choix...

Linkin Park – What I’ve Done : https://www.youtube.com/watch?v=8sgycukafqQ


Qu’avaient ils fais de si horrible pour qu’on en vienne a leur demander de choisir entre leur amour et la vie ?
Le fait de s’aimer au lieu de se haïr, de ne pas faire ce que l’on vous somme de faire si vous le jugez injuste ou inadapté, doit t’il être jugé par les hommes comme un crime si les dieux pensent le contraires ?
On leur a laisser le choix, mourrez en vous aimant, on vivez en vous détestant.
Mais quel est ce choix que l’on leur laisse, ce n’est pas un choix car des deux possibilités chacune les blesse jusqu’à les conduire à la mort qui devient la seule possibilité pour fuir les chaînes qui les ont emprisonnés...
Ce qu’ils ont fait, on peu le regretter, ce que l’opinion a fait on peut le blâmer, on peut avoir envie de la tuer, mais une chose est sur, jamais ont ne pourra ramener ceux qu’elle à condamner...

On juge, tout le monde juge, préjugés, haine, amour, tout dans ce temps comme dans le notre est liée par la seule volonté des hommes qui n’est ébranlée que si deux de leurs semblables brisent cette chaîne quitte a se condamner.

La question est de savoir pourquoi l’homme cherche à tout contrôler ?
La liberté qui est sensé leur être acquise, ne l’est que sur un bout de papier nommé droit de l’homme sur qui ont ne peut pas compter dans la réalité !
La liberté comme on l’appelle n’est qu’un rêve pour qui des personne sont prêtent a ce condamner alors qu’elle devrait déjà leur appartenir
De quel droit un homme doit il décider de la vie ou de la mort d’un autre homme ?
De quel droit un homme doit il en haïr un autre si sa volonté lui ordonne le contraire ?

Elle s’appelait Skia, elle avait 16 ans, et le seul crime qu’elle n’a jamais commit était d’aimer son pire ennemis
Il s’appelait Phos, il avait 16 ans, et le seul crime qu’il n’a jamais commit était d’aimer sa pire ennemie

Aujourd’hui Skia, se nomme mort, et Phos, vie.
Mais pour ceux qui les ont rejoint dans l’oubli, après avoir étés trop blesser, elle s’appelle Toujours Ombre et lui Lumière, pour ceux la, leur vie n’a commencer qu’un 7 décembre, jour ou on a retrouver, deux corps ensanglantés, main dans la mains en tenant en leur cœur, le même couteau qui leur avaient donné vie...

On peut toujours regretter d’avoir juger, on peut blâmer la Terre entière pour l’avoir fait, mais la seule chose qui sera vraiment utile dans ce monde, c’est de ne pas faire ce qu’on blâme chez les autres....

Cela n’arrêtera pas la mort, cela ne ramènera pas à la vie, mais cela va tout simplement, Libérer ... Ne jugez pas...

Rf@D

Voila désolée pour tout les post écris d'affilée mais je ne pouvais pas le mettre en un ça aurait été trop long!
Voila , vous en pensez quoi?