Des trucs que vous pouvez aimer

voila c'est des textes de mon blogs je vous en mets quelques uns,
il parait que j'ecris pas trop mal..

C'est du passé et c'est tout...

ça fait mal, ça guerrit pas..

C'est ma faute et c'est tout,

mince je me melange les pinceaux, c'est toi,lui, l'autre?

C'est pas la peine, ça n'en vaut pas la peine..

Oui vous avez surement raisons..

personne ne comprend, ce qui tourne dans ma tete.. ce qui ne tourne pas rond.

Des mains, moi, mon corps, la douleure, ton nom, nous, lui, eux, moi toi...

Personne ne comprend, ma tete, mon corps..

oui c'est vrai, il a fait le connard avec moi c'est vrai..

ce qu'il m'a fait il l'a fait par amour, mais pour une autre, et alors?.. cruel..

Personne ne comprend ma tete, mon corps..

C'est sur c'était pas tres classe, c'est sur ça m'a fait trop mal..

Mais si j'étais moins conne, si je n'avais pas étée bourée..

Personne ne comprend mon petit corps, mon petit etre..

Vous ne savez pas l'emotion, le contact et la peur..

Vous avez oublié.. vous vous y etes habitués, pas moi..

J'ai peur de ne plus jamais y arriver, tu sais ça? j'ai peur de rester bloquée!

Il parait que je suis merveilleuse,

quand je vois ce qu'on fait aux choses merveilleuses, je me dis qu'il vaudrait mieux ne rien etre du tout

Je trouve que dans ma merveilleusité je suis bien seule et bien abusée..

Mais apres tout ça vous vous en foutez...

Il n'y a plus de mots, plus de noms..

juste moi ma tete ma vie, mes demons..

Toutes ces choses que vous ne voyez pas et qui me hantent..

Toutes ces choses que vous avez oubliées; mais qui me terrifient..

Vous avez su passer a coté, et arreter de voir..

Moi je tremble frenetiquement..

Je ferme les yeux, j'essaye de ne pas voir, de ne plsu rien sentir..

Mais j'y arrive pas, j'y arrive pas...
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Je vais mieux, merci..
Vraiment, sincerement, profondement..

Le temps passe, et moi je le regarde faire de moi,
ce qu'il veut, je suis son jouet, son absente..

Je m'abandonne a lui, et j'abandonne beaucoup de choses..
J'entends des "ça va?", des "calmez-vous!", Des "je t'aime" a l'overdose.

Je crois qu'il faut que j'avance,
mettre un pied devant l'autre ça ne doit pas etre si dur, Non?

Parce que si je ne sors pas de mes cauchemars;
je vais me noyer dans le noir, et ne jamais en sortir.

Je sais que tout peut s'arreter si vite,
que le souffle d'un vie, ne tient a rien d'autre, qu'au sens du vent..

Parce que le silence a fait de moi, sa princesse,
Et que dans mon donjon perdu, le reve et tout ce qu'il me reste.

Je crois que c'est ça, un pied devant l'autre puis un autre.
Je veux marcher seule, laissez moi, laissez moi courir..

Je sais qu'a aller trop vite, je vais tomber,
M'abimer, peut-etre ne jamais me relever..

Et si assise au bar d'une cuisine, a vider la vodka, en riant,
j'ai envie de vous dire que tout ira, je le ferais..

Et meme si ça me fait mal, de rire des promesses qu'on fait aux filles comme moi,
Et meme si ça fait mal, de dire "je me suis bien faite prendre pour une conne"..

Meme si ça fait mal, tes mains sur ma peau trop fragile, trop douce..
Sur ma peau qu'on a trop aimée, sans jamais avoir su la sauver..

Et si je descends cette bouteille si vite c'est parce que j'ai l'habitude,
Quoi? j'ai quinze ans, et intediction de boire parce que je bois trop.. ça vous fait rire..

Si je peux vous faire rire, alors allez-y, faites, riez..
Moi je sais, que demain j'irais mieux...

Parce qu'on me l'a promis,
hein on a dit cap que tout irait mieux demain...

Que demain le soleil brillera d'une lumiere,
a faire fondre ma peau blanche, ma peau de verre..

Demain j'embrasserais la vie, de mes levres discretes, et tristes..
Demain je serrerai la vie, dans mes bras si petits, et trop courts.

Pourquoi j'ai peur? Peut-etre parce que les contes de fées sont des histoires,
auxquelles on m'interdit de croire...
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je n'ai plus le temps d'attendre que le vent se penche sur ma peau froide...

que son souffle vienne me chatouiller le cou, et jouer avec les doigts de mes mains blanches...

tel un papillion qui se pose dans mes cheveux denoués de vie..

un sourire accompagné de son rire de crystal, eclate au loin, on croirait entendre ma voix..

de douces jambes fines, se perdent dans l'herbe si verte..

au fond de ses yeux on pourrait voir le ciel si bleu, ses nuages qui respire pour elle..

a chacun de ses pas, c'est une dance enchanteresse qui s'epanouie..

c'est une fleur ceuillie a l'heure ou la nature pleure..

[Ooje voudrais revoir la Terre, il y a longtemps deja, que je suis partie..oO]

ses doigts font des mouvements decilats, essuient les larmes des petales de roses blanches..

elle ferme les yeux, et respire, que l'air est doux..

elle murmure une priere, c'est pour toi,

puis soudain, rit, c'est une folie qu'elle se permet..

elle coure, son rire ne s'arrete plus,

elle tend les bras vers le ciel,

tourne sur elle-meme, plie et deplie, ses membres si fins..

Elle se laisse tomber, a meme le sol..

garde les yeux fermer, l'herbe lui picotte le visage,

Elle replie ses jambes, se prend a rever..

Les brins d'herbes deviennent des baisers gourmands et fugasses, que son amant lui offre..

les fleurs qui lui chatouillent les pieds, la font rire..

le soleil qui eclaire sont visage, fait rayonner son sourire..

c'est comme ça que l'on l'aime..

elle ferme les yeux,

son coeur bat, doucement tout doucement,

il ne lui reste que quelques secondes a vivre,

avant de s'endormir, pour partir au loin au bout de ses reves..

Elle respire une derniere bouffée de cet air qui l'a fait vivre,

Ouvre les yeux, ou loin les oiseaux s'envolent vers d'autres horizon

qu'elle ne verra jamais, elle le sait, mais ils les verront pour elle..

elle passe sa main dans l'herbe, s'y accroche comme pour sentir une derniere fois,

qu'elle a vecu, elle..

ses pieds s'enfoncent dans le sol encore humide..

c'est froid, c'est drole..

le vent souffle, comme pour remettre en place, la meche de cheveux echappée..

elle murmure un "je t'aime" comme pour personne, comme pour l'inconnu

qui viendra reveur, lire le livre qu'elle aimait tant,

allongé sur cette herbe encore innocent , inconscient..

le temps de cligner ses paupieres d'oubliée..

Elle n'a pas le temps , elle a presque oublié de compter les batements de son coeur,

eprise a rever, elle n'a pas sentie la mort l'envahire..

doucement elle referme ses yeux, eteints sur ce monde qu'elle ne verra plus.

ses doigts se detendent, ses mains deviennent froides.

on l'a croirait endormie, partie au pays des reves comme si souvent..

on loin on peut entendre les batements d'ailes d'une colombe.. encore aveugle..


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encore une nuit passée,
les yeux fermés, a me dechirer les paupieres,
je ne veux pas voire le desastre de ma chambre,

j'ai eu beau ouvrir tous les placards,
faire tomber les lampes,
jeter mes vetements par terre,

rien ici, ne me donne l'impression d'avoir vecu,
cette chambre de la taille d'un studio, n'est plus,
ces grands murs blancs me terrifie,

mais ces nuits sont toutes le memes,
encore seule personne, ne vient m'embrasser,
me souhaiter une bonne, s'assurer si je vis,

je ferme les yeux,je sens mon souffle se couper,
il n'y a plus d'étoiles dans le ciel,
juste un flou dans mon esprit,

Il faut faire quelque chose,
je n'ai le temps de rien,
meme pas d'oublier,

je suis une petite princesse,
dans une bulle de vertige,
un miroir me reflechit,

j'ai mal, mon ventre,
mes cicatrices,
mon coeur part en lambeaux..

vous y croiez-vous?
moi?moi en position de faiblesse?
Il y a des espoirs, et desespoir..

je voudrez aller mieux,
regagner la legereté,
sans regret,

je voudrez oublier le mal,
faire de moi l'eternité,
pour ne jamais etre oubliée,

mes ailes n'ont pas repoussées,
mon corps est resté trop lourd,
et j'appele a l'aide a ma vie,

meme si je ne l'ai jamais vraiment,
sentie en moi, je sais qu'elle est la,
et j'aimerais qu'elle soit fiere de moi,

j'aimerais que tu m'aime Maman,
Je te jure Papa, ce n'est pas l'envie qui me manque,
juste un peu de vie, et d'amour pour moi,

une carrence de sentiments,
un trou dans le vide de mon ame,
je voudrais tellement que vous soyez fiers de moi..

mon corps est une barriere,
que meme le temps n'a su depasser,
une fragilité, dont j'ai perdu la clef..

un peu d'espoir mit en cage,
une vie de passée derriere l'orage,
un peu de bonheur sur mon visage,

mais tout passe,
sauf la mort qui me retient,
la douleure qui ne me lache..

tous je vous oublierai,
de n'avoir su m'aimer,
de n'avoir su penser mes plaies,

et c'est faux de dire que j'ai vite abandonné,
je me suis battue comme une folle pour y arriver,
a etre la devant vous, debut..

ma tete haute, malgre ses maux,
mon corps droit, malgré la tortute qu'il m'inflige,
le regard fixe; vous ne pourrez l'oublier,

ni le gouffre a l'interieur,
ni l'eteincelle de bonheur,
sa sincerité a fleur de mon ame,

comment pouvez vous oublier,
qu'un jour j'ai respiré pour vous,
j'ai saigné pour vous...

comment oublier,
que vous m'avez donné vie,
puis que vous avez tout repris?,

je vous parle a vous princes,
a vous peres, meres,
a vous les autres que j'ai aimé a en crever..

je fais une overdose de moi,
de mon tourbillion de vie,
de toutes ces emotions en moi..

j'oublie tous ce qui fait de moi,
ce que je suis, moi,
ce qui a fait de moi votre joyaux..

ce tourbillion d'admiration,
de folie raccrochée a la vie..
un peu de douleur pour donner du gout,

j'ai construit des chateaux en espagne,
soulevé des montagnes,
aller plus loin que ces montagnes de douleurs..

Et j'ai appris,que rien ne depassait,
l'amour que je vous porte,
meme toi, inconnu qui a pris vie a me lire..

Mais non, y a pas d'amour,
c'est vous, vous que j'aime,
je regarde dans le miroir il est vide,

ou sont patis ma vie, et ses cauchemards?
je hais ,de ne savoir vous dire non,
de tout vous pardonner..

de m'eccorcher la vie,
pour vous epargner
quelques gouttes de sang,

je veux sentir, les os,
chaque mouvement de mon corps,
transi sous la passion, sous sa folie sa douleur qui le bouffe..

je veux fermer les yeux pour les ouvrir a l'interieur,
je veux crier ma vie, vous faire vivre de moi,
etre votre drogue, votre heroine..

je veux faire vivre le monde monroe,
pour eteindre la lumiere,
au moment vous vous fermez les yeux
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Il parait que je vais mal,
que je suis malade,

il parait que mes problemes sont graves
que je ne peux plus continuer ainsi,

Il parait qu'il faut faire quelque chose,
quelque chose pour me sauver,

Il paraitrait meme, que vous m'aimeriez..
asses fort pour que je vous aime aussi.

Il parait que mes problemes sont graves,
peut etre meme autant que ceux des autres,

Il parait que derriere mes sourirs,
se cache une douleure indescriptible,

Il paraitrait meme que derriere la bonne eleve,
ce cache finalement une jeune paumée..

Il parait que je dois tourner la page,
passer a autre chose..

Il parait que je me suicide a petit feu,
mais que je suis belle, intelligente, volontaire..

Il parait que moi aussi je vais mal,
tu dis que ce n'est pas parce que tu souffre que pas moi,

Il parait que les libellules c'est beau,
Et que la vie c'est gaie,

Il parait que je suis rentrée en pleurant,
accrochée a un repondeur, d'une voix desesperée..

Il parait que l'alcool fait des ravages..
peut etre meme dans mon propre sang..

Il parait que la mutilation laisse des cicatrices,
et qu'elles ne s'en vont pas avec le temps..

Il parait que je me bouffe de l'interieur,
pourtant je fais tout pour ne rien garder en moi..

Il parait que je suis entourée,
mais tellement seule,

Il parait qu'il faut que j'arrete de penser
que tout va bien ou finira par s'arranger..

Il paraitrait meme que j'eusse voulu voler,
que mes ailles se sont brisées,

Il paraitrait que poussée par mon elan,
j'eusse frolé les sommets,

que j'eusse embrassé la vie de plein fouet,
Il paraitrait meme que j'eusse su aimer...
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:::/dans les ruines de ma vie je me perds,\:::

ce n'est pourtant pas un jeu,

je sais, c'est serieux,

je n'ai pas le droit, mais j'espere,

je voudrais faire attention,

rien ne m'oblige a rester,

tous m'encourage a essayer,

cependant j'ai commis l'infraction,

je souris, betement,

que voulez vous, des larmes?

non, je ne veux pas de ces blames,

je prefere sourire sincerement..

je pourrais dire,

que tout est trop dur,

je me cogne contre des murs,

non je ne peux qu'ecrire..

c'est sur ma peau,

contre mon coeur,

denué de toute chaleur,

que glissent tes mots.

c'est vrai, je n'ecoute plus,

tu m'entends,

peut etre meme que tu me comprends,

mais deja je ne t'entends plus,

je dis oui, oui ça va..

et ne rajoute qu'un simple et toi?

tu me repete que moi,

je n'y crois pas..

c'est dans la douleur,

que je m'eteins,

rien ne me retiens,

stop c'est deja l'heure..

Celle de boire,

celle de saigner,

celle de cogner

mais plus de croire..
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J'espere que il n'y a que des gens bien sur le forum,
je me suis deja faite "plagiée" c'est asses douloureux quand on ne possede rien d'autre...

Waouw!! trop beau...!!
et pour le plagia... tkt je crois (enfin j'éspère) qui a que des gens bien sur ce fofo.. c'est vrai qu'une fois un copain avait pris des textes que j'avais écrit et les as mis sur son blog à son nom.. ça fait vraiment mal...
Mais bon tot ça pour dire que t'écris trop bien!!
( en fait sur ce fofo ya que des gens qu'écrivent bien^^)