Besoins de conseils !

Hey !

/!\ Racontage de vie inc. /!\

Cela faisait une semaine environ, que mon moral baissait avec des épisodes d'AM, jusque là rien d'anormal (par rapport à d'habitude, j'entend). Mais lundi dernier, j'été au fond moralement, ça arrive, de temps en temps, mais j'ai toujours réussi à plus ou moins gérer.

Mais ce soir là, entre le stress de devoir présenter mon travail, la pression du cours de peinture, et mes angoisses quotidiennes...

J'ai perdue toutes consciences de ce qui se passait... Je voulais juste me faire mal, et arrivé le moment fatidique où l'idée de mourir a été forte, trop forte...

Pensée un peu violente:

Mais je n'ai pas réussi à me faire le mal que je voulais, il restait sûrement encore, une envie de vivre, de lutter...

Alors, je me suis attaquée au poignet, mais je n'ai pas réfléchie... pas du tout, j'étais ailleurs, c'est quand j'ai vu le sang couler abondamment que j'ai réalisé la bêtise que je venais de faire...
J'ai paniquée, pas tant à cause de la blessure, mais je ne touchais jamais à des parties qui pouvaient être visible de mes parents...

J'ai réussi à me convaincre de demander de l'aide, un grand pas, et je suis allée me faire recoudre aux urgences. Je suis partie ensuite aux urgences psychiatrique où j'ai pu ressortir puis ce que je n'avais plus d'idées suicidaires...

Entre temps, je suis passée des idées suicidaires à l'envie de danser, chanter, rencontre des gens, vivre en somme, en quelques minutes, je passais à ses deux états...

Mais, du coup, on ne m'a pas pris le temps de m'expliquer comment soigner cette blessure. Je vais sûrement aller voir un médecin à la fac mais quelqu'un aurait-il des conseils ?
On m'a suturé deux plaies (X points et Y) mais la première m'inquiète un peu, c'est la première fois et ça me stresse un peu, d'autant que l'envie de recommencer me titille l'esprit...

Pas vraiment dans l'idée de mourir, juste de perdre beaucoup de sang, de ne plus ressentir...

Je sais qu'il y a des conseils pour ne pas s'AM, ça marche bien pour les petites blessures mais là, je ne sais pas comment faire, parce que je ne pense pas que ce soit une bonne solution, non, en fait, je crois que j'ai peur des conséquences possible, ou même des non-conséquences...

Merci d'avoir lu et des possibles réponses !


Edit Brise-patte: Pas d'info type nombre de pts de suture ou kilomètre de profondeur de coupure par exemple, cf la charte du forum.

Quelles sont les conséquences dont tu as peur?
Qu'est ce qu'ils t'ont dit aux urgences?
Tu en as parlé à quelqu'un?
Peux tu essayer de parler à quelqu'un quand l'idée te vient afin de mieux essayer de gerer?
Penses à faire attention à tes points.
Désolée pas de remèdes miracles...
Bon courage, si tu veux parler, n'hésite pas.

L'hospitalisation me fait peur, j'ai été soulagé hier quand ils m'ont dit que je pouvais partir, même si j'aurai dû me faire raccompagner, mais je n'avais vraiment personne qui pouvait venir me chercher...

Aux urgences, ils ne m'ont rien dit, ou alors, je n'ai pas entendu. Tout est allé vite, on m'a recousu et on m'a conseillé de voir un psychiatre, donc devoir changer d'hôpital et de service.

Je n'ose pas en parler, je ne sais déjà pas comment j'ai pu réussi à en parler à mes amis (mon aventure aux urgences). Je culpabilise un peu de ma bêtise, je n'ai pas envie de plus les déranger.

Je pense que je pourrais réussir à en parler à un ami, on est proche mais moins et c'est plus simple par écrit...

Demain, c'est décidé, je vais voir un des médecins ou une infirmière, parce que j'ai vraiment besoin de quelqu'un pour prendre en soin, seule, je n'y arriverai pas...

Depuis que j'ai mon indépendance, je n'arrive plus à me gérer et je dérive.

Oui, je fais attention, je n'ai pas envie de retourner aux urgences parce que mes points ont sautés

Je vois ce que tu veux dire par galerer à gerer avec l'indépendance.

C'est vrai très bien si tu as décidé d'aller voir quelqu'un, j'espère vraiment que ca t'aidera.

Et oui essaie d'en parler à des gens autour de toi, ca peut te faire du bien, aussi peut etre dédramatiser un peu. Tu as prit conscience de la gravité, faut aussi relativiser.

Désolée je ne sais pas si mes réponses te sont très utiles. Mais en tout cas, oui si tu veux tu peux venir m'en parler sans soucis.
Un partage d'expérience des urgences c'est toujours sympa : P

Je ne sais pas trop quoi te dire d'autres. Dis nous ce qu'aura donné demain pour psy/Medecin et tout ca : )

Courage.

Hey, je reviens aux nouvelles !

Je suis donc aller me faire faire mes soins, histoire d'éviter de faire un carnage...

Du coup, rendez-vous avec ma psychiatre demain et on me conseil un suivie hospitalier de jour... On m'a parlé aussi de médicaments (notamment pour le sommeil) mais je refuse, même si j'en ressens un peu le besoin...
Mais je ne veux pas que ma famille puisse être au courant, et je doute de leurs utilités (pour moi).

Donc, pleins de rendez-vous, et j'attends de voir ce qu'on va me proposer pour m'aider.

Je décale mon rythme constamment, j'ai jamais eu besoin de médoc pour me recaler. Juste de 48h de veille.

Mon sommeil a toujours été plus ou moins irrégulier sans jamais réellement m'handicaper dans la vie de tous les jours.

J'ai donc parlé avec la psychiatre et d'après elle, il n'y a pas d'urgences pour les médicaments, ceux qui me soulage un peu ^^ On attend de faire les analyses pour savoir si tous ça ne serait pas dû à un dérèglement hormonal sinon, je pense qu'elle veut qu'on essaie de réguler mes humeurs, qui pour le coup, m'a posé quelques soucis...

Donc, affaire à suivre c:

L'envie de m'arracher les points m'obsèdent, à tel point que je n'arrive pas à me concentrer sur mon travail pour me demain...
Je supporte plus de les sentir, et je ne sais pas quoi faire pour penser à autre chose...

Je commence à péter un câble et je suis toute seule chez moi ._.

Bonjour Hunlrik,

Peut être devraus tu demander à ton Dr un traitement pour calmer ces pulsions.

Sans quoi pourquoi ne pas songer à une hospitalisation de quelques jours, si vraiment tu es sur le point de peter un cable ?

En tout cas bin courage.

Je suis allée au SIMMPS où j'ai vu un médecin. Celui que je vois habituellement n'était pas disponible. Mais à part me dire que ça cicatrisait bien, on ne m'a pas plus aidé. A peine parler de médicaments mais comme j'ai dit que j'avais déjà refusée sauf si vraiment ils pensaient que ce serait utile, ça n'a pas été plus loin.
Le problème est que je ne demanderai pas de moi-même un traitement. Je n'arrive pas encore totalement à prendre conscience que j'ai bel et bien un problème.
Et j'étais tellement anxieuse, stressée et angoissée que je n'ai pas réussi à parler...
Au final, je suis déçue et j'ai l'impression d'avoir perdu mon temps...
On m'a dit : "surtout n'hésite pas à venir en cas de problème" je vous dit que j'ai des idées noires et une obsession (qui m'empêche de dormir) mais c'est pas grave...
A vrai dire je n'aide pas beaucoup mais je ne sais pas ce qu'on peut faire pour m'aider...
Des fois, je me dis qu'un léger traitement pour m'aider à me calmer ou m'entraîner avec des techniques de respirations.. Je ne sais pas, je suis paumée...
Au final, parce que je suis suivie, j'ai l'impression qu'on décharge le problème.

Un médecin c'est pas encore la même chose qu'un psychologue.
Et c'est peut être d'un suivit psy dont tu aurais besoin.
Plus que de médocs ou d'un passage épisodique chez un médecin quelconque.

L'aide ils (médecin/corps médicale en générale) te la proposent, mais c'est un pas pour un autre.
Ils ne sont pas dans ta tête. Ils vont essayer de comprendre ce qu'il ne va pas en faisant un pas vers toi, mais tu dois aussi faire un pas vers eux. L'aide miracle va pas tomber du ciel d'un coup par téléphatie juste parce que tu y crois très fort hien.
Un traitement, si tu n'y crois absolument pas et le prend à reculons, ça peut plus faire de dégat qu'autre chose.
Un exemple simple: Pour beaucoup, prendre un traitement pour une dépression est quelque part le signe qu'on est pas capable d'aller bien sans devoir s'en remettre à cach'tons chaque soir. Chaque matin. Chaque midi. A chaque montée d'angoisse.
Même voulu, un traitement à prendre contre une dépression peut êre psychologiquement chiant. C'est chiant d'en remettre son moral en choux fleure à des conneries blanches.
Du coup, honnêtement, un traitement pris à reculons c'est la porte ouverte aux "ololol médocs".
"Oh tien, ça me fais chier les médocs ça fait 3 semaines que je les prend bah là je vais arrêter!" Et boum, un bon coup d'effet de sevrage dans la gueule.
Ou alors:
"Ho fait chier, j'ai l'impression que ces merdes qu'on me force à prendre n'agissent pas, bah tien je vais leur foutre au cul leur traitement et gober toute la plaquette en une fois". Et boum, bonjour au meilleure des cas une bonne crise de fois, et au pire des cas direction la salle de réanim' avec à la clée ton cerceuil.
Un traitement AD (et autres psychotropes) n'est pas à prendre à la légère, ni même à être précrit au bout de la première scéance à peine.

D'ailleurs, à l'inverse, ce traitement te parraitrera peut être plus évident (ou non) avec un suivit psy (pyshcologique comme psychiatrique). A force de travail sur toi même et de prise de conscience. Ou non. Il se peut que jamais tu ne te sente comme en aillant besoin et qu'on te l'impose. Ce que je te ne conseille et ne te souhaite pas.


Technique de relaxation, art martiaux, art thérapie... tente. Tu n'as rien à perdre si ça ne marche pas. Mais tout à gagner dans le cas contraire.
Chacun ses sensibilités, on ne se soigne pas non plus tous de la même manière, malgré une base commune.

Ce que je trouve intéressant, c'est que malgré tout, tu emet de toi même l'hypothèse que tu soit malade. Qu'il y a quelque chose qui cloche plus qu'un petit coup de blues passagé. Une dépression par exemple.
La dépression est une maladie, faut pas croire.
Ca se soigne, les médocs aide généralement. Mais c'est une généralité et je ne m'aventurais pas sur ce terrain trop flou pour émettre trop blabla sur le sujet.
Mais une grosse part du travail de guérison se fait aussi de ton côté.
Ce n'est pas parce que tu es malade que ça va t'excuser de tout. Tu vas en chier, faut se shooter au cul et c'est pas toujours drole ni plaisant de ramer plus que de moyen pour accomplir quelque chose.
Il n'empêche que tu dois le faire.
Evoluer, avancer.

Hunlrik a écrit:

On m'a dit : "surtout n'hésite pas à venir en cas de problème" je vous dit que j'ai des idées noires et une obsession (qui m'empêche de dormir) mais c'est pas grave...

Et tu aurais voulu qu'il te sorte quoi?^^
HP directement? AD après une seule visite?
J'en reviens à mon petit pavé juste au dessus: c'est aussi à toi de te prendre en charge. Même aux up ça m'est arrivé d'attendre 4h pour à peine 2h d'entretiens (pour moi et ma mère séparément) et repartir tranquillou parce que "pas de place dans les HP les plus proche pour l'instant". Trololol.

Code:

Au final, parce que je suis suivie, j'ai l'impression qu'on décharge le problème.

Tu entend quoi par "décharger le problème"? D'ailleurs.. du coup, tu es suivit or not?

En fait, j'aurai préféré qu'on ne dise rien, juste rien. A la rigueur "vous avez bien fait de venir, n'hésitez surtout pas". En vrai, je suis un peu de mauvaise foi, avec le recul, je comprend leur démarche même si avec ma sensibilité et ma susceptibilité, c'est pas facile à entendre ^^'.

C'est justement pour cette exemple que je doute de l'efficacité d'un traitement mais je dois apprendre à me prendre à charger, parce que, clairement, ça peut pas continuer comme ça. Il faut que j'arrête de me voiler la face, et enfin accepter.

Mais je sais que je vais mettre du temps, que je risque sûrement de stoper l'aide qu'on me donne, mais je sais aussi, que petit à petit j'avance.

Première étape franchie pour moi, réussir à demander de l'aide, ça m'a pris 3ans mais j'ai enfin réussie.
Je suis en train d'accepter cette aide. Maintenant, je dois essayer de me faire plus confiance dans ce qui serait bien pour moi.

J'arrête pas de jouer à l'autruche et je vois bien que ça ne mène à rien. Pourtant, j'ai pleins de projets mais à cause de tout ça, je n'avance pas, et je le vois bien.

Je pense que j'ai ressentie ça surtout dans le sens où je ressentais le besoin de parler et de me poser, et, j'ai eu l'impression d'être rejetée. Ce qui est sûrement faux. Mais, j'ai souvent été balancée dans plusieurs groupes d'enfants sans jamais vraiment trouver ma place, ça a dû me marquer (même si je refuse de le croire).

Je me demande, si écrire un texte, pourrait aider. J'écris beaucoup sur les émotions, l'expression, la perception de soi-même, des autres, etc... Même si paradoxalement, je n'en exprime pas beaucoup.

Je pense que je progresse, doucement, lentement, mais je progresse.

Oui, je suis suivie par un psychiatre et un psychologue au SIMMPS, et, sur conseil de mon médecin, je vois depuis peu un psychiatre à l'AJIR.

Ce ne sont que les débuts, et je suis sûrement trop impatiente de voir des résultats.

Je me demandais si écrire ce que je ressentais pourrait m'aider à plus parler de mes émotions, parce que quand on me le demande, je ne sais jamais vraiment quel terme utiliser. C'est comme un gros trou noir, et, j'ai l'impression d'avoir tout oublié, ce qui ne m'aide pas...

En tout cas, je suis contente d'avoir enfin la volonté d'avancer et de réussir, malgré mes doutes, à aller et prendre des rendez-vous

Ecrire permet de mettre certaines choses à plat, plus au claire quand dans le fouilli du cerveau.
Et garder une trace, un ligne directrice dans le flot de pensée, son évolution...

Bonjour Hunlrik,

Je suis personnellement assez surpris que personne n'ait réellement insisté pour te prescrire des médicaments car je pense qu'ils sont indispensables pour espérer s'en sortir un petit peu.

Après évidemment, les médocs ça fait pas tout, je suis sous anti-dépresseurs et anti-psychotiques depuis 4 ans et je me mutile toujours...

Mais bon tu devrais réfléchir au moins à des médicaments "anti-stress" pour te sentir un peu mieux et éventuellement faire disparaître les mauvaises idées pendant quelques temps!

Je pense qu'ils n'ont pas insistés car j'ai dû être assez catégorique sur le fait de n'en prendre que si nécessaire. Et même si ils m'en avaient donnés, je ne pense pas que je les aurais pris correctement.
Bien qu'ils soient toujours surpris de ne pas m'en avoir prescrit ! ahah

En ce moment, je vais bien, je ne supporte juste pas mon apparence mais ça ne change pas vraiment de d'habitude.
J'arrive à parler un peu même si je bloque à chaque fois. Je suppose que j'avance.
Mais je sens que cette semaine de joie intense va se terminer en un week-end de déprime...

Comme je suis perdue dans mon identité, j'ai l'impression que mes pensées varient selon la série que je regarde. Je cherche continuellement un modèle auquel m'attacher.

Bon... Je ne sais pas trop quoi dire...

Depuis deux semaines environ, j'ai l'impression de m'enfoncer dans un cercle vicieux dans lequel je n'ai plus envie de partir...

Je sais que je m'am de plus en plus, plus violemment, ça m'épuise, parce qu'évidemment, ça prend du temps...
Tout ça prend des proportions de plus en plus grande... J'étais motivée pour faire des efforts, j'ai essayé de positiver, mais, là, j'ai plus envie...

Je veux juste me laisser couler, m'enfoncer dans mes délires, dans mes peurs, je n'ai plus envie de rien...

J'ai arrêté de voir mon psychologue et ma psychiatre du cmp, et je ne me suis même pas rendue compte que je n'y allais plus... J'ai perdu mes papiers de rdv et j'ai oublié les dates... Et actuellement, je m'épuise à me détruire plutôt qu'à chercher de l'aide.

La peur que j'avais, que ma mère découvre ma souffrance, a disparu, j'en ai juste rien à faire... Je n'ai même plus d'angoisses sur le fait qu'elle puisse découvrir que je suis admise en hôpital de jour... Je me fous de savoir qu'elle puisse voir mes bras meurtris...

Je me fous des conséquences que cela pourrait avoir...

Je veux juste que tout s'arrête... L'idée de me suicider me parait pas si mauvaise d'un coup... Je voulais être une artiste et tout mes rêves s'envolent parce que je n'ai aucune volonté...

Aucune force... Je dois passer demain, pour mes cours, passer et présenter mon projet... Mais je n'ai rien fait...

Comme d'habitude, je vais faire ma peinture durant la nuit... Parce que je préfère fuir la réalité plutôt que de bosser...

A chaque fois, je me dis que je dois faire ça ça et ça, et je ne fais rien...

Je sais que deux de mes profs sont au courant que j'ai eu un problème, je sais qu'ils seraient sûrement compréhensif sur ma souffrance, toussa toussa... Mais je n'ai clairement pas envie de leur en parler, parce que je n'ai clairement pas envie de revoir cette psychiatre que j'ai envie d'étriper...

Je n'ai pas envie de faire des efforts pour aller bien... Je veux juste me laisser tout doucement couler dans un trou sans fond... de tomber le plus bas possible et de me morfondre... De rester là et de ne plus bouger...

Parce que j'ai décidé que ça suffisait les hauts et les bas... Avoir peur des gens parce que olalala ils sont en train de discuter et moi, je m'imagine un complot mondial...

J'en ai marre d'avoir peur de péter un câble parce que juste quelqu'un n'est pas d'accord avec moi...

J'en ai marre d'être parfois heureuse voir euphorique, de dire n'importe quoi, de rire tout le temps et ensuite d'être déprimé au bord d'une tentative de suicide...

J'en ai marre de penser que tout ça n'est que dans ma tête, que c'est moi qui me force à penser ça et que ce n'est pas ce que je ressens réellement...

J'en ai marre de devoir faire des efforts pour sortir de mon lit, pour sourire devant les gens, pour parler aux gens... d'être polie, d'essayer de ne pas les heurter parce que clairement, là, je me contrefous de ce qu'ils peuvent ressentir...

J'en ai marre de passer de "je suis empathique, je veux sauver le monde" à "crève connard de sdf"....


RAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH

Merci, ceci était un ras-le-bol général ^^

Je ne sais pas ce que j'attend de ce poste, surement rien... Mais il fallait que je sorte tout ça...