envie de parler

voila je post un petit sujet sans importance car j'ai envie de m'AM et sa me fais du bien de parler (meme si je suis pas sur de resister meme une fois que j ai tout sorti de mon ptit coeur meurtri)

je me sens heureuse et triste en meme temps, enfin disons que je passe d un a l autre trop rapidement a mon gout , j etais avec mon copain il y a encore 1 heure je nageait dans le bonheur mai la il est aller faire une penta (he oui un dangereux rider mdr) ben je me sens deja triste...

c'est parce que je suis amoureuse a mon avis mais sa fait que 2 semaines que je suis avec , j'ai peur de mes sentiments qui vont beaucoup trop vite pour moi...

pis des que je me retrouve seul je pense a un tas de truc très con, vous voyez avant j'étais vraiment au fond de ma depression, je me mutilais, pensai vraiment chaque instant au sucide, trouver la solution ou je me louperai dans aucun cas, je pleurai tout les soirs... enfin vous connaissez je pense

maintenant sa va mieux bon je m'AM toujours je n arrive pas a arreter cette merde, mais si je vais mieux moralement c'est parce que je sort beaucoup donc je bois beaucoup, et surtout j'ai recommencer les joints, j en fume presque tout les jours, je tire meme les cuves maintenant ... sa m effraie et de l autre coté au moin je me sens bien ...

alors la question que je me pose c'est est ce mieux d avoir des idées sucidaire au risque de passé a l act car j en etait vraiment pas loin ou devenir une fumeuse de joints ???

bon c etais juste pour ecrire ce n est pas vraiment dramatique finalement

croie que les deux c'est pas fameux :s
Si tu a besoin de fumer pour etre heureuse c'est pas très bon signe
mais bon sa dépend c koi que tu privilegie , la santé ou le morale.

le moral car la santé est deja foutue

Bon franchement.. Ok, fumer le bedo c'est pas particulièrement sain. On en est tous conscients.

Après... J'ai fumer comme une barbare pendant 4 - 5 mois tous les jours (j'étais au Guatemala, je bossais dans un orphelinat, dans des conditions de travail et de vie particulièrement peu simple, il y avait eu un tremblement de terre qui nous avait tous terrorisé et avait empiré les conditions de vie. Bref le bordel. On était tous sur les nerfs. On fumait pour se calmer, pour pouvoir dormir, pour gérer les journées sans partir en live. )

Je ne suis pas pour autant devenue une grosse tox, j'ai arreté (non. pas arreté. Drastiquement diminué. Maintenant je fume hyper occasionnellement) le joint.. et je pense que franchement ca m'a servi "d'anxiolitique" pendant toute cette période.

Est ce un bien ?
Est ce un mal ?

Allez savoir.