Je suis la déesse de la stupidité au rang de petite conne déstabilisée.
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Aucun rapport entre le titre et le texte]
-Alors qu'est-ce que tu me veux?
Pourquoi tu me harcèles au téléphone?
Tu veux savoir comment je vais?
Mais je vais bien, connard, je vais très bien.
Tu sais, j'veux juste que tu saches une chose:
Je ne t'aimerai pas, je ne t'aime pas et je ne t'ai jamais aimé. J'ai joué avec toi. Depuis le début. Tout était calculé. Je faisais semblant, quand j'te disais que je t'aimais, quand je te regardais affectueusement. Je faisais semblant d'être jalouse quand les autres filles t'approchaient trop près et je m'en foutais qu'elles me regardent, envieuses. Je faisais semblant d'apprécier de passer du temps avec toi, et, tu sais quoi? Là je fais même semblant de pleurer! C'est pas sincère, non, c'est voulu. Tu penses que j'ai pas le cran de me suicider? Bah tu te trompes, les somnifères je les ai avalé et j'ai pas fait semblant.
-Mais tu sais... je t'aime encore, moi...
-Je crois bien qu'aujourd'hui, c'est toi qui est perdant, mon amour.
[C'est bizarre et lourd. C'est pas magnifique. C'est ce qui sort de la tête d'une gamine de 14 ans quand elle s'ennuie à mourir]