Poèmes sur la mutilation et autre.

Bonjours, je suis inscrite sur le site :lexode.fr et j'y poste mes poèmes.
Les voici :


Je sais :
Je sais ce qui va m'arriver,
Ce n'est pas difficile à comprendre.
Je veux juste que vous me fichiez la paix
Mais ça, vous ne voulez pas l'entendre !

Il faut se rendre à l'évidence,
Je n'ai pas beaucoup de chance
Face à ces malheurs,
J'ai trop de douleurs.

Évacuer,
Oublier le passé,
Trop difficile,
Il m'a touchée en plein dans le mille.

Ce soir c'est décidé
je m'en irai.
M'arrêter, chose impossible
Mon geste sera irréversible.




Trahie :
Vous lui avez dit
Je vous faisais confiance
Vous m'avez trahie
Vous avez brisé notre alliance.

Elle a dit qu'elle m'aiderait
Mais comment elle le pourrait ?
J'ai déjà essayé d'arrêter,
À chaque essai tout s'empirait.

Toutes ces questions posées
Sans aucune réponses données.
J'y ai réfléchi
Je veux mettre fin à ma vie.



Tu en es la cause :
Tu as profité de mon amour
Tu en as abusé
Tu m'as fait pleurer
Tu m'as laissée

J'y ai cru
J'étais persuadée
Que tu m'aimais
Mais je me trompais

Tu m'as fait souffrir
Tu m'as anéantie
Tu m'as mentie
Tu as détruit ma vie

Je ne veux plus te voir
Tu m'as brisé le cœur
Tu as fait une grosse erreur
À cause de toi, je meurs

Je ne sais plus ce qu'est d'aimer
Je ne sais plus de quel côté aller
Je n'arrive plus à m'en sortir
Tu m'as trop fait souffrir




J'ai recommencé :
Je l'ai refait
Désolée, mais je n'ai pas pu m'en empêcher
Ca faisait longtemps que j'y repensais,
Retoucher à mes petits bébés

Alors ce soir, j'ai décidé de faire le premier pas
J'ai compté jusqu'à trois
Et elle s'est enfoncée
Laissant mon sang s'échapper

J'ai repris les vieilles habitudes
Je suis retombée dans les Bermudes
Je suis de nouveau perdue
Plus que je ne l'aurais cru

Moi qui croyais que c'était fini
Moi qui commençais à croire en la vie
Moi qui espérais retrouver le bonheur du passé
Que je retrouverais l'envie d'aimer

Vous m'avez tellement aidée,
Tellement donné
Vous m'avez fait confiance
Mais ça ne m'enlevait pas ma souffrance.



C'est fini:

Il le sait,
Il m'a menacé
De tout leur dire
Si je continuais

Je n'ai qu'une semaine
Pour faire face à mes peines
Je dois stopper mes tortures
Mais je suis devant un mur

Je ne peux plus reculer
Je suis obligée d'avancer
Je dois maintenant assumer
Les erreurs du passé

J'ai énormément peur
Mais je dois retenir mes pleurs
Et maintenant cesser de me mutiler
Pour commencer à exister

Je sais que c'est la fin
Mais quelque chose me retiens
Je pensais enfin être heureuse
Mais je me sens malheureuse

Elle va me manquer
Mais jamais je ne pourrai l'oublier
Je sais que si j'ai besoin,
Elle sera toujours à mes petits soins

Toujours à mes côtés
Quoi qu'il puisse m'arriver
Ma lame adorée
Ma fidèle alliée





Obligation
Obliger de mentir
Pour qu'ils croient à mon sourire
Obliger de courir
Pour les fuir

Obliger de rigoler
Pour ne pas pleurer
Obliger de garder la cadence
Pour ne pas leur montrer ma souffrance

Obliger de me cacher
Pour me torturer
Obliger de mourir
Pour arrêter de souffrir



J'aurais aimé :
J'aurais aimé ne jamais
Ouvrir les yeux
J'aurais aimé ne jamais
Dire mes premiers mots

J'aurais aimé ne jamais
Faire mes premiers pas
J'aurais aimé ne jamais
Rentrer à l'école primaire

J'aurais aimé ne jamais
Avoir onze ans
J'aurais aimé ne jamais
Le rencontrer

J'aurais aimé ne jamais
L'aimer
J'aurais aimé ne jamais
L'embrasser

J'aurais aimé ne jamais
Avoir passé cette soirée
J'aurais aimé ne jamais
Trouver cette lame aiguisée

J'aurais aimé ne jamais
Avoir tracé ces marques
J'aurais aimé ne jamais
Continuer

J'aurais aimé m'arrêter,
Ne plus avancer,
Ne plus respirer,
Juste crever.




Elle :
Elle est celle qui m'a construite,
Mais celle qui m'a détruite.
Elle est celle qui m'a aidée,
Mais celle qui m'a fait plonger.

Elle est celle qui m'a fait pleurer,
Elle est celle qui m'a fait crier,
Elle est celle qui m'a fait souffrir,
Elle est celle qui m'a donné envie de mourir.

On m'a dit que ça s'arrangerait,
Que j'oublierai,
Mais même avec la volonté,
Je n'y suis pas arrivée.

A chaque essai,
Elle me rattrapait,
Me disant qu'elle était là,
Qu'elle ne m'oubliait pas.

Un jour, elle s'est incrustée,
Dans ma peau, dans ma chair,
J'avais beau crier, pleurer,
Elle y est restée.

Elle a fait couler,
Le sang que j'avais,
Elle est celle qui m'a tuée,
Mais elle est celle qui m'a libérée.





Mon quotidiens :
Le désespoir de la vie
Une lame de compagnie
Du sang rouge
et des larmes

L'envie d'en finir
L'envie de partir
Plus envie de souffrir
Je veux mourir

Les veines coupées
Ou sur le sol étalé
Ca c'est sûr je partirai
Par tous les moyens j'y arriverai.

Qu'en pensais vous ?

Un nouveau :
Petite fille à 8 ans
Elle croque la vie à pleines dents
Heureuse, elle sourit
Petite fille est épanouie

Aujourd'hui, petite fille a grandi
Elle découvre la vraie vie
Cette vie sadique,
Cette vie maléfique

Petite fille endormie
Elle rêve d'une belle vie
Mais lorsqu'elle ouvre les yeux
Petite fille reprend son quotidien malheureux

Tout à commencer parce que j'étais énervé et attristé,
J'ai pris cette lame, c'est alors que je me suis coupé.
Le sang n'a pas coulé, mais il y avait de la douleur,
Et sur le coup, on ne pense plu à tout ces malheurs.

Alors on cherche à recommencer pour ré-oublier tout ça,
On trace le deuxième trait, et on ne s'en fait pas.
Cette impression de bien et de soulagement est ressenti
Alors on ne réfléchi plu à la gravité des actes, on agit!

Sans cesse, dès que l'on est mal, on reprend sa lame.
On croit avoir la solution aux problèmes d'état d'âme,
Mais c'est vraiment plus un problème qu'une solution.
Se marquer en versant son sang, c'est de l'automutilation!

On se fait mal physiquement pour être bien moralement,
Le grand besoin c'est d'extérioriser tout ces sentiments,
Les lâcher à notre façon, pour pouvoir se sentir mieux
Mais malheureusement, on tombe dans un cercle vicieux.

Cela fait plusieurs mois que le premier trait a été effectué,
Maintenant je regrette, car je n'arrive pas à m'arrêter.
C'est devenu une obsession tellement j'en ai l'habitude,
J'aimerai jurer d'arrêter, mais je n'en ai pas la certitude.



Petit poème sur l'automutilation où j'ai écrit ce que je pensais, mais c'est bref.

Le sang recommencent a coulé,
Ma chère coupé,
Je démoralise quand je regarde la vérité
Mon corps veut encore se déchiré.
Mes combien de temps cela pourras t’il duré.
Avant que mon corps trop fatiguer.
Ou simplement une coupure mal placé.
Alors plus rien ne pourra arrêter…
Le sang va coulé.
La douleur ne fait plus son efficacité.
Je deviens esclave d’une autre mentalité.
Celle qui ne voit pas la vérité.
Mai qui adore le mot « tranché ».
Je ne peut plus avancé.
Je ne peut que être spectatrice de mes membre défonce.
Les cicatrise veule resté.
Elle fon partie de mon passé.
Mai certaine sont nouvelle le sang séché.
Ces la que je regarde mes larme tombé.
Je ne peut rien empêché.
Es que je pourrais soutire avec de la volonté.
Quelqu’un pourra t’il vraiment m'aidé.

Encore une fois je me suis scarifié
Encore une fois ma chair a était coupée
Sentir la lame me déchirer
Et tous mes problèmes sont oubliés.

Au secours je sens que je m'en vais
Mais c'est trop tard le sang a déjà trop couler
C'est alors que je me sens partir
Là où je ne pourrais jamais plus revenir

Quand on est venu me chercher
C'est un corps inanimé qu'ils ont trouver
Couvert de sang il était
Mais l'âme repose ainsi en paix

Le choque pour mes parents
Les pleurs pour mes amis
L’incompréhension pour autrui
Pour certains l’achèvement

Je suis désolé
Je vous avez pourtant promit
Que plus jamais je ne recommencerait
Mais le mal m'avait déjà trop démoli.

Voilà

Suffering- a écrit:

Qu'en pensais vous ?

Un nouveau :
Petite fille à 8 ans
Elle croque la vie à pleines dents
Heureuse, elle sourit
Petite fille est épanouie

Aujourd'hui, petite fille a grandi
Elle découvre la vraie vie
Cette vie sadique,
Cette vie maléfique

Petite fille endormie
Elle rêve d'une belle vie
Mais lorsqu'elle ouvre les yeux
Petite fille reprend son quotidien malheureux

Je le trouve super