petite inquietude...

voila avant ma depression ou plutot avant d'etre shooté aux médocs je me prenait la tete tous les soirs avec mes pensées négatives enfin pas forcément négatives mais bon c'était chiant quand meme a la longue

ça me prenait juste avant de sombrer dans le sommeil a moitié endormie a moitié reiveillée

souvent je me disait "tien ça ça serait a approfondir" mais j'était déja stone alors je me disait on verra demain sauf que le lendemin je me souvenait que rarement de mes reflexions du soir

sous médoc j'avait encore ce moment de réflexions mais les idées fusaient moins vite elles étaient moins intences (en meme temps c'est le but des médocs!!)

cela fait bientot une semaine que j'ai arreté tout traitement

et les réflexion nocturnes ont refait leurs apparitions plein pot

alors les médoc j'ai fait ça bien hein j'ai pas fait de luzl les choses ont été faites petit a petit avec ma psy donc ce n'est pas le coup de "bouh il restait un peu de depression dans un coin les médicaments ont été mal arreté normal que ça recommence a carburer...!!"
nan je pense que ce genre d'introspection que j'ai sur moi sur ma vie tous les soir c'est un truc que j'ai toujour plus ou moins eu sauf que voila entre autre a un moment ça m'a envahie et ça a participé a me faire partir en couille
donc voila j'aime bien ce moment le soir ou je me retrouve avec moi sauf que voila des fois c'est envahissant surtout dans les periodes ou je suis pas bien et ça participe a entretenir le mal etre

juste voila maintenant je vait bien j'ai des projet et tout ce serait trop con que les choses dégénaires parce que une introspection fait sa loi!!

donc si vous avez des idées pour maitriser la chose (pas la supprimer hein c'est utile a mon équilibre et puis je l'ai dit au fond j'aime bien ça) juste le moyen de dire stop quand ça part en lulz

alors un début de réponce peut peut etre donnée en en parlant a ma psy mais bon voila j'aimerait éviter dans la mesure du possible parce que c'est un coup a ce qu'elle me refasse bouffer des médocs ou je ne sai quoi d'autre et heu... non! oui parce que le moindre truc qui part en couille elle croit que je vait pas bien dans ma tete et elle dégaine son arcenal (pour donner un exemple il y a quelques temps mes lulz sensitif: suis arrivée a un RDV en overdose en chialant toute les larmes de mon corps j'avait mal partout saturée et tout bref elle voulait m'hospitalisée j'ai eu beau lui dire que dans ma tete ça allait a peu près que de toute façon l'hospitalisation ça allait pas arranger les choses vu que l'hopital niveau stimulis c'est pas de tous repos elle a rien voulu comprendre elle était prete a me mettre en HDT ma mere a refusé ouf!)



PS je suis completement a l'ouest j'oublie la moitié des mots si c'est pas assez compréensible j'essayerait d'arranger ça demain

C'est absolument NORMAL que tout revienne de manière incontrôlée quand tu arrêtes des médicaments. J'avais arrêté des antipsychotiques (neuroleptiques) et ce n'est qu'après 7-8 mois que j'ai plus ou moins géré des émotions très très fortes. Les dégâts ont été de taille.

L'arrêt de médicaments psys n'est jamais innocent ni bénin.

Gaffe, et accroche toi très ferme, ça va encore swinguer dans ton ciboulot...

Conseil alacon, mais possiblement à tester :

Avoir un bloc et un crayon près de ton lit. Et quand une idée tourne un peu trop en boucle à ton gout, la noter, histoire de pouvoir te dire à toi même : bon, maintenant ta gueule, c'est l'heure de dormir, mais c'est noté, on reprendra ça demain" ?

Je ne sais pas si ça pourrait t'aider, mais mettre de la musique en bruit de fond aide à calmer ce phénomène. Tu te mets naturellement à penser à autre chose, même si les pensées négatives mettent quelques minutes à partir.

Le seul 'problème' de cette méthode, c'est qu'il faut que se soit suffisamment bas pour ne pas réveiller les gens qui dorment dans d'autres pièces, mais ça ne doit pas être trop fort non plus. Question de dosage....

Caramel a écrit:

Et quand une idée tourne un peu trop en boucle à ton gout

...

En parler aux autres, pour éviter l'effet Larsen, qui n'est pas valable qu'en musique (première fois que j'ai conscientisé et expliqué ce phénomène, c'était envers Joker, que je remercie et salue au passage...)

pour l'instant je gère sans trop de problèmes comme je l'ai dit c'est néssésaire pour moi et les moments ou j'était trop chooté pour cet exercice ça me manquait terriblement!! donc la sur le coup je suis plutot contente de retrouver mes repères juste que faudrait pas a nouveau que ça viennent envahir mes soirées enfin si c'est avec des idées positives a la limite ok mais si c'est AM TS et autres c'est moins cool

caramel parfois c'est ce que je fait quand ça m'envahit trop que je sait que de toute façon le lendemin j'airait oublié et que quand meme c'est important je note en général sur une ou 2 pages de grand cahier
sauf que voila impossible de faire cela pour chaque idée qui fuse y'en a tellement!! et puis je suis dans un état de demis sommeil donc très dur de se bouger le cul pour écrire
et puis en notant y'en aura forcément une autre qui arrivera ensuite bref je ne m'en sort pas!!

la musique: a des moments je l'utilise oui je la met en sourdine (mais vraiment en sourdine genre y'a que moi qui l'entend) et oui au bout d'un moment je fini par écouter la musique plutot que de tergiverser mais bon la musique c'est chiant: déja je met un temps fous a la régler : un demi décibel de plus et ça me pete les tympans un demis décibel de moins je n'entand pas assez distinctement ce que ça chante donc ba ça me perturbe aussi sans compter la télé du colloc que j'entend parfois meme ma porte fermée donc ça complique encore le reglage
si je met la radio la c'est avec le tunner que je rame !! ouai parce que une fois qu'il est réglé cet enfoiré trouve le moyen de bouger dans la soirée et la un demis degré de plus ou de moins ça change tout!!


et je reprécise dans l'instant présent je ne cherche pas a annuler ou meme dimminuer le phénomene juste que ça ne devienne pas envahissant a l'avenir