Topic anti-bleh... de Pravda

Avant

Ca fait 40 min, j'espère que tu t'es lancé à ce rangement ...




Alors?

ça en est où ?

Qu'est-ce que je dois faire déjà?

Cacher du bordel sous ton lit, entre autres, non ?

EDIT : Euh, tu serais pas en train d'allègrement traîner ici, par hasard ?

Tappe, Tappe et Re-Tappe!!!! Bon, et la photo "après" elle vient?

Pravda a écrit:

Qu'est-ce que je dois faire déjà?

Retrouver le plancher ?

*agite masculinement pompons*

J'avoue que j'attends tout aussi impatiemment la photo "après", histoire de voir si c'est pas un mythe que le rangement existe!

-"ZOMG! Il y a eu un cambriolage dans ta chambre!"
-"Non non, c'est sa forme habituelle, pourquoi?"

*note*

Pas besoin de ranger avant le passage de Pravda par ici, histoire qu'il se sente chez lui

*Se demande où ça en est*

Qui veut me taper jusqu'à ce que j'aie fait :
1- Mon travail de français
2- Ma critique

*Se chausse*


Qu'est ce que tu fous encore là ?

Vu l'heure de postage, j'espère que c'est fait ?

Alors, ça en est où?

FAIT!

Citation :

PAYSAGES SYLVESTRES

Monique Proulx est une amoureuse de la nature. Avec plusieurs textes derrière elle, l’auteure d’Homme invisible à la fenêtre, lauréate de plusieurs prix, elle a décidé de faire partager ce qu’elle ressent à propos de ce monde grouillant de vies de tous gabarits, où poussent champignons, fleurs et arbres. Son roman, publié chez Boréal, relate les souffrances et les difficultés personnelles des riverains d’un lac des Laurentides, hantés par les démons d’un passé trouble, d’un présent complexe ou d’un avenir empli de craintes, le tout principalement regroupé autour d’une saison estivale.

Avant d’englober intrigues, personnages ou symboles, le roman de Monique Proulx se veut avant tout un hymne à la beauté pure et naturelle de la forêt laurentienne. Les descriptions sont habiles, et transmettent le message essentiel de l’auteur : de simples paysages sylvestres. À toutes les occasions, elle unit habilement la vivacité agile du mobile (insectes, chevreuil) à l’harmonie immaculée de l’immobile (arbres, rochers). Bien que nombreux, ces passages ne paraissent jamais se répéter, ce qui montre d’une part la variété des cadres à décrire dans ce monde des bois, et celle de son vocabulaire. Cependant, cela laisse en plan d’autres éléments, moins profondément élaborés. La construction de l’intrigue principale, malgré un propos justement présenté, est lente, laborieuse, et se perd dans de nombreuses quêtes annexes qui semblent un peu superflues. De ce côté, mentionnons surtout l’unique chapitre pris du point de vue de Marco, qui est peu développé et largement accessoire. Ce passage n’ajoute rien, ni au développement des actions, ni à la compréhension des autres personnages. Eût-il mieux valu de simplement le reléguer encore plus vers l’arrière-plan, ce qui aurait permis de concentrer la narration sur des éléments plus importants?

Dans une œuvre axée sur une poche de nature aussi vaste qu’exiguë, le rapport à l’environnement devient nécessairement un thème majeur. Monique Proulx exploite cet aspect de fond en comble à travers ceux qui prêtent leurs regards. Les différents acteurs tiennent chacun leur propre vision de la forêt qui les entoure, et celle-ci s’approfondit de chapitre en chapitre, au rythme de nos rencontres successives avec eux. Mais ce n’est pas l’unique thème qu’elle développe à partir d’eux. En effet, les personnages sont profondément troublés par nombre de squelettes de placard, habité constamment par la peur d’être découvert. Leur seul point commun, leur seule source de partage est le lac. C’est là que se mélangent leurs histoires, que s’effacent leurs différences et que s’unissent leurs destinées. C’est là qu’ils quittent leur parure d’être humain pour devenir la plus petite partie d’un tout de fourmis, de résine, d’eau et de ciel. Ils se replient vers le lac et les forêts qui l’encerclent pour y trouver un réconfort, un rempart que la vie moderne, avec ses espaces fermés et ses tours de béton, ne semble pas leur offrir. Compagnon inséparable de tous, ce décor enchanteur représente de même une ouverture sur le monde qu’une carapace protectrice.

En définitive, il faut garder de Champagne ce que Monique Proulx y présente de mieux : des descriptions, nettes et émouvantes, d’un étranger si près de nous. Outre certaines superfluités, cet éloge de la champagne ― terme qui, comme elle l’explique, désignait au Moyen Âge tout ce qui n’était pas la ville ― marque de nombreux points et charmerait les plus fervents citadins.

Mariaaaaaargh ?

- Aller porter mon mot du médecin au cégep.
- Appeler le cégep de l'Outaouais pour savoir ce qu'ils veulent précisément.
- Aller faire ma radio.
- Trouver une solution pour mon vélo (ce qui est possiblement un préalable pour la radiographie).
- Passer à la pharmacie (baw).

T'en est où ?

Euh euh euh, réponse lente.

J'ai mes somnifères, le reste n'est pas fait encore. Je visais aujourd'hui, mais je viens de me réveiller et je n'ai pas envie...

Hum, je n'ai pas encore exactement complètement terminé l'autre liste... Mais bon.

- Appeler API, parce que pas de changement ni de contact après une semaine. Et je trouve que 5% en éducation physique, si le médecin dit que je peux l'éviter, c'est bien.
- Ensuite, appeler Cégep de l'Outaouais.
- Radio, encore.

- Appeler le cégep de St-Laurent DEMAIN SANS FAUTE. Poste 7139.
- Appeler le cégep de l'Outaouais, peut attendre mais pas trop. 819-770-4012 #2323
- Demander un chèque pour mon dernier cours de guitare, et le remboursement du précédent.

Je crois que c'est tout.

Donc tu dois passé de nombreux appels c'est quoi les Cégep au fait?
Sinon ben euh tu peux profité du soleil, de la chaleur. Toi qui es québecis tu dois connaitre François Pérusse? tu peux en écouter pour te détendre ou les supers tête à claque?

Têtes à claques? Brrrrrrrrrrr...

Collège d'enseignement général et professionel. Remarquez que le « et » est inclut dans l'abréviation et pas le « d' ». Hum... Vive l'euphonie.

BUMP

Si je suis sur l'ordi en revenant de la bibliothèque... You'll know what to do.











EDIT : Qu'est-ce que Hello Kitty! fait là? Hum...

LE but est de terminer mon devoir de math.

Au cas où il y a des gens qui lisent ces sujets-là...

De l'anti-bleh à long terme (j'aurais mis dans mon carnet, mais bon, je viens d'y poster il y a 20 minutes):
- Augmenter mon nombre d'heures de travail par semaine à environ 20 d'ici .
- En janvier, commencer à regarder pour des appartements qui se libérerait, en gardant comme date le 1er mars environ.
- Idéalement, annoncer à mes parents le retour du projet.
- Parallèlement, faire de même avec les gens de la clinique.
- Trouver un moyen d'espacer plus les rendez-vous, parce qu'il ne s'y passe pas grand chose, et que je trouve ça inutile et chiant, d'autant plus que ça fait surtout que je passe mon temps en transport en commun pour rien.
- Potentiellement, trouver un moyen , éventuellement, de rencontre ma généraliste (10 minutes de marche) de temps en temps au lieu d'avoir affaire à la cavalerie lourde (45 minutes de métro).
- Faire une demande à Rosemont en Histoire et civilisation pour l'an prochain, si jamais je ne réussi pas math.

Parce que quand on crée un topic pro-bleh, il faut remonter le topic anti-bleh, right?