Mes petit poème peu joyeux

Voila ceux que j'ai écrit

Chaque jour

Chaque jour la cicatrice grandi,

Chaque jours j'attend ce moment,

Caque jours mon âme faibli,

Chaque jour j'imagine le dernier instant,

Chaque jour je meurt peu a peu

en antendant ton adieux


Le souvenir

Un rire, un soupire,
jamais cesser de souffrir,
Je n'arrive plus a sourire,
Plus a rire,
Je veut en finir
Madit souvenir

Il me hante
Je ne susi plus constante
Souvenir qui me poursuis
Encore aujourd'hui

Mon coeur vas exploser
Ce souvenire continue
À m'effaryer
Je n'arrive plus
A t'oublier

Ni les phrase que j'ai prononcer
Que tu a garder,
Mais tu m'a laisser
Sans m'aider

Je disparait
Dans le grand secret
Qui m'emporte
Mais le monde s'en moque

C'est toujours mon agonie
La promesse que tout se fini
Pour me réveiller encore en vie
Quelle hypocrisie

Maudit souvenir de cette vie



Plai qui se ferme
Coeur qui se referme
Cicatrice qui guéri
POur une foi vive la vie.

Plai pensée
Adieux annocé
Promesse inachevé
ëtre parti
Sans avoir fini
Sans droit de me laisser dans l'oublie

Long couteau
Un cop, un seul, un beau
Cicatrice ouverte
Qu'elle découverte!

Pauvre destiné
POurtant déjà commencer
Chemin entamé
Sans hésité

ëtre condamé
à être enchainer
Coeur prisonier
d'une prommesse quasi oublier

Condamé
Souffrir a perpetuité
Sans permission d'être libéré

Plais sensible,
Coeur cible,
Cons.équence inexroable
Perte considérable

Je me meurt
Sans évoquer des pleur

äme oublier, tourmentée,
Coeur caché, blesser,
Corp mutilé, négligé,

Je disparait
Dans le secret


Parfois

Parfois
Il y a un peu de joie
Petit rayon de soleil
Sourire jausqu'au oreille

Vite brissé
Mais qui aide à se remonter

Parfois

Tard le soir,
Quand mes yeux
Ne sont pas brumeaux
Je réussi à voir,
Les étoiles étincelantes,
La lune brillantes

Parfois,
Je réussi à voire,
Un reflet
Pas trop laid

Parfois
Il y a de l'espoir,
Une lumière dans le noir,
Dans mon regard,
Qui me souhaite
Bonne chance ma chouette.

j'adore, tu a vraiment du talent

AM

Tout les soirs,
Dans le noir,
Une douleur brule,
Une douleur hurle,
Je la fait taire
Je l,enterre

Les cicatrice se multiplie
La douleur interieur s'emplifi
Je ne peut masquer les crie
Le sang coule,
Dans ma gorge une boule

L'hémorafgie ne cesse
Tristesse ne cesse
Rien ne cesse
Tous grossi
Hémoragie
Mélancolie

J'ai tenter d'arrêter,
j'ai pas le courage de continuer
Je susi condané

Devant la souffrnace,
je reste en trance
J'ai de l'arrogance

POur moi ce n'est pas du courage,
C'est de clamer l'orgae,
C,est d'attendre mon heure
Sans avoir de coeur


Caraspace
qui me rpotèege des sarcasme
Qui me cache
De la tempête
D,avoir le coeur en fête

Du sang coule ma colère l'accompagne,
Ma tristesse fuit dans mes larme
Et ma mélancolie danse sur ma lame.