un poeme inachevé fait pendant une des ces nuits qu'on ne voudrai plus avoir a subir, cauchemard bien sombre.
Dans la nuit ces voix sibyllines
Ce chant d’horreur qui n’en fini pas
Fantômes dansant en courbant l’échine
Tournoyant en frôlant mon bras
Tous ces monstres aux visages disloqués
Toutes ces femmes aux corps enchaînés
Entrent en moi pour me torturer
Volant mon âme et ma volonté
Et dans la nuit soudain comme un silence hostile
Me laissant seule avec ce cauchemar indélébile
Songe obscur et mystérieux
Ne plus réfléchir, ne plus fermer les yeux