L’espoirDans ma tête, il y a une grande guerre
Qui, ma foi, dure depuis l’aube des temps
Pour se battre, les armées traversent terre et mer
Je les sens se massacrer à certains moments
Paralysé par ce bruit martelant mon coeur
Je mobilise mes forces et j’arme mes chevaliers
Je ne suis jamais sur d’en sortir vainqueur
Mais je crois en mon futur fait de liberté
Quand j’aurai écrasé les armées de mon malheur
Quand le soleil brillera comme il n’a jamais brillé
Les champs de bataille deviendront champs de blé
Et tous les anciens soldats en seront les cultivateurs
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histoire de nous donner le courage