Mon texte de ce soir... si vous avez envie de lire un chagrin d'amour... j'attend pas de réponses ni de truc du genre : bouge toi les fesses comme je peux le voir sur certains articles.
"Je t’aime. A la folie, passionnément, irrémédiablement. Tu es dans ma tête, tu pars et tu reviens et tu me détruis de l’intérieur. Tu es loin, moi aussi, jamais je ne t’ai parlé sauf pour t’envoyer des réponses pourries à tes remarques débiles que j’adorais. Je t’aime, t’imagine même pas comment. Je ne l’ai jamais dit, jamais vraiment pensé, mais je t’aime trop. Pourquoi ? Pour encore combien de temps. Deux ans que je te connais, le flash plus ou moins important direct. J’en peux plus de te voir revenir comme ça dans mes rêves pour me balancer à la gueule que j’aurais du agir, te dire ce que je ressentais. Mais ce con m’a fait perdre toute confiance en moi et toute estime de moi. Peut-être qu’il n’y aurait jamais rien eu, mais si… Je ne saurai jamais, tu ne sauras jamais sauf le jour où j’me prendrai encore une cuite et que je hurlerai à tous ceux qui veulent l’entendre que je suis folle de toi ! Quand je repense à toi, tu n’as rien de spécial et pourtant tu es celui dont j’ai besoin. Avec ta bonne humeur, ton humour à deux balles auquel je ris tout le temps en essayant de te le cacher. Je t’aime, Clément, je t’aime. Je me gifle dès que j’écris ces mots ou même simplement ton nom. Tu es là même quand j’y pense plus, là dans ma tête à me dire que tu resteras là pour me pourrir la vie et me faire souffrir encore. Si j’étais courageuse je prendrai le premier avion pour te rejoindre même si j’ignore où tu es exactement et je ferai ce que j’ai toujours voulu et rêvé faire. Je m’approcherai de toi, je ne te laisserai même pas le temps de réfléchir à ma présence, je te plaquerai contre un mur comme une furie mais sans te faire mal et je plaquerai mes lèvres contre les tiennes. Tes lèvres qui m’ont attirées et qui m’attirent toujours. Je t’aime, oui je t’aime… Je voudrai arrêter le monde à cet instant pour ne jamais voir ta réaction horrifiée ou dégoûtée, je ne veux pas que tu casses mon mythe. Je t’aime, tu ne peux pas me faire ça. Je meurs d’amour pour toi. Même ces coupures, comment savoir si tu n’en es pas à l’origine ? Faire sortir mon amour de mon corps, m’exorciser de tes yeux, de ton sourire, de toi tout entier qui m’attire comme un aimant. Je t’aime, Clément. Ce prénom, je l’aimais déjà bien avant de te connaître avant que la flèche de Cupidon ne transperce mon cœur et que tu le détruises un peu plus chaque jour. Chaque coupure j’ai envie de la faire pour t’envoyer un message depuis quelques jours, j’en viens même à vouloir comme ces amoureuses transies malheureuses : écrire ton initiale ou même ton prénom entier sur ma chair pour que tu ne me quittes jamais. Le dernier jour je voulais te dire au revoir, t’embrasser pour te féliciter de ta réussite, je voulais te serrer dans mes bras, mais comme je suis lâche, je suis partie en essayant de ne pas me retourner. Aujourd’hui, je m’accroche à l’espoir que tu veuilles en savoir plus sur moi les rares fois ou je te parle par internet… Sans succès. Ta présence, ton rire, tes yeux, ta voix me manquent. Tu me manques et je t’aime à en crever…"