Bingo! il fallait que ca arrive

Peut etre que je poste juste pour etre entendu par des personnes qui comprennent ... Peut etre que je ne sais meme plus.


Apres 1 mois sans rien faire (suite a une grosse, vilaine et méchante am) me revoilà, lame, alcool a la main.

Non, cette fois on evite la cuisse. Elle est deja amoché suffisamment et pour le sport c'est pas top (surtout le regard des autres). Ventre et sein. Tient, le coté droit(pour changer)

Je poste, les idées conpletement confusent, la tete carément ailleurs, stone. Je suis "bien" , mais en cherchant un peu plus profond, c'est le néant, le trou noir, c'est la tristesse, violence, c'est peut etre plus vivable de l'intérieur.


Je poste et je m'en vais. Vite, fuir, fuir et encore fuir. Partir au travail, faire semblant que tout va bien, alors que j'ai mal. Pas question de dire que ca va pas non plus. Non, bien sur, je suis la plus fort, la plus... la plus bete surtout!


Je repasserais plus tard (se soir, si internet le veut bien), lire, ou ecrire. Il faut vraiment allez bosser maintenant, sinon je serais en retard.


Just want to die, please.




Mimi

Est-ce que tu as une idée de ce qui a pu déclencher cette "rechute" niveau AM ?

T'auto-flageller parce que tu t'es viandée ça ne mène pas à grand chose, c'est fait, c'est fait, et clairement je doute que tu l'ai fait par un pur hasard, tu en avais besoin au moment X pour gérer Y situation/angoisse/peur, c'est tout. Ce qui compte c'est le pourquoi, pour pouvoir "travailler" dessus avec du recul, qu'est-ce qui fait qu'après un mois où tu as apparemment pu gérer autrement, hier/aujourd'hui c'était différent ?

Tu parles de violence, de tristesse, tu arriverais à identifier d'où ces sentiments proviennent ?

Oui... ?

S'est passé quoi, derrière tout ça?

Fin de journée de boulot.
Je reviens comme presque promis.



-Un mélange de tous les sentiments accumulé. De l'amour, à la haine, en passant par la colere contre certain menbre de ma famille.
-Un " beug " internet wifi (mon frere, enfin celui qui me sert de frere, a bloqué le wifi, ou le deconnecte juste pour jouer en ligne). Il faut savoir que je suis un peu "addict" du net ( un autre forum ), et plus de connection la nuit ma pas mal perturbé. Ca peut paraître bénin mais vraiment je le vis tres mal de ne pas avoir internet.
-Une injustice familiale


Mille et une petite raison, qui, accumulé dépasse ma force.



Voilà un peu le topo.
Biensur cette rechute, améne toutes les idées noires, l'envie d'en finir, de mourir pour que tout le mal qui me ronge de l’interieur cesse enfin.



Que dire d'autre?
presque honte d'avoir "mal" pour si peu quand a coté mon voisin a des plus grandes souffrances physique et morale. L'impression d'etre une gamine capricieuse, mais est ce que c'est de ma faute si ma sensibilité et trop a fleur de peau ? Pas facile a gerer ca!

mimiprincesse a écrit:

-Un " beug " internet wifi (mon frere, enfin celui qui me sert de frere, a bloqué le wifi, ou le deconnecte juste pour jouer en ligne). Il faut savoir que je suis un peu "addict" du net ( un autre forum ), et plus de connection la nuit ma pas mal perturbé. Ca peut paraître bénin mais vraiment je le vis tres mal de ne pas avoir internet.

Oui mais non, c'est pas bénin pour moi. Perso, j'aurais exploser (enfin essayer vu ma force) la gueule de mon frangin si il m'avais fait ça. Internet, c'est le Bien.

En passant, j'adore ta manière d'écrire.

Merci Melancolie.






Fin de semaine, ca fait du bien quand ca s'arrete. Essuyer plusieurs remarques sur la tete tout au long de la journée. Une "sale tête". Oui je suis fatiguée, mais mes nuits ne sont pas reposante.
Se délit de sale gueule ma valut des gentilles moqueries de la part de mes collegues.

Stop, déconnection avec le boulot, enlever son T-shirt du boulot, reprendre une vie privée.


Les idées fusent. Bonne ou mauvaise,ca part dans tous les sens, aucune structure, (tient, ca me fait penser a suture). D'un coté la super excitation, le Up dans toute sa spendeur, tout en grand, en génant. Et de l'autre, le noir, la mutilation, les idées sombres.
Imaginez etre dans le milieux et de tout mélanger ?!
Sa donne par exemple une mutillation excessive sous tous les angles, avec un plaisir horrible, continuer, continuer a en perdre haleine connaissance.
Mais non, c'est juste une pensée.
Se retenir, toujours contenir ses emotions au maximum, etre forte, etre la "meilleure", gestion du temps, de l'espace, de l'environnement... Etre partout, et nul part a la fois.

Penser a demain, aux choses a faire, a dire, a penser, toujours penser d'ailleurs. Ne jamais s'arreter.

**essayer de ne pas penser, a penser a l'envie frénétique de se faire du mal**
etrange sensation.
Comment faire pour ne pas penser alors que c'est bien là mon probleme? Je pense trop !
Penser, reflechir, tourner tous dans tous les sens possible, trouver, raison, soltuion, le pourquoi du comment. Etre sur.



Le probleme se pose et je n'ai plus de reponse seule, ou je ne veux pas voir de solution.
Se soir, l'envie de me faire du mal. Histoire de mettre un "trait" sur cette fin de semain eprouvante niveau boulot, niveau perso. Ca me permettrais de lacher de la pression.
J'entends par lacher de la pression, vider un peu le trop plein. (biensur c'est peut etre mal dit, mais on vide le reservoir, en se blessante volontairement). Ca fait du "bien" n'est ce pas ? Un bien malsain, mais c'est se qu'on ressent a l'instant T.









--> c'est dérangeant de raconter sa petite vie de patachon ici ? de se poser des questions ? reponses ou pas reponses, peut etre qu'un personne aura une reponse auquel je n'aurais pas penser, ca peut etre constructif.

Fichu émotion! F*ck f*ck f*ck

Si seulement j'étais dépourvu d'émotion ... Ne plus sentir ses sentiments qui font si mal, ses sentiments qui me donnent l'envie de sortir les "instruments du mal".

Si seulement il m'envoyait un message juste pour me rassurer. Pourtant il le sait que je suis fragile, sensible. Son silence, son absence, je ne sais pas gerer ça.
Déplacer se mal pour me blesser. Se blesser pour sentir qu'on a vraiment mal et que ce n'est pas dans la tete mais bien sur son coprs.
Résister ?

Pour qui ? pour quoi ?

Envie completement de me laisser aller, laisser libre court a une imagniation débordante et sanglante. Relacher de la pression. Mmm se serait si bon.


S'abstenir.

Non, impossible d'aller plus loin, j'ai barré la route.


Je ne sais pas, je ne sais plus.
Pas tres constructive, pas envie de reflechir, pas envie de rien.