C'est une amie a moi qui a fait ce texte .. Je fais des crise de panique .. elle aussi ..
Pendant une des sienne .. Elle a écrit .. quelque chose .. De tro bo ..
Ca aide a comprendre .. mais .. Elle se défoulle ..
Et ca donne quelque chose de vraiment bien ..
Quelque chose d’indescriptible commence à m’envahir
Je sais qu’il est l’heure de mon réveil, j’essaye de me contrôler
Je sens mon cœur battre de plus en plus vite, une bouffé de chaleur m’envahi
Mon souffle est coupé, l’air me manque à chaque respiration
Tout à coup mon esprit s’embrouille de pleins de pensés négative
Je pense à ma journée en y voyant que des mauvaises choses
J’entends une voix au loin, je peux reconnaître celle de ma mère
Elle répète sans cesse de me contrôler, j’essaye mais je n’y arrive pas
Je la vois qui cris, mais par ma propre voix je l’enterre, des pleurs viennent aussi
Une rivière succombe mon visage pas trop long après et c’est une source
Elle ne peut s’arrêter de puiser au fond de mon énergie pour couler
Une petite pilule entre dans ma bouche, elle va se loger en dessous de ma langue
Ma salive s’y mêle, jusqu'à l’obtention d’un mélange homogène
Quelques secondes a peine plus tard, mes sens s’affaiblissent
J’ai beau lutter contre j’ai de la difficulté à pousser des cris, a voir et entendre
Je continu d’avoir les même pensé mes les symptômes physiques s’atténuent
La rivière continu son cycle sans aucun problème elle ne remarqua pas la différence
Un sentiment de haine profonde commence a m’envahir et très violemment
Ma tête se resserre comme dans un étau, un labyrinthe se forme à l’intérieur
Mes pensés s’entremêlent, j’ai de la misère à distinguer la réalité du irréelle
Je me rends compte peu a peu que le monde autour de moi sont affecté
Mon cœur se débat il ne veux plus être allier avec moi, il veux s’enfuir
Mes peurs prennent de plus en plus d’ampleur, elles s’alimentent dans la rivière
Elles prennent tellement d’ampleur qu’il n’y reste de la place que pour sa
Au bout d’un certain temps qui me parait une éternité tout commence à cesser
La rivière s’assèche peu a peu, mon cœur reprends un rythme plus normal
Un cou de fatigue me tombe dessus d’un édifice de cent étages, il ne se gène pas
Je me sens toute faible et impuissante, je n’ai presque plus de force
J’ai seulement une chose en tête et c’est d’oublier le mal que j’ai encore fait
Et de m’endormir doucement en oubliant tout ce qui vient de se passé