Kavekanum

Sujet: Kavekanum Jeu 13 Mar 2008 - 20:12

Oubliez moi

Inoculé le produit est entré par la porte il ne laissera plus en paix
Sans cesse est fermée la porte je crois qu'il est entré
les gens qui me regardent qui me parlent dedans l'entrée
Ils m'ont choquer rechoqué encore et encore
Devant mon obstination là qu'il en est un enclenché par le passé
il s'agit encore de monter les zemper qu'on y remette le mot

Ils m'ont renoncé, se sont consultés
M'ont-ils oublié ça, ça m'étonnerai
Maintenir mes veines m'enchaîne
Ouvrir la petite boîte qui contient, qui contient la haine
Et voila que ça recommence à entrer
Sentir le fer pénétrer, maintenir ma tête qui commence à fumer
Ça danse, ça danse, ça danse, ça danse
Ça danse dans ma tête, ça recommence

Oubliez-moi, laissez-moi
Ça s'empresse dans ma tête
Laissez-moi, liquidez-moi
Ça s'empresse dans ma tête

Ils ont renoncé, se sont consultés
M'ont-ils oublié ça, ça ça m'étonnerai
Les revoila qui reviennent m'enchaîne martiennes mes veines
Ouvrir la petite boîte qui contient la haine
Et voila que ça recommence à entrer
Sentir le fer me pénétrer, monter ma tête qui commence à fumer
Ça danse, la transe, la transe, la transe
ça recommence à agir le pire

Oubliez-moi, laissez-moi
Oubliez-moi

Sujet: Re: Kavekanum Jeu 13 Mar 2008 - 22:31

Combattant de la gégène

Comment fais-tu pour dormir la nuit
Tu as oublié les cris
Cauchemar de ta vie, connard à l'abris
Comme on dit je vous ai compris

Les nuits parisiennes, nous t'invitons
A nager dans la seine
La tête la première, dans un sac de pomme de terres
Tu verras c'est super de voir, que les pieds attachés
tu ne peux pas nager, mais tu peux couler

Comment fais-tu pour dormir la nuit
Tu as oublié les cris
Cauchemar de ta vie, connard à l'abris
Comme on dit je vous ai compris

Les bien-pensants, les bien-séants
De bons grands parents, criminels en leur temps
Combattant de la gégène
Tu ne dois pas oublier que dans ta verveine
L'important c'est d'être gai

Buvons à s'obturer, étriper ou bien jeter, les mais dans le dos
dans un fossé à toi le grand père, tortionnaire
Comment
Comment fais-tu pour dormir la nuit
Tu as oublié les cris