Vos psy

Bonjour tout le monde Very Happy

Je m'ennuie et je viens de penser à ca alors me suis dit "oh je pourrais pondre un piti topic"
Donc j'aimerais que vous me parliez de vos psy rabbit

Combien vous en avez-vu? Pourquoi vous avez changé? Qui a décidé que vous deviez en voir un? Comment vous vous entendez avec lui? Vous lui parlez de tout? Vous le tutoyez?

etcetc...

Nombre de messages : 388 Age : 36 Date d'inscription : 10/01/2007

j'en vois depuis que j'ai 12 ans.
j'en ai vu 7... Rolling Eyes

le premier je l'ai vu pour faire un test de QQ heu de QI sur conseil du psy scolaire, ce qui n'a servit à rien...
apres j'en ai vu un pendant une année scolaire pour travailler des méthode de travail justement
apres j'ai vu un psychiatre pour le THADA, sans résultats
apres j'ai vu une psy super gentille avec qui j'ai reussi a parler de plein de chose difficile de mon passé, mais jamais de mon traumatisme, c'est con mais j'avais peur de la décevoir (je sais c'est nul), j'aurai aimé pouvoir etre ami avec elle. c'est rigolo.
apres j'ai vu un autre psychiatre parce qu'elle gérait mal l'am, pour elle s'était une pathologie qui relevait de la psychiatrie.
et enfin j'ai vu le psychologueet le psychiatre de l'hopitale depuis 7mois. j'ai reussi a parler de mon enfance avec la psy, c'est plutot positif.
je n'ai jamais tutoyé mes psy.
je crois qu'ils n'aiment pas ca, ca s'apelle l'effet Pygmalion négatif.
voila pour les gros mots

Albatroce a écrit:: apres j'ai vu un psychiatre pour le THADA, sans résultats

Excuse moi de mon incultabilité (gné???) mais, THADA, késako?

Albatroce a écrit:: apres j'ai vu une psy super gentille avec qui j'ai reussi a parler de plein de chose difficile de mon passé, mais jamais de mon traumatisme, c'est con mais j'avais peur de la décevoir (je sais c'est nul)

Putin pareil, j'ose pas tout dire parceque j'ai peur de la décevoir...

Merci pour ta réponse

Nombre de messages : 388 Age : 36 Date d'inscription : 10/01/2007

Trouble Déficitaire de l'attention avec ou sans Hyperactivité......

Ahh d'accord, bon j'aurais pu chercher sur le net aussi je sais, mais... merci Wink

Dans l'ordre :

A 10 ans, la psychologue scolaire, pour un "petit" problème d'intégration dans ma classe (j'avais toute la classe sur le dos, on me lançait des merdes de chiens dessus à la récré et autres joyeusetés du genre.. et c'est moi qu'on a envoyé voir un psy. Cherchez l'erreur), et aussi parce que je fouttais allègrement le bordel en classe (avoir fini les exercices systématiquement avant les autres, ça stimule pas à être discipliné).
La psy scolaire était une espèce de harpie semi hystérique avec une voix à faire péter les vitres et qui a voulu faire faire des exercices de relaxation à .. mes parents, le jour où elle les as convoqué pour leur dire que selon elle, il aurait fallu que je vois un pedopsychiatre parce que je me réfugiais trop dans un monde imaginaire (ce qui n'était pas faux, mais c'est quand même pas de ma faute si le "monde réel scolaire", c'était des lancés de caca de chien et un ennui profond pendant les cours !). Résultat, mon père a claqué très fort la porte sur son petit nez, je n'ai pas remis les pieds chez elle, et je ne suis jamais allée voir ledit pedopsychiatre.

Ensuite :

L'infirmière scolaire du gymnase (équivalant suisse du lycée) avait remarqué que je n'allais pas trop bien. A voulu me faire voir un psy, mais ni moi ni ma mère n'avons trop voulu. (en plus, elle avait le tact d'un dinausore, ca aide pas).

Plus rien pendant plusieurs années, puis :

Une psychologue (qui animait une thérapie de groupe) pour mon problème d'hyperphagie. Elle m'a réconcilié avec les psy, et m'a sacrément aidé au niveau de mes problèmes avec la bouffe.

Une psychiatre, au moment où je me suis fait licencier de mon taf et que je ne gérais vraiment pas. J'y ai mis les pieds deux fois, mais le courant ne passait vraiment vraiment pas. Elle avait une voix insupportable, l'énergie d'une moule et aucun humour. Tout ce qu'il fallait pour que je n'y remette pas les pieds !

A ce moment là, j'ai recontacté la psychologue que j'avais vu pour mes problèmes d'hyperphagie. je savais qu'elle ne pourrait pas me suivre, mais je voulais qu'elle me conseille quelqu'un, partant du principe que si j'avais eu un bon contact avec elle et qu'elle me connaissait un peu, elle risquait fort de me conseiller quelqu'un qui travaillerait un peu dans le même état d'esprit qu'elle. Elle m'a conseillé le psychiatre chez qui je vais maintenant, et j'y vais depuis le mois de mai, et ça se passe bien, et ca m'a sacrément aidé dans la période ou je ne gérais vraiment que dalle.
Là, ça va mieux, mais ca me rassure quand même d'avoir ce "filet de sécurité" au cas ou je repartirais en live. Donc je le vois encore, mais moins souvent qu'au début.

Voilà ^^

12 ans : vu une pédopsychiatre et un psychologue dans l'aile psy de l'hôpital de ma ville. Suite à une tentative de tentative de suicide? En fait, suite à l'écriture d'une lettre d'adieu ou un truc du genre écrit à mon prof plutôt que d'évaluer son enseignement. Truc anonyme, elle demande a une fille de la classe si elle reconnait l'écrire, puis je suis identifier. Discutions avec la directrice de l'école et mes parents. J'y vais aussi dans le but de découvrir si les douleurs au nombrils que j'ai depuis toujours (et qui sont rester même après 2 opérations qui ont servit à rien), ne pourrais pas être du à un traumatisme quelconques.

Je déteste la pédopsy qui ne fait que dire "humhum humhum" et écrire sur sa feuille lorsque je parle. Impression de ne pas être écouter et de ne pas être intéressante. J'adore le psy qui me fait passer tout pleins de tests intéressant, comme se test de mémoire (apprendre une liste de chiffre sans aucune sens entre, dans l'ordre, les réciter après un moment, dans l'ordre. Puis à l'envers). J'y fait un score remarquablement élever, dans les 2 sens. Mais ma tête se met a paniquer et angoissé de ne pas réussir et je m'arrête en disant ne plus y arriver alors qu'il ne me restais que quelques chiffres à réciter et que j'aurais pu faire un score "parfait". Depuis, je garde une très grande mémoire visuelle, malgré un petit blocage après un certain nombre de données à apprendre.

Je décide de dire à la pédopsy que j'en ai marre, mais ose pas dire que c'est juste d'elle et des ses "humhum". Elle semble pressé de se débarrasser de moi et décide d'annuler elle-même mon rendez-vous avec le psy alors que j'aurais voulu me confier a lui et continuer juste avec lui.

23 ans environ ou avant? : Première AM avec retour de pensées suicidaire en force. Je décide d'aller directement voir un psychiatre à Louis-Hypolite Lafontaire, hôpital psy près de chez moi à l'époque, mais pour cas très lourd. J'y entre, et là j'apprends que je ne pourrais pas ressortir sans que le psy m'en donne la permission. C'est comme une prison, c'est horrible. Je décide de dire tout et n'importe quoi au psy afin de sortir au plus vite. Je sort et décide de ne plus jamais y mettre les pieds.

24 ans : Mon médecin me dis que je devrais aller voir un psychiatre pour l'am et les pensées suicidaire. Je me renseigne : 2 ans d'attente pour un suivit!! Je laisse tomber et décide de m'en sortir seule.

27 ans : Rechute coté AM et TCA dont je n'avais jamais parler (en fait, je ne me rendais même pas compte). Suivit d'une TS, je suis d'abord évaluer par le psy en service à l'urgence. Il juge que je en suis pas en état de rentrer chez moi et pense a un trouble de personnalité limite vu comment je suis dissocier de toute émotions, prostrée et tremblante sur ma chaise, en racontant ma vie et mes pensées et comportement.

Hospitalisation de 10 jours dans l'aile psy de l'hôpital. Je vois un résidant psy (en fin d'étude) plus souvent que la psy qui le forme. Je le vois 2 fois par jours et mon diagnostique est fait. Je suis bien borderline, en plus d'être boulimique en phase anorexie restrictive (ce qui s'améliore un peu après mon hospitalisation).

Quelques semaines avant, j'avais commencer un suivit avec un psychologue, mais je ne me sens pas bien. Dès que j'entre dans son bureau, je tremble jusqu'au moment d'en sortir et je m'am toujours avant et après. Je pleure beaucoup, mais il me laisse partir à l'heure précise ou même avant, peu importe l'état où je suis. Parallèlement, je commence à voir une psychologue que je fini par choisir. Beaucoup plus humaine, qui ne me laisse pas partir de son bureau si je suis en pleure ou angoissée. Même si la séance commence parfois en avance et fini après l'heure, je ne paye que pour 1h. Je me sens écouter et je n'ai pas peur de parler, je ne tremble presque pas et je pleure plus sainement. Des solutions concrètes commencent à se former.

Je suis sur plusieurs liste d'attente, notamment pour un hopital spécialiser dans les TCA et une thérapie de groupe pour borderline.

Nombre de messages : 5597 Date d'inscription : 28/03/2007

J'en ai vu en dehors de l'HP et deux dans l'HP et je vais bientôt en changer.

-La première que j'ai vu c'était de début avril à début juillet. J'ai du changer parce qu'elle est partie travailler ailleurs.

-La deuxième que je vois depuis début août. Je change parce qu'elle part aussi. Elle travaille pour l'instant au SPE et comme c'est une médecin assistante, elle s'en va. C'est comme ça, les médecins assistants partent au bout d'un moment. C'est comme ça.

-J'en ai aussi vu deux quand j'étais en HP.

-Et je vais en voir un nouveau prochainement. <= le premier psy masculin (complètement hors sujet là)

Première fois c'était une travailleuse sociale, j'avais 14 ans et des tonnes de problèmes (comme nous tous ^^) donc je suis allée la voir de mon plein gré... mais j'ai arrêté parce qu'elle se prenais pour un psy et refusait de me référer

15 ans: Première psy, suite à un séjour d'une nuit aux urgences de l'hopital pour avoir parler suicide avec une amie qui a eu peur et a alerté la meute (d'ailleurs je le remercie beaucoup ajd) donc là j'ai été forcée au début mais je me suis très vite bien entendue avec elle. j'Ai fait 1 un an de thérapie avec elle puis elle est partie dans une autre ville

15 ans: attérissage express en psychiatrie suite à ma première AM et donc on m'a collé une tab*** de psychiatre sur le dos, je l'ai toujours haie, elle me détestait comme la peste et me le fesait savoir sans se gêner... le genre de personne pour qui tout n'est rien et qui me disait ben de toute façon, tu veux pas guérir... ou alors, si t'arrête pas l'AM demain, j'te rerentre en psychiatrie et de façon définitive cette fois...
Je l'ai eu pendant 3 ans en phase entrecoupées... là je m'en suis débarassée... comment ? ben un jour elle a laissé échapper, de toute façon tant que tu prendras tes anti dépresseurs, tu m'auras sur le dos... ça a tilté, j'ai arrêté les AD

16 ans: psy en juvénile encore, que j'ai gardé jusqu'à mes 17. je me suis moins ouverte par l'expérience... mais j'ai avancé quand même c'était bien, apres un an de suivi elle part dans une autre ville elle aussi.

17 ans: je passe en psychologie adulte puisque que j'aurai 18 ans dans moin de 6 mois... je me retrouve avec une travailleuse sociale et non un psy... je la déteste, je ne parle pas et je lui fait clairement comprendre que je l'aime pas, j'oublie des RDV, j'arrive en retard alors que je suis quelqu'un de ponctuel etc... je l'ai toffé 6 mois après j'ai demandé un changement

18 ans : je passe avec un psy, le premier homme de mon parcours. Il a une approche que je n'aime pas, il s'assoit devant et me disait, je t'écoute aaaarg que j'ai pu hair ça.... ça a duré 6 mois aussi je crois parce qu'après je devait partir dans une autre ville

16-17-18 ans: j'ai aussi une autre psy, au cégep cette fois mais pas dans un cadre professionnel, elle m'aide beaucoup mais on a pas de limite, c'est devenue une amie et tout même si elle est beaucoup plus âgée... c'est elle qui m'a le plus aidé et vu que c'était en même temps que les autres psy, je m'ouvrais moins à eux et plus à elle...

Lu jusqu'au bout?

ouais Amande lu jusqu'au bout Razz

:lol!:

Vu deux pedopsychiatre en 3semaines.

le premier, pour ne pas être vulgaire était un enfoiré ( quoi c'est vulgaire ça ? ) disant n'importe quoi sur moi et que je haïssais à un point...

le deuxième était gentil, mais je lui ai dit seulement ce qu'il voullait entendre, pour sortir plus vite de l'HP. hors de question pour moi de lui parler de plus d'un problème.

je suis sencé en voir un troisième, mais j'ai toujours pas vu le bout de son nez.

Invité

D'abord, j'avais été forcé à voir un psychiatre, quand je ne gérais rien, et que je renvoyais royalement chier tout, et tout le temps.
Je n'avais rien à lui dire, et lui il racontait que de la merde. Je me souviens qu'il était bien souvent complètement à côté de la plaque et que je lui riais au nez. Que du bonheur.

Je me souviens plus trop, mais j'ai vu un psy à usage unique, dans un CMPP. De mon plein gré cette fois. Le problème, c'est que je venais d'être majeur, et il pouvait pas me voir parce qu'il avait d'autres chats à fouetter (pédo-psy).
Il avait l'air gentil et moins à l'arrache que l'autre. J'étais déçu.

Après j'ai mis en veilleuse, jusqu'à l'explosion.

Là j'ai refait la démarche. Cette fois-ci j'ai pris le prétexte bidon de m'intercaler entre 2 séances pour savoir ce qu'il me fallait. Un psychiatre, un psychologue, un psychothérapeute ? En fait, je me fichais bien de ce qu'ils répondaient, je voyais déjà ceux qui refusaient et qui étaient pas accueillants, et je les virais d'office.
C'était "à la recherche du nouveau psy".
J'ai trouvé mon étoile montante Surprised

Ca a pas mal marché, j'ai bien avancé. Puis j'ai bloqué, et nos conversations tournaient plus au café philo qu'autre chose alors j'ai coupé court, parce que 38€ remboursés 20, ça fait mal au cul à la longue.

Depuis, je suis en stagnation. Mais je gère mes comportements, alors on va dire que le plus handicapant au quotidien était bouclé.
Quand je dis "gérer mes comportements", c'était comportements à risque, crises d'angoisse et de panique, incapacité à tenir une conversation "normalement" (sans montrer à quel point l'autre m'angoisse).

Je ne regrette pas la technique du casting improvisé, j'aurais pu tomber sur une morue acariâtre sans ça... Parce que le nom sur la plaquette était chantant. Et c'est quand même 'achement mieux de faire la démarche de soi-même. La motivation est forcément pas la même.

Combien vous en avez-vu?
Deux

Pourquoi vous avez changé?
J'étais pas sencée en voir un deuxième en fait

Qui a décidé que vous deviez en voir un?
Le 1er , une prof et une amie et moi d'un coté
La 2e c'est moman .. --'

Comment vous vous entendez avec lui?
Pour les deux , pas cool .. Sa passait pas , ils m'énvervaient avec leurs questions et leurs regards qui me font passé pour une débile profonde ..

Vous lui parlez de tout?
Heuuu la 1ere je pense pas (je mentais beaucoup pour esquiver LE sujet ..)
Le 2e ben sa dépendait de ce qu'il me demandait mais je pense pas avoir parlé de tout

Vous le tutoyez?
Non

J'en ai d'abord vu trois en thérapie familiale pour les problèmes de ma soeur.
Une quatrième qui était une grosse conne. Je l'ai vue juste après ma TS, a l'hôpital. Je lui ai dis ce qu'elle voulais savoir en crevant de froid dans son bureau mal chauffé alors qu'il faisait -20 dehors...
Ensuite, j'en ai vu deux nouveau pour une séance familiale juste après ma TS.
Mon septième a été un psychologue sympa qui m'a suivit quelques mois.
J'étais con, il était sympa, naïf et facilement manipulable. Bref ça a foiré quand il a décidé de m'envoyer en HP avec le premier psychiatre que j'avais vu aux thérapie familiale.
Après ça, j'ai débarqué chez un génie. Normal, psychiatre éminent et pas des plus con. Vu qu'il dirige une fondation, il a pas pus me suivre régulièrement quand je suis partis en couille en septembre.
J'ai aussi vu sont assistant une fois pour qu'il me prescrive des anxio.
Depuis, je suis suivit par un psychiatre sympa et trippant. Aussi facilement manipulable mais qui a tendance a inverser les rôles. En bref, il me raconte ses merdes avec sa famille et je l'écoute Razz

Dix en tout donc.

En règle générale, je leur dis le minimum qui peut me servir, sans que ça risque de m'envoyer en hp ou d'entrer en conflit avec mes désirs.

Nombre de messages : 3496 Age : 32 Date d'inscription : 11/02/2007

J'ai vu qu'une psy, mais j'y suis retournée plusieurs fois. Je l'aime bien, le courant passe assez bien. Ce qui me stresse un peu, c'est que son fils est dans le même lycée que moi, et dans le même groupe de sport cette année. J'aime pas qu'on me reconnaisse Razz

Donc. J'y suis allée une première fois quand j'avais 12 ans, par là... Je sais plus pourquoi... Parce qu'il y avait plein d'histoires avec mes amies et que je gérais pas, peut-être ? J'ai arrêté parce que après les vacances d'été j'ai jamais repris rendez-vous Rolling Eyes

J'y suis retournée trois ans plus tard, l'an dernier donc. Parce que je gérais pas le fait d'être toute seule sans amis au lycée. Ca a duré, euh, 6 mois environ ? Je sais plus. J'ai arrêté parce que j'angoissais trop à l'idée d'y aller.
Et j'ai demandé à ma mère de reprendre rendez-vous pour y retourner (j'y vais, je pars, je reviens, je repars... Razz

)

Quant à la tutoyer... Ca me serait jamais venu à l'idée...

Personnellment, j'ai toujours tutoyé mes psy parce qu'au Québec, après 2 minutes de discution, tout le monde se tutoies ^^ j'aime bien, ça enlève la barrière "je suis psy et donc tu me dois respect parce que je suis plus vieux, jai plus détudes etc"

Merci d'avoir répondu.
Bon comme je vous ai posé des questions, la moindre des choses c'est que j'y réponde moi-même ^^

Alors le premier psy que j'ai vu c'était y'a 3 ans je crois. J'ai dis à ma mère que je voulais y aller pour mes "TOC", mais en plus de ca j'en avais un peu marre de tout. C'était une femme, et le courant ne passait pas du tout. Elle posait des questions supers débiles ( ca vous arrive de rêver? hum...). La plupart du temps je disais rien, et elle faisait rien pour relancer la conversation. Comme c'était pas remboursé par la sécu, j'ai arrêté de la voir au bout de 2 fois.
Ensuite, cette année, je suis allé au Bapé ( Bureau d'Aide Psychologique pour les Etudiants). J'y ai rencontré ma psy actuelle, super sympa, et le courant passe super bien. J'ai quand même un peu de mal à parler, mais elle fait tout pour m'aider. Je l'ai vu 6 fois pour le moment, mais comme j'ai arrêté les cours pour cette année, je sais pas si je pourrais la revoir. Dégoutée...
Et je vois encore un psychiatre, car mon médecin traitant m'y a envoyé après avoir vu mes coupures... Je l'aime assez, mais voilà quoi, c'est pas pareil qu'avec ma psy... Pi en plus il se rapelle pas de ce que je dis, ca fait trois fois qu'il me demande si j'ai un copain. Il m'a même demandé si ca m'était déja arrivé de m'AM, alors que c'est pour ca que j'y suis allé. Bref... Pi quand je lui parle il s'affale sur sa chaise, desfois il baille la bouche grande ouverte sans mettre la main et... ca me soule ^^. C'est lui qui a demandé une hospitalisation.

Voilà voilà