L'interieur de l'interieur
Les fleaux coulent, mais la peine reste
Dans le noir je reste sans bruit, sans peine
Mais commence une douleur sans musique
La tempete commence
Ces cris, ces fracas contre les rochers
La pluie n'est que quelques files de transparences qui jaillit dans la mer
Les vagues, les sirenes bercent mon esprit
Comme la grande roue qui tourne et tourne
Mais qui revient toujours au ressources des fleaux qui coulent
Sans peine, sans douleur, sans bruit, sans pleure
Et voila qu'il ne reste plus que les cheveaux dans les pres
Et voila encore l'histoire qui revient comme une grande roue