alcool

j'ai quasiment arrêté de fumer mais je bois.
vaut-il mieux reprendre la clope? grande question.

pourquoi cette hargne à me détruire, je me fatigue.

je bois clairement pour me détruire, de même que je fumais pour me détruire, de même que l'am, de même que la boulimie à l'époque. de même que le ololol médocs.

j'essaie de sortir de ça mais mon cerveau bien inventif trouve toujours quelque chose pour me foutre en l'air.

Ras. le bol.

désolée pas la foi de plus parler. je le ferai plus tard. je suis un peu soule. Je reprendrai ce post.

le cerveau est souvent très efficace pour trouver des alternatives pour se faire mal
bien moins pour trouver des solutions stables

fais gaffe à l'alcool quand même c'est pas le moment de te flinguer les organes
dit elle avec un verre de vodka à la main

? a écrit:

Une addiction pour annuler une autre...
Sa change rien au final tu a toujours une addiction.
Le plus simple sait de arrêté toute les addiction tu te motive est tu arrêtes sa allée.

Sinon j'ais répondu sur un autre de tais poste.


Comme d'habitude dispo an mp pour parler.
(Je devrai le maître dans la signature.)

Merci pour vos réponses.

J'aimerais arrêter toutes les addictions. Vraiment. De plus en plus d'ailleurs.
J'ai une sorte de combat interne. D'un côté je suis en train de prendre conscience qu'une vie stable n'est pas chiante, et j'y aspire. De l'autre j'ai un pannel de comportements autodestructeurs et addictifs que je dois réussir à lâcher.
Bon ça va demander des efforts mais je suis motivée. Je crois qu'il va falloir que je bosse sur mes représentations (genre, non je mérite pas de me faire du mal).

Le combat contre l'addiction...
Ah que c'est un combat difficile !
Je saurais pas trop quoi répondre, à part l'évidence, il faut travailler sur les causes des symptômes et bla bla bla...
Je suis passé par la case cure de désintox et post-cure, j'ai eu l'occasion de constater que la soif d'alcool c'était pas de la blague.
Je compatis, c'est pas un problème marrant.

Si tu as envie de parler de dépendant à dépendant (j'aurais envie de dire ancien mais seul le temps qui passe le dira), n'hésite pas.
En attendant, que dire, qu'un soutien psy s'avère important, qu'il faut chercher la raison de ce "combat interne" et bien sur qu'il faut bien manger 5 fruits et légumes par jours (haha).
Blague à part, t'est pas seul, et j'aimerais rappeler que ce n'est pas être faible qu'être addict et que tu n'as pas à te haïr pour ça (juste au cas ou   )

Merci pour ta réponse.
Au passage, sympa, la photo de profil, et vive le stup monastère.


Je suis encore en train de boire. Je commence à voir en face qu'il y a vraiment un problème. Je vois mon psychologue vendredi et doit appeler mon psychiatre aujourd'hui pour lui dire que la dépression revient.

Bref, des difficultés, mais j'essaie de les résoudre.

Je te contacterai peut être en mp un de ces quatre alors

Je suis dispo en mp aussi, j'ai pas grand chose à dire à part que je te souhaite bon courage dans ta quête si je puis dire

C'est quoi ta motivation à arrêter ?

Parce que mine de rien, voir l'arrêt de l'alcool comme juste... un arrêt (genre "un truc qu'il n'y aura plus"), c'est le meilleur moyen de s'auto-tirer une balle dans le pied.

Parce que même si c'est un truc destructeur, ouaip, bah n'empêche que c'est connu. Donc rassurant. Donc (au delà de la pure dépendance physique), c'est une perte d'un truc rassurant (destructeur mais rassurant).

Et le cerveau humain DETESTE perdre des trucs. C'est carrément neuro-psy. On n'est pas programmé.e.s pour accepter si facilement que ça de PERDRE quelque chose.

Par contre, si t'as moyen de le voir comme un gain (ché pas, de fric ? De possibilité de passer ton permis de conduire sans risque de le voir s'envoler pour conduite en état d'ivresse ? de... whatever. Un gain qui fasse sens pour toi, quoi)... Ben ça enclenche autre chose en terme de motivation.

(Well, c'est ce qu'on me serine à propos de l'arrêt de la nicotine, je profite de l'occasion pour bassiner qqun d'autre avec la théorie en question ^^) (histoire de balayer sous le tapis le fait que je cause, je cause, mais je m'enquille tjs mes deux paquets de clope par jour, hein)

(Ce post était un chef-d'oeuvre en terme de "faites comme je dit, pas comme je fais". Non non, me félicitez pas, je sais, je sais, un tel lvl de manque de cohérence, c'est du grand art ^^)

Le problème n'est pas l'arrêt en question mais le truc qui empêche l'arrêt.
Le plus dur sait de la trouver.
De plus tu a peut aller voir tous les psy du monde, tu est pas sûr que trouvé la solution.
Si une réel solution unique existé alors elle serait sur Internet.
On a beau sortir de l'addiction, tu a de grande chance de retombé dedans.
Si tu veux un conseil, réfléchi.

Le truc avec l'addiction c'est que t'as beau réfléchir tout ce que tu veux et le plus justement du monde, par définition c'est un truc pas raisonné.
Un vrai casse tête, une épreuve.
Insurmontable ? Non, mais il faut une sacré dose de volonté ainsi qu'être capable de reprendre la lutte à CHAQUE rechute pour y parvenir, franchement c'est un vrai parcours du combattant.
Peut-être est-ce différent pour l'alcool en comparaison des opiacés mais pas tant que ça je pense.
Caramel, j'aime bien ton idée de gymnastique cérébrale, et c'est pas parce qu'on arrive pas à appliquer une bonne idée qu'elle en est pour autant mauvaise !
Hésite pas à donner des nouvelles pour ton rendez vous !

Courage à tous ceux qui galèrent

Bonjour. Je reviens sur ce post parce que le problème a clairement empiré, tout mon fric part dans l'alcool, c'est juste l'horreur (du coup Caramel le coup d'y gagner quelque chose genre du fric, ouais, carrément), je viens parfois bourrée en cours et certains de mes partiels ont été particulièrement catastrophiques parce que j'étais complètement torchée, je bois relativement souvent au réveil, bref ça devient infernal.

J'ai un rdv avec un addictologue mais c'est le 21 février et je sais pas quoi mettre en place pour me calmer d'ici là. Parce que là c'est clairement plus possible.

Quand j'en ai parlé à mon psy il m'a très gentiment (ironie) prédit que j'allais avoir une vie de chien avec mes conneries (je cite).
Je sais pas si ça m'a fait à ce point mal parce qu'il a raison?

Salut,
être défoncé en cours c'est effectivement un coup à foirer une année...
J'ai perdu 4 ans moi comme ça. J'ai 26 piges et je suis en 1ère année de master les autres ayant aux alentours de 21 ans.

Donc déjà, sache que je compatis, sincèrement.

A part ça, le truc le plus important que j'aurais à te dire c'est qu'il faut prendre le temps qu'il faut pour te stabiliser quitte à foirer ton année. Surtout pour l'alcool.
Je prendrais donc pas de gants et te dirais que c'est une question de priorité et que ta vie est plus importante que de valider ton année.

Parler de ce que tu cherches à combler et à fuir est aussi important, et je dis ça alors que je fais partie des gus qui ont un mal de chien à s'ouvrir aux autres.
Donc prendre un RdV avec un addicto c'est un très bon départ même si comme souvent, le temps d'attente est plutôt long.
C'est souvent le premier pas qui compte le plus et je te félicite de l'avoir entamé.
Et je sais que rien qu'une semaine ça paraît déjà très long dans ces moments la.

Effectivement, la vie d'un ou d'une alcoolique est pas rose et donc plus tôt tu réagis mieux c'est.
En attendant, un sevrage en clinique est-il envisageable ? Il faut faire attention avec le delirium tremens, il peut s'avérer dangereux !

Je suis à ta disposition si tu souhaite parler, ainsi que d'autres surement, histoire de te soulager.

Prend soin de toi l'amie

Merci pour ta réponse.
Quand tu dis que tu es à disposition, ça veut dire que je peux te contacter par mp si besoin?

Une amie à qui j'ai parlé de mon problème m'a cherché des trucs et a découvert qu'à Saint Anne on pouvait consulter sans rdv. J'y suis donc allée ce matin et j'ai été vu par un addictologue absolument génial qui m'a beaucoup aidé à déculpabiliser.

Oui, si tu as besoin de parler par mp pas de soucis.
Si tu as besoin de soutien ou de vider ton sac non plus.

Une consultation sans RdV avec un bon addicto tu parles d'un coup de bol
Et encore plus si tu est tombée sur quelqu'un qui te convient comme ça d'entrée de jeu. Ce faire aider c'est important, l'addiction est un sacré bestiau à affronter, alors autant pas être seuls ^^

La culpabilité est vraiment quelque chose de perverse en ce qui concerne l'addiction, qui pars très vite en cercle vicieux...
Tu fais bien de t'en débarrasser, c'est pas un truc qui nous tire vers le haut !

Merci beaucoup, je n'hésiterai pas à t'écrire alors !

Ouais, j'ai eu un sacré coup de bol.

ça a donné quoi ton rdv finalement

Quelques nouvelles: je sors d'une longue hospi en addicto. Abstinente depuis un mois et trois semaines

J'espère que ça a pu t'aider et bon retour parmis nous coeur sur toi et prend soin de toi 😘

Félicitations !

alors ça tient ?