Drogue

J'ai une relation très bizarre avec l'alcool/drogue, en gros j'ai toujours eu très peur de tomber dans ce genre de comportements addictif au point de tout faire pour éviter de consommer et de me culpabiliser à fond à la moindre gouttes d'alcool que j'avale.

Seulement, cet automne ma vision de l'alcool/drogue à changer ( à cause d'une nouvelle que j'ai apprise). Je suis donc rendu à un point ou je m'en fou pas mal de boire ou de me droguer ce que je fais joyeusement . Je pense pas que ce soit un problème pour l'instant, je ne suis pas addict, mais je sais que je le fait consciemment dans le but de me détruire et de vivre autre chose que ma vie pendant quelque temps.

Bref je sais pas quoi penser de tout ça, je n'en ai pas encore parler avec mon psy et je ne sais pas si je devrais le faire. J'ai peur qu'il intépréte mal et qu'il pense que j'ai vraiment un problème de dépendance.

pour la question de savoir si tu doit en parler ou pas à ton psy je dirais que oui il le faut, il est là pour t'aider, et si tu à peur des quiproquo dit lui clairement, que tu à peur de ça et dit lui bien se que toi tu ressent, quitte à lui écrir pour que ce soit le plus clair possible
tu dit ne pas être dans la dépendance pour l'instant, mais ça arrive vite, fait attention à toi

Quoi comme nouvelles? Parce que si on peut agir sur les causes, les symptômes pourront plus vite disparaître. Ce que je crains, c'est que le jour où tu redresseras la tête, le reste du corps ne suivra plus.

Vu la façon d'appréhender ta consommation, je pense qu'il est bon d'en parler pour éventuellement garder un œil dessus et enrayer la machine si nécessaire... Quand il y a excès régulier niveau conso, la dépendance est souvent déjà bien ancrée, et les mauvais réflexes avec.

C'est pas "déjà trop tard", mais bon si tu peux t'éviter des épisodes moyennement funs avec un potentiel de dommages collatéraux à ne jamais sous-estimer, je pense que ça ne peut que te rendre service...

Merci pour vos messages.

En gros mon problème c'est que j'ai toujours éviter tout ce qui pouvait me faire ressembler à mon père au point d'en avoir des angoisse vraiment extrême. Mon père est toxicomane/alcoolique, mais j'ai récemment appris qu'il avait arrêter de consommer et ça fait un genre de déclic dans ma tête et je me suis permise de consommer, pour me tester, me détruire, avoir un peu de plaisir ou juste m'engourdir. Je ne sais pas ce que je cherche vraiment en faisant ça, j'ai toujours eu tellement peur de devenir dépendante de quelque chose que je culpabilisait beaucoup à la moindre gouttes d'alcool.

Pour le psy je vais essayer de lui en parler, mais je suis tellement mélanger par rapport à plein de sujet que je pense pas qu'il va juste me dire de me calmer... et j'ai peur qu'il m'arrête mes ad en se disant que je suis addict parce que j'ai tellement besoin de cette sensation d'étourdissement.