J'ai peur et tellement le goût de ne plus avoir à le dire.
Quand tu es rendu que tu ne te respectes même plus, même pas ta santé.
La vie, incessante de stress qui s'évapore, jusque dans mes pores.
Je me demande, souvent, pourquoi les autres semblent si facilement capables.
J'ai cette hâte d'avoir hâte à demain et même plus loin.
Peur du social et vouloir travailler en travail social.
Coupez le mauvais scénario pour que je puisse freiner ces coupures qui se multiplient sur ma chair.
Posologie insensée que je dois me taper sans rechigner.
Mon souhait, que tout cela ne soit que désormais désuet.