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 Le topic des rêves à la con

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Caramel

Caramel


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MessageSujet: Le topic des rêves à la con    Le topic des rêves à la con  Icon_minitimeSam 12 Avr 2014 - 19:01

Je sais qu'il en existe déjà un, quelque part, mais je ne l'ai pas retrouvé. Et comme on est quelques uns à avoir un sommeil productif en LSD mental, je me dis qu'en rouvrir un pourrait être assez fun.

Je vais donc l'inaugurer de ce pas :

----

Wtf cerveau ? Je n'ai pourtant pas pris de drogue, même si mon rêve là maintenant lors de ma sieste peut clairement laisser penser le contraire :

Je suis au boulot.
Un des enfants me demande à aller à la chapelle des soeurs. Il y va.
(Jusque là, c'est assez réglo, mon cerveau fait dans le réaliste).
Pendant qu'il est à la chapelle, les autres enfants jouent devant le foyer, dans une piscine d'eau de mer, qui est reliée à la mer par des km de galerie pour qu'elle soit approvisionnée en eau.
Et par cette galerie, un calamar géant, non, que dis-je, LE KRAKEN, rentre, et attaque. Mais personne n'est blessé parce que les enfants arrivent à sortir de l'eau à temps.
MAIS en fait, après l'attaque, on découvre que le Kraken a quand même fait une victime : l'enfant qui était à la chapelle, et qui s'est penché à la fenêtre pour voir ce qui se passait en voyant l'eau de la piscine se mettre à s'agiter. Il était retenu au bord de la fenêtre par une sorte de balancoire qu'il avait improvisé en coinçant son sac à dos entre dans la barrière du rebord de la fenêtre, et son sac à craqué, donc il est tombé dans l'eau et a été bouffé par le Kraken, qui a ensuite été tué par des chasseurs de monstre.

Sérieusement, cerveau, C'EST QUOI TON TRIP ?!

C'est pas la première fois que je rêve de mon boulot, mais celui ci, il est vraiment... Hors catégorie !
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Tatie Lem

Tatie Lem


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MessageSujet: Re: Le topic des rêves à la con    Le topic des rêves à la con  Icon_minitimeDim 13 Avr 2014 - 10:23

Rêve de la nuit précédente, donc assez flou (et très, très possible que je comble certains trous par de petites inventions qui font la transition entre deux tableaux plus nets) :

Je me trouve dans un immeuble d'habitation comme on en voit beaucoup dans la vieille ville de Lyon, c'est à dire assez haut, avec des étages très espacés, beaucoup de portes, de pierre et d'escaliers, traboules, cour intérieur, coursives, etc, et malgré tout assez lumineux. Un rassemblement familial est organisé dans un espace d'un couloir pouvant accueillir une grande table. J'essaie de prendre part au repas mais je n'y arrive pas, car les gens crient et ma voix n'est pas assez forte pour se faire entendre.
(Jusque là, c'est à peu près réaliste, c'est après que ça devient n'importe quoi)
De dépit, je décide de m'éloigner et de grimper un étage. Au sommet de l'escalier, je trouve une vague connaissance qui tente de refermer une fenêtre donnant sur la cour intérieur. C'est une fenêtre avec beaucoup de charnières, dont certaines qui tracent des lignes de pliage au milieu du verre. La connaissance plie, déplie et replie la fenêtre dans tout les sens, pour finir par la casser. Je remonte d'un étage.
Je me trouve dans un appartement, plus précisément dans le bureau d'une jeune femme blonde qui porte une combinaison de super-héroïne blanche et bleue, assez sobre. Le bureau est incroyablement moderne pour les lieux. Nous discutons, et comme elle souhaite m'emmener quelque part, je la suis. Nous prenons un ascenseur qui n'en finit plus de grimper. Je m'étonne car l'immeuble ne me paraissait pas si haut. L'ascenseur finit par s'arrêter et nous débouchons sur ce qui semble être un centre scientifique, avec éoliennes, piste d'atterrissage, hangar à avions et coupoles d'observatoire,  sur le toit de l'immeuble. Le ciel est très bleu, aucun nuage, et tous les bâtiments sont blancs. Nous croisons des employés, qui portent des combinaisons similaires à celle de ma guide, parfois avec un gros casque sous le bras. Nous entrons dans un bâtiment, grimpons encore quelques étages, et débarquons dans une petite pièce très sombre. Il y a deux personnes assises sur une chaise, deux hommes. Le premier est assez grand, a une combinaison de plusieurs couleurs et l'air menaçant, mais il ne peut pas bouger. L'autre est plus petit, a une combinaison et un masque noirs, et paraît très bizarre. De sa bouche, il sort des sortes de petits harnais qui forment de multiples et minuscules dentiers de cuir avec des petites dents de métal triangulaires, très pointues, et essaie de me mordre le bras avec ça. Il paraît assez calme dans sa frénésie, pas très agité (comme s'il n'en avait pas la possibilité), concentrant toute son énergie dans les tentatives de morsure. Il parvient à m'effleurer et comme c'est assez douloureux, je le repousse... et me réveille.

Voilà voilà.


Il faudrait que je retrouve le carnet où j'ai noté quelques uns de mes rêves, parce que c'est à peu près tout le temps aussi tordu que ça.
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Tatie Lem

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MessageSujet: Re: Le topic des rêves à la con    Le topic des rêves à la con  Icon_minitimeSam 19 Avr 2014 - 9:42

Deux parties du rêve de cette nuit :

- Je me trouve dans une énième maison comme mes rêves en fabriquent, en assemblant et en déformant les endroits où je suis déjà passées. Il y avait une foule très dense et très bruyante; qui remplit tout l'espace. Je dois me frayer un chemin parmi elle pour aller interviewer Natalie Portman, assise dans l'encadrure d'une sorte de fenêtre pratiquée dans une cloison intérieure de la maison. Un cameraman me suit. Je la trouve, la salue, commence à lui parler. Le cameraman braque sa camera sur moi, et plus précisément sur le slogan du tee-shirt que je porte, "FNAC, un Noël éclatant de joie" (L. a dû porter ce tee-shirt lors de l'un de ses contrats à la Fnac, l'a récupéré, et je m'en sers régulièrement comme pyjama, j'ai dormi avec cette nuit). Je dis au cameraman qu'il est complètement débile, que ce n'est pas moi qu'il faut cadrer.

- À un autre moment du rêve, j'en ai assez de la foule, alors je m'envole au dessus d'elle pour m'éloigner. Sous le plafond, un réseau compliqué d'escaliers, de plateformes et de mezzanines de bois me sert de support pour me repousser vers le haut quand je perds de l'altitude. Je me balade de plateforme en plateforme, m'accrochant aux piliers qui montent du sol, et atterris sur une mezzanine plus grande que les autres juste sous le plafond. J'y trouve ma soeur, rajeunie de quelques années, qui range ses affaires, s'installe, essaie de se faire une chambre confortable. Elle ne me voit pas. Elle porte l'un de mes grands pulls, qui lui va très bien.
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Tatie Lem

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MessageSujet: Re: Le topic des rêves à la con    Le topic des rêves à la con  Icon_minitimeSam 19 Avr 2014 - 9:56

Je remets la main sur les récits de mes rêves.

Ici un rêve d'Avril 2007. Je me suis réveillée très surprise de la précision, la clarté et la longueur de ce que j'en ai retenu (le fait que je retienne des dialogues entiers est particulièrement inhabituel), j'en ai donc écrit l'histoire dans la journée qui a suivi.

"«- Alors, Pierre, tu viens ? »
Mon grand-père et moi étions arrêtés, main dans la main, sur la terrasse blanche du Bar des Rocs. Il contemplait la montagne découpée à même le bleu du ciel, appuyé à la rambarde de bois délavé.
Et moi, retourné, je regardais cet homme assis, un peu comme si on avait sorti son négatif de la photographie pour le poser là dans ce monde de lumière franche et de craie. Il était très ridé, bien plus que mon grand-père, sa peau noire et ses yeux mangeaient le miroir de neige du sommet et l’écho du vent.
Les passants du belvédère semblaient transparents tant son regard happait le panorama. Il était là, immobile, et ne cillait jamais : un aigle fatigué, expatrié, indifférent. Que voyait-il derrière les cimes et les nuages que nous ne puissions toucher des yeux ? Quelles histoires lointaines portait il en silence ?
Mon grand-père avait senti la fascination que cet homme exerçait sur moi. Il me prit l’autre main, s’accroupit pour se mettre à ma hauteur et chuchoter à mon oreille :
« - Ce monsieur très vieux, là, on l’appelle l’Homme Fixe. Il vient tous les jours s’adosser à ce gros rocher calcaire et ne détache pas son regard du Mont des Crêtes avant que le Soleil n’ait complètement disparu derrière. Certains disent qu’il est un peu fou, d’autres imaginent qu’il est venu de très loin pour voir la neige et qu’il en est tombé amoureux.
- Moi, je crois qu’il attend quelque chose, dis-je sans le quitter des yeux. Papi, qu’est ce qu’il peut bien attendre ?
- Je n’en sais pas pus que toi. Pourquoi ne lui demandes-tu pas toi-même ?
- Je ne sais pas. Je crois qu’il me fait un peu peur. On dirait … qu’il n’est pas dans notre monde, qu’il voit des choses que nous ne voyons pas.
- Et bien moi je crois que tu n’as rien à craindre. Il y a bien longtemps que personne n’est venu lui parler, peut être aimerait il te raconter ce qu’il a vu… Si es d’accord, je te laisse en sa compagnie, je vais rejoindre les anciens pour notre partie de belote, à l’intérieur »
J’acquiesçai, et il entra dans le bar.
Je n’étais pas très rassuré. Je pensais :
« - S’il me regarde moi aussi, qu’est ce qu’il verra ? Et si l’Homme fixe était en fait un mendiant, trop pauvre pour continuer son chemin, trop pauvre pour entrer dans le bar et s’asseoir pour une belote avec les autres, trop pauvre pour commander un cocholat ? Peut être n’aime-t-il pas le chocolat … »
Mais dans ma poche, je devais avoir assez de pièces pour lui offrir autre chose … Alors je m’approchai, serrant dans ma main l’argent que m’avait donné mon grand-père.
De près, il paraissait encore plus vieux, plus fatigué, plus triste. Comme je ne savais pas quoi lui dire, je me contentai de lui tendre ma main ouverte, pleine de pièces, d’un geste mal assuré.
D’abord il ne me vit pas. Et puis, lentement, il leva la tête vers moi. Ses rides autour de sa bouche se tendirent et il esquissa un sourire. Il referma doucement ma main entre les siennes, calleuses, et m’invita à m’asseoir à côté de lui en tapotant le sol de son pieds, ce que je fis en rangeant mes pièces dans ma poche.
« -Je te remercie, petit » Sa voix était grave, enrouée, et son accent chantait comme s’il le retrouvait au fond de sa gorge depuis plusieurs années.
« - Mais garde tes pièces, je n’en ai pas besoin »
Je n’osais pas parler. Ses longues jambes s’étendaient à côté des miennes sur les dalles blanches dans un pantalon en velours passé.
« - Ce n’est pas ce que j’attendais, tu sais »
Et son visage redevint impassible. Le grand aigle venait de replier ses ailes élimées, un temps déployées, et se reposait à nouveau dans sa contemplation hiératique. Et moi, je me faisais l’effet d’un moineau qui aurait volé un peu trop loin. Mais je parvins tout de même à lui demander :
« - Et qu’est ce que vous attendez Monsieur ? »
Sans remuer autre chose que ses lèvres fines et foncées, il répondit :
« - J’attends, petit, j’attends que quelque chose apparaisse devant le Soleil, au dessus de la montagne, pour me montrer le sentier qui va sur l’autre versant. Y es tu déjà allé ?
- Non, je ne crois pas … Qu’est ce qu’il y a là bas … La mer ?
-Oui. Et après la mer, des terres sur lesquelles sont posées des montagnes encore plus hautes que celle-ci, des montagnes de sable et de roches rouges … Mais va, je te raconterai peut être cela une autre fois, ton grand-père doit t’attendre, et tu sais, attendre, ce n’est pas très drôle, quand on a des pieds alertes et vifs. »
L’envie de lui demander pourquoi il n’essayait pas de trouver le chemin tout seul me démangeait, mais je préférai écouter son conseil.
Sans me retournée, je courus à l’intérieur du bar, où je trouvai mon grand-père attablé.
« - Papi, tu aurais une carte ?
-Bien sur que j’en ai, et pas qu’une seule, encore ! Regarde moi ce jeu, Pierre, à moi la bouteille de petit blanc ! Fit il en clignant de l’œil tandis qu’il me montrait son jeu.
- mais non ! Une carte de géographie ! Avec les routes et les chemins pour aller de l’autre côté du Mont des Crêtes ! 
-Ah ? Oui je dois avoir cela à la maison. Mais que veux tu en faire ?
-C’est pour l’Homme Fixe, il a perdu son chemin et il attend de le retrouver !
- D’accord, nous verrons ça tout à l’heure » Dit il, un sourire aux lèvres, alors qu’il abattait une dame de pique sur la table ;


Le lendemain, je courus au belvédère.
Mais l’Homme Fixe n’y était plus.
Alors je m’assis à sa place et l’attendit jusqu’à ce que le Soleil se couche derrière le Mont des Crêtes.
Mais il ne vint pas.

Peut être que ce qu’il attendait était arrivé, peut être lui avait-elle montré le chemin, peut être avait il suivi le Soleil …"
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Tatie Lem

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MessageSujet: Re: Le topic des rêves à la con    Le topic des rêves à la con  Icon_minitimeVen 25 Avr 2014 - 10:27

Rêve de cette nuit :

L. et moi visitons un appartement dans un immeuble. Il est situé à l'avant-dernier étage. L'appartement est petit, un peu sombre, mais les espaces nous conviennent. Nous décidons donc d'y emménager, et l'ancien locataire s'en va, nous laissant ses clés sur la table de la cuisine. Au fur et à mesure que nous emménageons, les pièces de base s’agrandissent, deviennent plus lumineuses, propres et modernes, et d'autres apparaissent, moins modernes, plus obscures et plus étranges. Il y a par exemple une sorte d'espace accolé à un couloir, avec un sol en parquet brun foncé, de vieux lits en bois alignés, et des fils tendus qui traversent la pièce en largeur, accrochés en haut des murs, d'où pendent des pinces à linge et de vieux torchons laissés par l'ancien locataire ; et une salle de bain isolée des autres pièces, dans une charmante petite cabane de jardin peinte en blanc aux volets bleu et vert, dont l'intérieur moderne contraste avec l'extérieur désuet.

Quand nous sortons de cette salle-de-bain par le côté opposé à la porte par laquelle nous sommes entrés, nous tombons sur une pièce très volumineuse et haute, qui s'enroule vers la droite comme une spirale autour de l'ensemble de l'appartement, dont le volume s’agrandit encore à mesure que nous avançons. Nous débouchons sur une ouverture, comme la sortie d'un tunnel de bois, au pied d'une sorte de piste de ski enneigée qui mène vers le sommet d'un mont à pic. Près de cette sortie, il y a un bâtiment au plafond très bas, dont les cloisons sont des clôtures grillagées. L'intérieur est plein de minuscules cages sombres occupées par des bébés tigres gris très agités. Une femme avec de longs cheveux noirs, qui n'a pas l'air d'avoir froid malgré sa tenue assez légère pour le climat, se tient à côté du bâtiment et regarde à l'intérieur. Elle récupère au vol un petit tigre qui parvient à s'extraire de sa cage, et le garde dans ses bras.

Nous entrons à nouveau dans l'appartement et y croisons l'ancien locataire qui ne sait pas où dormir car il n'a pas retrouvé de logement. Nous discutons avec lui pour savoir comment nous arranger et soudainement, le sol se met à pencher d'un côté, comme si le bâtiment basculait. Nous essayons de nous déplacer mais notre poids accentue l'inclinaison du sol. Pris de panique, nous nous précipitons à l'extérieur en longeant les murs pour tenir le sol en équilibre, afin de prendre l'ascenseur et sortir. J'ai peur que celui-ci ne marche pas mais nous parvenons à y pénétrer, et tout semble en état de marche. Nous y rencontrons un homme qui nous dit qu'il y a une inondation, et que les fondations de l'immeuble sont en train de s'écraser sous son poids. Nous parvenons à descendre et quand nous sortons dans la rue pavée ensoleillée, le bâtiment a l'air parfaitement normal.

Nous décidons de nous promener et nous allons au cinéma. Il y a beaucoup de monde. La salle ressemble beaucoup plus à celle d'un théâtre ou d'un opéra, avec des sièges et des décorations très luxueux, des chandeliers dorés, et reste lumineuse durant la projection du film, qui traîne en longueur. Nous décidons de partir avant la fin car il fait nuit, il est très tard et nous craignons de ne pas réussir à prendre le dernier métro. Plusieurs personnes se lèvent pour nous suivre, et je suis frustrée de ne pas voir la fin du film.

Et je me réveille.
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MessageSujet: Re: Le topic des rêves à la con    Le topic des rêves à la con  Icon_minitime

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