Il fait peut être jour, mais je vous dirais bonsoir. Bonsoir parce que vous vous apprêtez à pénétrer une vie extrêmement banale où il ne fait pourtant jamais jour. J'en parle ici pour comprendre les mécanismes humains, car mes fils s'enmêlent. De plus, je ne savais où poster, et ce sujet envahit mon esprit.
Ma vie est ordinaire. J'ai deux parents, une soeur, des grands-parents (certains défunts mais c'est normal) des amis et tout ce qu'il faut pour être heureux. Néanmoins, depuis ma plus tendre enfance, on m'a appris à "toujours me mettre à la place de l'autre". Ainsi mes réflexions ont toutes tourné sur ce que je me permetterais d'appeller "l'autre". Sachant que moi aussi, je suis un autre, je me suis engagé à comprendre. Ainsi, depuis très petit, je pense aux pensées de l'autre, et j'en suis arrivé à conclure que tout le monde est fou, dans un monde où il existe 7 milliards de mondes. La différence. L'unicité. De quoi se rendre fou, n'est-ce pas? non
Revenons au sujet principal. Ainsi j'ai grandi, d'une mère folle, mathématicienne, et d'un père physycien. Le vilain petit canard, c'est moi: toutes mes forces d'attention se tournaient vers l'art. Encore un monde inexploré par ma famille.
Oh, ce n'est pas bien grave, on ne me le reprochait que rarement. Ce qui fut grae, c'était ma folie. Folie, foutue folie. Tout était tellement bien, mais tellement complexe à la fois, que je n'ai trouvé pour issue que l'automutilation pour me sentir normal. Normal. La normalité existe maintenant?
Dieu. J'ignore si Dieu existe. Certes, il se peut qu'une entité supérieure se situe quelque part dans nulle-part. Mais est-ce ce que le mortel nomme Dieu?
En conclusion, une série de questions se poserait:
Dieu? Homme? Que dois-je faire? Cesser de penser? Comment, alors? Arracher la plante de la racine. Comment? Croire en quelque chose?
Veuillez m'excuser toutes les incohérences qui émaillent l'écrit, ou encore l'endroit où j'ai posté. Je me retrouve accablé de questions, et ça me tue.