Alors que je me lobotomise en écoutant en boucle un de leurs CD ("Notre époque"), envie de faire découvrir à ceux qui ne connaissent pas le groupe Tarmac.
Issus du groupe Louise Attaque, les deux membres de Tarmac (Gaetan Roussel et Arnaud Samuel) gardent un style assez voisin de celui de Louise Attaque, tout en étant, à mon sens, plus calme, plus appaisant.
Personnellement... J'aime beaucoup.
Allez, quelques paroles :
Post scriptum
j'aimerais bien savoir
à quoi rêve qui ne rêve jamais,
et ce qu'il a pour se distraire,
pour faire esquisser un sourire
à cette vie qu'il a à vivre...
j'aimerais bien sentir
comme est faite l'âme qui vit
sans jamais sourire à l'âme...
j'ai rêvé sans rien obtenir.
je rêverai sans réussir.
mais ce que j'ai fait, que je fais,
et qui n'est rien comme tout l'est,
j'en garde la trace en mon être
du rêve qui me rend muet,
et je me ris de la fatigue...
les grands hommes de cette terre,
ceux qui fabriquent,
sans grammaire,
des phrases de paix et de guerre
qui savent par coeur la pratique
sauf que la pratique se trompe...
oui, ceux-là ont de la présence,
des foules, de la biographie...
le destin les garde en la foi
que toutes ces valeurs font foi !...
j'ai épousé la différence.
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Notre époque
(http://www.radioblogclub.com/open/69717/tarmac/Tarmac%20-%20Notre%20Epoque)
{Refrain: x2}
Notre époque résonne
Telle une porte close
Et nous comment fait-on
Sur quelle idée
L'on se repose
La première chose
Que kiko demande
Le premier être que l'on regarde
Les premiers moments
Que l'on garde
Mais quel est
Ce vent qui me glace le dos
Qui me regarde
{au Refrain}
Kiko demande ensuite
Si l'on peut revenir
Si le temps peut sourire
S'il faut s'unir
S'il fallait recommencer
S'il fallait oublier
Je pense bien que je serais pas
Le dernier
A regarder d'abord
A suivre à être encore
Quand il faut devenir
Ou s'il faut encore moins
Car pour un qui s'en va...
Mais quel est donc
Ce vent qui passe,
Qui me regarde
Et qui me glace
{au Refrain}
Once I pass'd through
A populous city imprinting
My brain for future use
With its shows, architecture,
Customs, traditions,
Yes now of all that city
I remember only a woman
I casually met there
Who detain'd me for love of me
Day by day and night by night
We were together
All else has long
Been forgotten by me,
I remember I say only
That woman who passionately
Clung to me,
Again we wander, we love,
We separate again,
{au Refrain, x2}
Again we wander, we love,
We separate again,
Again she holds me
By the hand, I must not go,
I see her close beside me with
Silent lips sad and tremulous
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Dis moi c'est quand
Dis-moi c'est quand
Que ça commence si ce que l'on tient
Est une absence ou un alibi
Et dis-moi aussi c'est quand que tu reviens
Dis-moi c'est quand
Sans altérer ni sans gommer
Cette alternance cette sensation
D'appartenir à la réalité
On se demande bien
Si ce jour viendra où enfin
On sera comme les autres
Au coeur de sa vie
Dis-moi c'est quand
Que ça commence si ce que l'on tient
Est une absence ou un alibi
Et dis-moi aussi c'est quand que tu reviens
Moi je ne vois qu'un amateur de la vie
Un amateur qui recommence
Avec mes amours mes amitiés
Tout ce qu'il faut pour être entier
Et je fais, je fais
J'essaie, j'essaie
De fait je suis un amateur de la vie
Un amateur qui déborde de cette envie
Car je la veux oui, je la suis oui
Je la veux car, je la suis
Dis-moi c'est quand
Que ça commence si ce que l'on tient
Est une absence ou un alibi
Et dis-moi aussi c'est quand que tu reviens
Dis-moi comment
Moi qui n'ai rien vu, rien compris
Et qui veux m'accuser
D'être un vieux con, simultané
Un petit peu, comment dit-on
Moi, je voulais me retrouver
Mais c'est pas si simple
D'être empreinté
Dis-moi c'est quand )
Que ça commence si ce que l'on tient )
Est une absence ou un alibi ) x3
Et dis-moi aussi c'est quand que tu reviens )